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Ethique et santé . n° 2Paru le : 01/06/2014 |
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n° 2 [Article] . - 2014 . - 59 -120 p. Langues : Français (fre)
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. | Périodique | Espace de Ressources Formation-Recherche | Disponible |
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Ajouter le résultat dans votre panierAutisme : la nécessité d'une prise en charge pluraliste / C. Champagne in Ethique et santé, n° 2 ([01/06/2014])
[article]
Titre : Autisme : la nécessité d'une prise en charge pluraliste Type de document : Article Auteurs : C. Champagne, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 61-68 Langues : Français (fre) Mots-clés : AUTISME
ETHIQUE
PSYCHANALYSE
PSYCHIATRIE
THERAPIE COMPORTEMENTALERésumé : Le processus thérapeutique de prise en charge de l’autisme, sujet d’actualité soumis à controverse depuis la publication par la Haute Autorité de santé en 2012 de recommandations excluant la psychanalyse, amène questionnements et critiques dans le domaine de la psychiatrie. En effet jusque-là, deux courants s’opposaient : l’approche psychanalytique et l’approche cognitivo-comportementaliste. Mais avant de prôner telle ou telle méthode, peut-être serait-il bon de penser la situation en termes éthiques, en replaçant patient et soignant, les principaux protagonistes, au centre des préoccupations, et en dégageant ainsi les diverses représentations qui cohabitent. Ce n’est pas tant le moyen que la fin qui est ici mis en jeu : avec quelle intention thérapeutique aborde-t-on l’autisme ? À travers l’expérience d’une éducatrice spécialisée québécoise qui a assuré l’application de la méthode comportementaliste Lovaas auprès d’un enfant autiste, puis en se référant à des documents issus de la littérature psychanalytique, cet article explore via une démarche herméneutique les différentes facettes des interactions qui ont lieu entre patient, soignant et traitement, piliers d’une prise en charge de l’enfant autiste considéré dans sa globalité et sa subjectivité. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Ethique et santé > n° 2 [01/06/2014] . - p. 61-68[article] Autisme : la nécessité d'une prise en charge pluraliste [Article] / C. Champagne, Auteur . - 2014 . - p. 61-68.
Langues : Français (fre)
in Ethique et santé > n° 2 [01/06/2014] . - p. 61-68
Mots-clés : AUTISME
ETHIQUE
PSYCHANALYSE
PSYCHIATRIE
THERAPIE COMPORTEMENTALERésumé : Le processus thérapeutique de prise en charge de l’autisme, sujet d’actualité soumis à controverse depuis la publication par la Haute Autorité de santé en 2012 de recommandations excluant la psychanalyse, amène questionnements et critiques dans le domaine de la psychiatrie. En effet jusque-là, deux courants s’opposaient : l’approche psychanalytique et l’approche cognitivo-comportementaliste. Mais avant de prôner telle ou telle méthode, peut-être serait-il bon de penser la situation en termes éthiques, en replaçant patient et soignant, les principaux protagonistes, au centre des préoccupations, et en dégageant ainsi les diverses représentations qui cohabitent. Ce n’est pas tant le moyen que la fin qui est ici mis en jeu : avec quelle intention thérapeutique aborde-t-on l’autisme ? À travers l’expérience d’une éducatrice spécialisée québécoise qui a assuré l’application de la méthode comportementaliste Lovaas auprès d’un enfant autiste, puis en se référant à des documents issus de la littérature psychanalytique, cet article explore via une démarche herméneutique les différentes facettes des interactions qui ont lieu entre patient, soignant et traitement, piliers d’une prise en charge de l’enfant autiste considéré dans sa globalité et sa subjectivité. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Accompagner le patient dans ses choix de vie : le jeu de la conversation / J. Quintin in Ethique et santé, n° 2 ([01/06/2014])
[article]
Titre : Accompagner le patient dans ses choix de vie : le jeu de la conversation Type de document : Article Auteurs : J. Quintin, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 69-76 Langues : Français (fre) Mots-clés : COMMUNICATION ORALE
JEU
PENSEE
REFLEXION
RELATION SOIGNANT SOIGNERésumé : Depuis l’essor des Temps modernes au XVIIe siècle, nous avons développé une obsession en faveur des méthodes. Celles-ci se présentent comme une forme sublimée du désir d’absolu et de certitude. On a longtemps cru que la raison pouvait organiser et maîtriser la vie humaine dans son ensemble à l’aide de connaissances objectives, de techniques et de grands principes moraux. Il n’en va plus ainsi dans notre société postmoderne où l’on assiste à une multiplication des points de vue fragilisant la raison humaine lorsqu’elle délibère sur les meilleurs choix de vie. Dans ce contexte, la délibération ne doit pas être pensée comme un traitement d’information, mais selon un jeu de conversation. La posture herméneutique devient toute indiquée. L’article tentera de décrire, à partir de la pensée de Gadamer, comment s’exerce une délibération et à quelle condition elle doit répondre afin que cet exercice puisse relier l’être humain à sa propre existence. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Ethique et santé > n° 2 [01/06/2014] . - p. 69-76[article] Accompagner le patient dans ses choix de vie : le jeu de la conversation [Article] / J. Quintin, Auteur . - 2014 . - p. 69-76.
