[article] | Titre : |
Un front convivial face à l’hubris |
| Type de document : |
Article |
| Auteurs : |
Alain Caillé, Personne interviewée |
| Année de publication : |
2020 |
| Article en page(s) : |
p. 141-154 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Mots-clés : |
ENTRETIEN
RECHERCHE
SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES
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| Résumé : |
Le texte issu de cet entretien ne porte pas directement sur les recherches coopératives. Il s’agit, à la faveur de ce dialogue, de montrer que les démarches dites participatives dans le champ des sciences sociales reposent sur des postulats épistémologiques et anthropologiques assez proches de celles développées par les convivialistes. A la lecture de ce texte, le lecteur découvrira combien Alain Caillé fournit des repères conceptuels pour penser les approches coopératives lorsqu’elles sont déployées dans le champ de la recherche en sciences sociales. Penser notamment les rapports entre les chercheurs et les interlocuteurs de terrain sous le mode du don (donner–recevoir-rendre), c’est inscrire ce type de recherche dans le champ « d’une épistémo-démocratie ». Ce néologisme emprunté à Gaston Pineau laisse entendre qu’il n’est pas heureux, ni souhaitable, d’opposer les savoirs indigènes aux cultures savantes. C’est la raison pour laquelle Alain Caillé condamne des expertises techniques marquées du sceau de la toute puissance et de l’hubris. |
| Cote : |
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| Permalink : |
https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id |
in Education permanente > n° 225 [01/12/2020] . - p. 141-154
[article] Un front convivial face à l’hubris [Article] / Alain Caillé, Personne interviewée . - 2020 . - p. 141-154. Langues : Français ( fre) in Education permanente > n° 225 [01/12/2020] . - p. 141-154 | Mots-clés : |
ENTRETIEN
RECHERCHE
SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES
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| Résumé : |
Le texte issu de cet entretien ne porte pas directement sur les recherches coopératives. Il s’agit, à la faveur de ce dialogue, de montrer que les démarches dites participatives dans le champ des sciences sociales reposent sur des postulats épistémologiques et anthropologiques assez proches de celles développées par les convivialistes. A la lecture de ce texte, le lecteur découvrira combien Alain Caillé fournit des repères conceptuels pour penser les approches coopératives lorsqu’elles sont déployées dans le champ de la recherche en sciences sociales. Penser notamment les rapports entre les chercheurs et les interlocuteurs de terrain sous le mode du don (donner–recevoir-rendre), c’est inscrire ce type de recherche dans le champ « d’une épistémo-démocratie ». Ce néologisme emprunté à Gaston Pineau laisse entendre qu’il n’est pas heureux, ni souhaitable, d’opposer les savoirs indigènes aux cultures savantes. C’est la raison pour laquelle Alain Caillé condamne des expertises techniques marquées du sceau de la toute puissance et de l’hubris. |
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https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id |
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