[article] 
inDocteur Imago > n° 28 [14/06/2022] . - p. 28-30

Titre :	Maladies auto-immunes : Imagerie de la sclérose en plaques de l'enfant
Type de document :	Article
Auteurs :	Béatrice Husson, Auteur ; Inès Mannes, Auteur ; Catherine Adamsbaum, Auteur
Année de publication :	2022
Article en page(s) :	p. 28-30
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	DIAGNOSTIC ENFANT IMAGERIE PAR RESONANCE MAGNETIQUE PEDIATRIE SCLEROSE EN PLAQUES
Résumé :	La sclérose en plaque (SEP) peut débuter dès l'enfance. Les cas éloquents dès l'âge pédiatrique représentent 5 % de l'ensemble des malades. L'IRM joue un rôle majeur pour le diagnostic et le suivi de ces patients. Une étude de l'encéphale et de la moelle doit être réalisée lors de tout évènement clinique évocateur d'une pathologie démyélinisante inflammatoire. L'utilisation des séquences dans les 2 plans est privilégiée chez les enfants qui ont du mal à rester immobiles. Le diagnostic de la SEP en IRM nécessite une dissémination dans l'espace et le temps des lésions de substances blanches. Les lésions de SEP sont ovalaires, typiquement de grands axes perpendiculaires à celui du corps calleux, apparaissant en hypersignal FLAIR et T2 et situé dans la substance blanche périventriculaire ou sous-corticale. Chez les enfants les plus jeunes, la présence de lésions en franc hyposignal T1 est plutôt en faveur de la SEP. La première poussée de SEP pédiatrique peut être une encéphalomyélite aiguë disséminé, qui se présente comme une atteinte de la substance blanche typiquement étendue et à contours flous en imagerie. Une IRM de suivi est recommandée tous les 6 mois pour évaluer l'activité de la SEP pédiatrique. La constatation de nouvelles lésions est considérée comme un marqueur d'activité. Un avis spécialisé en centre de référence est recommandé avant tout diagnostic définitif.
Cote :	.
Permalink :	https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

[article] Maladies auto-immunes : Imagerie de la sclérose en plaques de l'enfant [Article] / Béatrice Husson, Auteur ; Inès Mannes, Auteur ; Catherine Adamsbaum, Auteur . - 2022 . - p. 28-30.
Langues : Français (fre)
in Docteur Imago > n° 28 [14/06/2022] . - p. 28-30

Mots-clés :	DIAGNOSTIC ENFANT IMAGERIE PAR RESONANCE MAGNETIQUE PEDIATRIE SCLEROSE EN PLAQUES
Résumé :	La sclérose en plaque (SEP) peut débuter dès l'enfance. Les cas éloquents dès l'âge pédiatrique représentent 5 % de l'ensemble des malades. L'IRM joue un rôle majeur pour le diagnostic et le suivi de ces patients. Une étude de l'encéphale et de la moelle doit être réalisée lors de tout évènement clinique évocateur d'une pathologie démyélinisante inflammatoire. L'utilisation des séquences dans les 2 plans est privilégiée chez les enfants qui ont du mal à rester immobiles. Le diagnostic de la SEP en IRM nécessite une dissémination dans l'espace et le temps des lésions de substances blanches. Les lésions de SEP sont ovalaires, typiquement de grands axes perpendiculaires à celui du corps calleux, apparaissant en hypersignal FLAIR et T2 et situé dans la substance blanche périventriculaire ou sous-corticale. Chez les enfants les plus jeunes, la présence de lésions en franc hyposignal T1 est plutôt en faveur de la SEP. La première poussée de SEP pédiatrique peut être une encéphalomyélite aiguë disséminé, qui se présente comme une atteinte de la substance blanche typiquement étendue et à contours flous en imagerie. Une IRM de suivi est recommandée tous les 6 mois pour évaluer l'activité de la SEP pédiatrique. La constatation de nouvelles lésions est considérée comme un marqueur d'activité. Un avis spécialisé en centre de référence est recommandé avant tout diagnostic définitif.
Cote :	.
Permalink :	https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id