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Mots-clés : COMMUNICATION ORALE
JEU
PENSEE
REFLEXION
RELATION SOIGNANT SOIGNERésumé : Depuis l’essor des Temps modernes au XVIIe siècle, nous avons développé une obsession en faveur des méthodes. Celles-ci se présentent comme une forme sublimée du désir d’absolu et de certitude. On a longtemps cru que la raison pouvait organiser et maîtriser la vie humaine dans son ensemble à l’aide de connaissances objectives, de techniques et de grands principes moraux. Il n’en va plus ainsi dans notre société postmoderne où l’on assiste à une multiplication des points de vue fragilisant la raison humaine lorsqu’elle délibère sur les meilleurs choix de vie. Dans ce contexte, la délibération ne doit pas être pensée comme un traitement d’information, mais selon un jeu de conversation. La posture herméneutique devient toute indiquée. L’article tentera de décrire, à partir de la pensée de Gadamer, comment s’exerce une délibération et à quelle condition elle doit répondre afin que cet exercice puisse relier l’être humain à sa propre existence. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Pourquoi la personne âgée n'est-elle pas une personne ? (Le regard médical sur les vieillards au cours du XIXe siècle). Vitesse et temporalités du corps du vieillard / S. Boarini in Ethique et santé, n° 2 ([01/06/2014])
[article]
Titre : Pourquoi la personne âgée n'est-elle pas une personne ? (Le regard médical sur les vieillards au cours du XIXe siècle). Vitesse et temporalités du corps du vieillard Type de document : Article Auteurs : S. Boarini, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 77-84 Langues : Français (fre) Mots-clés : HISTOIRE
IDENTITE
MEDECINE
PERSONNE AGEE
VIEILLESSE
VIEILLISSEMENTRésumé : Comment a été élaborée la notion de « personne âgée » et comment cette notion s’est-elle affirmée au détriment de la figure du « vieillard » ? Quels sont les facteurs qui ont retardé la reconnaissance de la « personne âgée » ? L’article est le premier volet de cette étude plus générale consacrée à l’analyse de ces raisons. Il aborde l’un des facteurs qui a contribué à ne pas reconnaître la personne âgée comme une personne, à savoir la supposition, sous-jacente aux études médicales du XIXe siècle, selon laquelle le vieillissement se fait à plusieurs vitesses. La personne âgée n’est pas une personne parce qu’en elle, croit-on, co-cheminent des séquences temporelles distinctes et parce que ces séquences connaissent des vitesses asynchrones de vieillissement. Si cette diversité des vitesses du vieillissement exprime la désunion des organes et des fonctions propres à cet âge de la vie, entrelaçant ainsi le temps et l’espace du corps, elle montre surtout que la personnalité est implicitement conçue comme devant être nécessairement fondée dans l’unité du corps et dans le consensus des organes. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Ethique et santé > n° 2 [01/06/2014] . - p. 77-84[article] Pourquoi la personne âgée n'est-elle pas une personne ? (Le regard médical sur les vieillards au cours du XIXe siècle). Vitesse et temporalités du corps du vieillard [Article] / S. Boarini, Auteur . - 2014 . - p. 77-84.
Langues : Français (fre)
in Ethique et santé > n° 2 [01/06/2014] . - p. 77-84
Mots-clés : HISTOIRE
IDENTITE
MEDECINE
PERSONNE AGEE
VIEILLESSE
VIEILLISSEMENTRésumé : Comment a été élaborée la notion de « personne âgée » et comment cette notion s’est-elle affirmée au détriment de la figure du « vieillard » ? Quels sont les facteurs qui ont retardé la reconnaissance de la « personne âgée » ? L’article est le premier volet de cette étude plus générale consacrée à l’analyse de ces raisons. Il aborde l’un des facteurs qui a contribué à ne pas reconnaître la personne âgée comme une personne, à savoir la supposition, sous-jacente aux études médicales du XIXe siècle, selon laquelle le vieillissement se fait à plusieurs vitesses. La personne âgée n’est pas une personne parce qu’en elle, croit-on, co-cheminent des séquences temporelles distinctes et parce que ces séquences connaissent des vitesses asynchrones de vieillissement. Si cette diversité des vitesses du vieillissement exprime la désunion des organes et des fonctions propres à cet âge de la vie, entrelaçant ainsi le temps et l’espace du corps, elle montre surtout que la personnalité est implicitement conçue comme devant être nécessairement fondée dans l’unité du corps et dans le consensus des organes. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Relation soigné soignant : réflexions sur la vulnérabilité et l'autonomie / E. Lemoine in Ethique et santé, n° 2 ([01/06/2014])
[article]
Titre : Relation soigné soignant : réflexions sur la vulnérabilité et l'autonomie Type de document : Article Auteurs : E. Lemoine, Auteur ; L. Lange, Auteur ; F. Chapuis, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 85-90 Langues : Français (fre) Mots-clés : ALZHEIMER (MALADIE DE)
AUTONOMIE
ETHIQUE
PATIENT
RELATION SOIGNANT SOIGNE
VULNERABILITERésumé : Dans le cadre d’un groupe de réflexion de l’espace éthique Rhône Alpes, nous nous sommes interrogés sur la vulnérabilité de la personne malade. Si tous les patients peuvent être considérés comme vulnérables, certains d’entre eux présentent une vulnérabilité que le droit nomme « renforcée ». Le majeur en état d’exprimer sa volonté bénéficie de la protection classique. Celui qui ne peut plus s’exprimer est susceptible de bénéficier de deux protections : droit commun et droit de la santé. Si la vulnérabilité peut être appréciée au regard de la protection à laquelle elle invite, elle est aussi une représentation sociale « excluante ». L’être vulnérable, tel le patient atteint d’une maladie d’Alzheimer, peut être assimilé à l’incompétence et l’inutilité. Ces représentations contribuent à redoubler la fragilité effective dont l’être se trouve déjà affecté. Dans le domaine du soin, à l’asymétrie de la relation, créatrice de vulnérabilité, vient s’ajouter la fragilisation réelle qu’engendre la maladie grave. Pourtant, penser et expérimenter, la vulnérabilité impose d’admettre qu’elle n’est pas qu’atteinte négative, elle est ce sans quoi aucune véritable relation n’est possible. En effet, la vulnérabilité est communément partagée sous une forme singulière, celle de la dépendance qui définit chaque homme. C’est dans la relation soigné soignant fondée sur la confiance et la confidence que l’autonomie se développe. Réfléchir à la vulnérabilité du patient, nous permet de le faire exister et de le considérer en tant qu’homme et non pas seulement en tant que malade. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Ethique et santé > n° 2 [01/06/2014] . - p. 85-90[article] Relation soigné soignant : réflexions sur la vulnérabilité et l'autonomie [Article] / E. Lemoine, Auteur ; L. Lange, Auteur ; F. Chapuis, Auteur ; et al., Auteur . - 2014 . - p. 85-90.
Langues : Français (fre)
in Ethique et santé > n° 2 [01/06/2014] . - p. 85-90
Mots-clés : ALZHEIMER (MALADIE DE)
AUTONOMIE
ETHIQUE
PATIENT
RELATION SOIGNANT SOIGNE
VULNERABILITERésumé : Dans le cadre d’un groupe de réflexion de l’espace éthique Rhône Alpes, nous nous sommes interrogés sur la vulnérabilité de la personne malade. Si tous les patients peuvent être considérés comme vulnérables, certains d’entre eux présentent une vulnérabilité que le droit nomme « renforcée ». Le majeur en état d’exprimer sa volonté bénéficie de la protection classique. Celui qui ne peut plus s’exprimer est susceptible de bénéficier de deux protections : droit commun et droit de la santé. Si la vulnérabilité peut être appréciée au regard de la protection à laquelle elle invite, elle est aussi une représentation sociale « excluante ». L’être vulnérable, tel le patient atteint d’une maladie d’Alzheimer, peut être assimilé à l’incompétence et l’inutilité. Ces représentations contribuent à redoubler la fragilité effective dont l’être se trouve déjà affecté. Dans le domaine du soin, à l’asymétrie de la relation, créatrice de vulnérabilité, vient s’ajouter la fragilisation réelle qu’engendre la maladie grave. Pourtant, penser et expérimenter, la vulnérabilité impose d’admettre qu’elle n’est pas qu’atteinte négative, elle est ce sans quoi aucune véritable relation n’est possible. En effet, la vulnérabilité est communément partagée sous une forme singulière, celle de la dépendance qui définit chaque homme. C’est dans la relation soigné soignant fondée sur la confiance et la confidence que l’autonomie se développe. Réfléchir à la vulnérabilité du patient, nous permet de le faire exister et de le considérer en tant qu’homme et non pas seulement en tant que malade. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible La difficile interaction entre les physiothérapeutes et les agents payeurs québécois : une analyse éthique médiatique / M. Laliberte in Ethique et santé, n° 2 ([01/06/2014])
[article]
Titre : La difficile interaction entre les physiothérapeutes et les agents payeurs québécois : une analyse éthique médiatique Type de document : Article Auteurs : M. Laliberte, Auteur ; A. Hudon, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 91-99 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACCES AUX SOINS
ASSURANCE MALADIE
COUT
ETHIQUE
INDEMNISATION
MEDIA
PHYSIOTHERAPIE
QUEBECRésumé : Dans le cadre d’un groupe de réflexion de l’espace éthique Rhône Alpes, nous nous sommes interrogés sur la vulnérabilité de la personne malade. Si tous les patients peuvent être considérés comme vulnérables, certains d’entre eux présentent une vulnérabilité que le droit nomme « renforcée ». Le majeur en état d’exprimer sa volonté bénéficie de la protection classique. Celui qui ne peut plus s’exprimer est susceptible de bénéficier de deux protections : droit commun et droit de la santé. Si la vulnérabilité peut être appréciée au regard de la protection à laquelle elle invite, elle est aussi une représentation sociale « excluante ». L’être vulnérable, tel le patient atteint d’une maladie d’Alzheimer, peut être assimilé à l’incompétence et l’inutilité. Ces représentations contribuent à redoubler la fragilité effective dont l’être se trouve déjà affecté. Dans le domaine du soin, à l’asymétrie de la relation, créatrice de vulnérabilité, vient s’ajouter la fragilisation réelle qu’engendre la maladie grave. Pourtant, penser et expérimenter, la vulnérabilité impose d’admettre qu’elle n’est pas qu’atteinte négative, elle est ce sans quoi aucune véritable relation n’est possible. En effet, la vulnérabilité est communément partagée sous une forme singulière, celle de la dépendance qui définit chaque homme. C’est dans la relation soigné soignant fondée sur la confiance et la confidence que l’autonomie se développe. Réfléchir à la vulnérabilité du patient, nous permet de le faire exister et de le considérer en tant qu’homme et non pas seulement en tant que malade. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Ethique et santé > n° 2 [01/06/2014] . - p. 91-99[article] La difficile interaction entre les physiothérapeutes et les agents payeurs québécois : une analyse éthique médiatique [Article] / M. Laliberte, Auteur ; A. Hudon, Auteur . - 2014 . - p. 91-99.
Langues : Français (fre)
in Ethique et santé > n° 2 [01/06/2014] . - p. 91-99
Mots-clés : ACCES AUX SOINS
ASSURANCE MALADIE
COUT
ETHIQUE
INDEMNISATION
MEDIA
PHYSIOTHERAPIE
QUEBECRésumé : Dans le cadre d’un groupe de réflexion de l’espace éthique Rhône Alpes, nous nous sommes interrogés sur la vulnérabilité de la personne malade. Si tous les patients peuvent être considérés comme vulnérables, certains d’entre eux présentent une vulnérabilité que le droit nomme « renforcée ». Le majeur en état d’exprimer sa volonté bénéficie de la protection classique. Celui qui ne peut plus s’exprimer est susceptible de bénéficier de deux protections : droit commun et droit de la santé. Si la vulnérabilité peut être appréciée au regard de la protection à laquelle elle invite, elle est aussi une représentation sociale « excluante ». L’être vulnérable, tel le patient atteint d’une maladie d’Alzheimer, peut être assimilé à l’incompétence et l’inutilité. Ces représentations contribuent à redoubler la fragilité effective dont l’être se trouve déjà affecté. Dans le domaine du soin, à l’asymétrie de la relation, créatrice de vulnérabilité, vient s’ajouter la fragilisation réelle qu’engendre la maladie grave. Pourtant, penser et expérimenter, la vulnérabilité impose d’admettre qu’elle n’est pas qu’atteinte négative, elle est ce sans quoi aucune véritable relation n’est possible. En effet, la vulnérabilité est communément partagée sous une forme singulière, celle de la dépendance qui définit chaque homme. C’est dans la relation soigné soignant fondée sur la confiance et la confidence que l’autonomie se développe. Réfléchir à la vulnérabilité du patient, nous permet de le faire exister et de le considérer en tant qu’homme et non pas seulement en tant que malade. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Lieux de l'éthique / J.-Y Tamet in Ethique et santé, n° 2 ([01/06/2014])
[article]
Titre : Lieux de l'éthique Type de document : Article Auteurs : J.-Y Tamet, Auteur ; P. Le Coz, Auteur ; G. Durand, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 100-119 Langues : Français (fre) Mots-clés : AUTONOMIE
COMITE D'ETHIQUE
COMMUNICATION
CONSULTATION
ENFANT
ENTRETIEN
ETHIQUE
MORALE
POLITIQUE
PRATIQUE REFLEXIVE
PROBLEMATIQUE
PSYCHANALYSE
SEXUALITE
TUTORATRésumé : Sommaire :
- Des lieux du malaise clinique
- Quel rôle pour le Comité consultatif national d'éthique au sein de la cité ?
- La consultation d'éthique clinique : comment respecter l'autonomie du patient ?
- Le tutorat des étudiants en soins infirmiers : enjeux éthiques d'une formation cliniqueCote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Ethique et santé > n° 2 [01/06/2014] . - p. 100-119[article] Lieux de l'éthique [Article] / J.-Y Tamet, Auteur ; P. Le Coz, Auteur ; G. Durand, Auteur . - 2014 . - p. 100-119.
Langues : Français (fre)
in Ethique et santé > n° 2 [01/06/2014] . - p. 100-119
Mots-clés : AUTONOMIE
COMITE D'ETHIQUE
COMMUNICATION
CONSULTATION
ENFANT
ENTRETIEN
ETHIQUE
MORALE
POLITIQUE
PRATIQUE REFLEXIVE
PROBLEMATIQUE
PSYCHANALYSE
SEXUALITE
TUTORATRésumé : Sommaire :
- Des lieux du malaise clinique
- Quel rôle pour le Comité consultatif national d'éthique au sein de la cité ?
- La consultation d'éthique clinique : comment respecter l'autonomie du patient ?
- Le tutorat des étudiants en soins infirmiers : enjeux éthiques d'une formation cliniqueCote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible