Dépouillements

Prévention primaire des anomalies de fermeture du tube neural par l’acide folique en Maine-et-Loire / D. Klein in Revue sage-femme (La), n°2 ([01/04/2009])

Public ISBD [article]  inRevue sage-femme (La) > n°2 [01/04/2009] . - p. 66-71 Titre : Prévention primaire des anomalies de fermeture du tube neural par l’acide folique en Maine-et-Loire Type de document : Article Auteurs : D. Klein, Auteur ; M. Poilblanc, Auteur ; B. Goichon, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 66-71 Langues : Français (fre) Mots-clés : ANOMALIE EVALUATION DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES GROSSESSE MALFORMATION PREVENTION VITAMINE Résumé : Introduction En France, les anomalies de fermeture du tube neural (AFTN) touchent environ une naissance et interruption médicale de grossesse sur 1000. Prévenir la survenue de ces malformations de manière efficace est possible par supplémentation des femmes en acide folique (vitamine B9 synthétique). Depuis 2000, il est officiellement recommandé de proposer à toutes les femmes désirant concevoir une supplémentation médicamenteuse périconceptionelle de 0,4mg/j entre un mois avant et deux mois après le début de la grossesse. Malgré ces recommandations, la prévalence des AFTN reste stable depuis 1980. Objectifs Pour tenter d’expliquer cette stagnation, nous avons réalisé une évaluation des pratiques professionnelles en Maine-et-Loire. Méthodes Deux enquêtes par questionnaires ont été effectuées : l’une auprès des professionnels de santé qui suivent les grossesses (soit six sages-femmes, 107 médecins généralistes et 25 gynécologues obstétriciens) et l’autre auprès des accouchées hospitalisées à la maternité du CHU d’Angers (soit 75 femmes). Résultats Soixante-quatre pour cent des gynécologues obstétriciens et 21,5 % des médecins généralistes interrogés suivent les recommandations officielles et prescrivent à leurs patientes 0,4mg d’acide folique par jour en périconceptionel. Des médecins généralistes, 56,4 % connaissent les recommandations des décrets de périnatalité de 2000, contre 100 % des gynécologues. L’enquête effectuée auprès des femmes révèle que seules 17,3 % des femmes ont pu bénéficier d’une supplémentation périconceptionelle et que 16 % seulement ont connaissance du lien acide folique-AFTN. Conclusion On observe un défaut de prescription de la supplémentation par manque d’information des professionnels. Malgré une légère augmentation, le nombre de femmes supplémentées et correctement informées reste insuffisant. Pour améliorer la prévention, il semble nécessaire de généraliser la consultation préconceptionelle et de renforcer les connaissances des professionnels, mais également des femmes par le biais des médias, source importante d’information. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id [article] Prévention primaire des anomalies de fermeture du tube neural par l’acide folique en Maine-et-Loire [Article] / D. Klein, Auteur ; M. Poilblanc, Auteur ; B. Goichon, Auteur . - 2009 . - p. 66-71. Langues : Français (fre) in Revue sage-femme (La) > n°2 [01/04/2009] . - p. 66-71 Mots-clés : ANOMALIE EVALUATION DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES GROSSESSE MALFORMATION PREVENTION VITAMINE Résumé : Introduction En France, les anomalies de fermeture du tube neural (AFTN) touchent environ une naissance et interruption médicale de grossesse sur 1000. Prévenir la survenue de ces malformations de manière efficace est possible par supplémentation des femmes en acide folique (vitamine B9 synthétique). Depuis 2000, il est officiellement recommandé de proposer à toutes les femmes désirant concevoir une supplémentation médicamenteuse périconceptionelle de 0,4mg/j entre un mois avant et deux mois après le début de la grossesse. Malgré ces recommandations, la prévalence des AFTN reste stable depuis 1980. Objectifs Pour tenter d’expliquer cette stagnation, nous avons réalisé une évaluation des pratiques professionnelles en Maine-et-Loire. Méthodes Deux enquêtes par questionnaires ont été effectuées : l’une auprès des professionnels de santé qui suivent les grossesses (soit six sages-femmes, 107 médecins généralistes et 25 gynécologues obstétriciens) et l’autre auprès des accouchées hospitalisées à la maternité du CHU d’Angers (soit 75 femmes). Résultats Soixante-quatre pour cent des gynécologues obstétriciens et 21,5 % des médecins généralistes interrogés suivent les recommandations officielles et prescrivent à leurs patientes 0,4mg d’acide folique par jour en périconceptionel. Des médecins généralistes, 56,4 % connaissent les recommandations des décrets de périnatalité de 2000, contre 100 % des gynécologues. L’enquête effectuée auprès des femmes révèle que seules 17,3 % des femmes ont pu bénéficier d’une supplémentation périconceptionelle et que 16 % seulement ont connaissance du lien acide folique-AFTN. Conclusion On observe un défaut de prescription de la supplémentation par manque d’information des professionnels. Malgré une légère augmentation, le nombre de femmes supplémentées et correctement informées reste insuffisant. Pour améliorer la prévention, il semble nécessaire de généraliser la consultation préconceptionelle et de renforcer les connaissances des professionnels, mais également des femmes par le biais des médias, source importante d’information. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

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Mise au point sur la contraception progestative / Patrick Madelenat in Revue sage-femme (La), n°2 ([01/04/2009])

Public ISBD [article]  inRevue sage-femme (La) > n°2 [01/04/2009] . - p. 72-96 Titre : Mise au point sur la contraception progestative Type de document : Article Auteurs : Patrick Madelenat, Auteur ; M. Koskas, Auteur ; Groupe de reflexion sur la contraception progestative, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 72-96 Langues : Français (fre) Mots-clés : ALLAITEMENT MATERNEL CONTRACEPTION EFFET SECONDAIRE EFFICACITE OS POIDS REFLEXION RISQUE SEIN TOLERANCE Résumé : Bien qu’elle demeure relativement mal cernée, l’utilisation des progestatifs au sein des différentes contraceptions augmente régulièrement en France (particulièrement le dispositif intra-utérin, l’implant sous-cutané et les microprogestatifs). Sa prescription se fait dans un certain nombre de cas hors des indications d’autorisation de mise sur le marché (particulièrement pour les macroprogestatifs) et elle regroupe une grande variété de molécules, voies d’administration et posologies. Pour ces raisons, un comité d’experts a été réuni et a répondu aux 35 questions posées par un comité d’organisation. Le choix de ces questions était largement inspiré des points litigieux ou peu consensuels rencontrés en pratique clinique courante lors de la prescription d’une contraception progestative. Les réponses apportées ont été largement basées sur les données issues de la littérature médicale. Dans les cas où l’absence d’étude ne permettait pas de répondre de façon formelle à la question posée, le comité d’experts a proposé la réponse la plus consensuelle possible. L’ensemble des réponses apportées par le comité d’experts a ensuite été soumis à un comité d’évaluation avant validation finale du document. La contraception progestative présente différents niveaux d’action (local et/ou central), variables d’une molécule à l’autre. Elle bénéficie d’une efficacité satisfaisante (celle des macroprogestatifs n’a jamais été évaluée) mais suppose le respect de schéma posologique strict (en particulier pour la contraception microprogestative). Il n’a jamais été mis en évidence d’augmentation significative du risque de cancer du sein par l’utilisation de contraception progestative. Cependant, pour plusieurs raisons, l’interprétation des études portant sur le sujet doit rester prudente. Si les effets souvent mal connus des différents progestatifs sur la densité minérale osseuse semblent pouvoir varier selon les molécules, en particulier en raison du taux d’estradiol plasmatique qu’elles induisent, il n’existe pas d’argument direct pour considérer la contraception progestative comme facteur de risque de fracture osseuse. Concernant le risque de maladie thromboembolique veineuse, les progestatifs seuls ne sont pas considérés comme un facteur de risque. La contraception progestative est recommandée : lors d’une mauvaise tolérance des estrogènes exogènes ; pour contrebalancer une hyperestrogénie endogène ; en cas de contre-indication métabolique ou cardiovasculaire aux estroprogestatifs ; en cas de fluctuations hormonales à l’origine de dysphories prémenstruelles ou de migraines cataméniales. Enfin, la contraception progestative constitue une contraception de choix dans certaines situations particulières (allaitement, adénomyose…). Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id [article] Mise au point sur la contraception progestative [Article] / Patrick Madelenat, Auteur ; M. Koskas, Auteur ; Groupe de reflexion sur la contraception progestative, Auteur . - 2009 . - p. 72-96. Langues : Français (fre) in Revue sage-femme (La) > n°2 [01/04/2009] . - p. 72-96 Mots-clés : ALLAITEMENT MATERNEL CONTRACEPTION EFFET SECONDAIRE EFFICACITE OS POIDS REFLEXION RISQUE SEIN TOLERANCE Résumé : Bien qu’elle demeure relativement mal cernée, l’utilisation des progestatifs au sein des différentes contraceptions augmente régulièrement en France (particulièrement le dispositif intra-utérin, l’implant sous-cutané et les microprogestatifs). Sa prescription se fait dans un certain nombre de cas hors des indications d’autorisation de mise sur le marché (particulièrement pour les macroprogestatifs) et elle regroupe une grande variété de molécules, voies d’administration et posologies. Pour ces raisons, un comité d’experts a été réuni et a répondu aux 35 questions posées par un comité d’organisation. Le choix de ces questions était largement inspiré des points litigieux ou peu consensuels rencontrés en pratique clinique courante lors de la prescription d’une contraception progestative. Les réponses apportées ont été largement basées sur les données issues de la littérature médicale. Dans les cas où l’absence d’étude ne permettait pas de répondre de façon formelle à la question posée, le comité d’experts a proposé la réponse la plus consensuelle possible. L’ensemble des réponses apportées par le comité d’experts a ensuite été soumis à un comité d’évaluation avant validation finale du document. La contraception progestative présente différents niveaux d’action (local et/ou central), variables d’une molécule à l’autre. Elle bénéficie d’une efficacité satisfaisante (celle des macroprogestatifs n’a jamais été évaluée) mais suppose le respect de schéma posologique strict (en particulier pour la contraception microprogestative). Il n’a jamais été mis en évidence d’augmentation significative du risque de cancer du sein par l’utilisation de contraception progestative. Cependant, pour plusieurs raisons, l’interprétation des études portant sur le sujet doit rester prudente. Si les effets souvent mal connus des différents progestatifs sur la densité minérale osseuse semblent pouvoir varier selon les molécules, en particulier en raison du taux d’estradiol plasmatique qu’elles induisent, il n’existe pas d’argument direct pour considérer la contraception progestative comme facteur de risque de fracture osseuse. Concernant le risque de maladie thromboembolique veineuse, les progestatifs seuls ne sont pas considérés comme un facteur de risque. La contraception progestative est recommandée : lors d’une mauvaise tolérance des estrogènes exogènes ; pour contrebalancer une hyperestrogénie endogène ; en cas de contre-indication métabolique ou cardiovasculaire aux estroprogestatifs ; en cas de fluctuations hormonales à l’origine de dysphories prémenstruelles ou de migraines cataméniales. Enfin, la contraception progestative constitue une contraception de choix dans certaines situations particulières (allaitement, adénomyose…). Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

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Zoom sur Orphanet, le portail des maladies rares et des médicaments orphelins, www.orpha.net / Christine Blanchot-Isola in Revue sage-femme (La), n°2 ([01/04/2009])

Public ISBD [article]  inRevue sage-femme (La) > n°2 [01/04/2009] . - p. 97-99 Titre : Zoom sur Orphanet, le portail des maladies rares et des médicaments orphelins, www.orpha.net Type de document : Article Auteurs : Christine Blanchot-Isola, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 97-99 Langues : Français (fre) Mots-clés : INFORMATION INTERNET MALADIE ORPHELINE MEDICAMENT Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id [article] Zoom sur Orphanet, le portail des maladies rares et des médicaments orphelins, www.orpha.net [Article] / Christine Blanchot-Isola, Auteur . - 2009 . - p. 97-99. Langues : Français (fre) in Revue sage-femme (La) > n°2 [01/04/2009] . - p. 97-99 Mots-clés : INFORMATION INTERNET MALADIE ORPHELINE MEDICAMENT Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

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Rédiger un article médical, un mémoire : la structure IMRD / Christine Blanchot-Isola in Revue sage-femme (La), n°2 ([01/04/2009])

Public ISBD [article]  inRevue sage-femme (La) > n°2 [01/04/2009] . - p. 100-103 Titre : Rédiger un article médical, un mémoire : la structure IMRD Type de document : Article Auteurs : Christine Blanchot-Isola, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 100-103 Langues : Français (fre) Mots-clés : MEMOIRE DE RECHERCHE METHODOLOGIE REDACTION SAGE-FEMME Résumé : La rédaction du mémoire de fin d'études de sage femme est souvent appréhendée par les étudiants. Cet article guide alors ces derniers en développant chaque partie de la méthode IMRD. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id [article] Rédiger un article médical, un mémoire : la structure IMRD [Article] / Christine Blanchot-Isola, Auteur . - 2009 . - p. 100-103. Langues : Français (fre) in Revue sage-femme (La) > n°2 [01/04/2009] . - p. 100-103 Mots-clés : MEMOIRE DE RECHERCHE METHODOLOGIE REDACTION SAGE-FEMME Résumé : La rédaction du mémoire de fin d'études de sage femme est souvent appréhendée par les étudiants. Cet article guide alors ces derniers en développant chaque partie de la méthode IMRD. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

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Texte des recommandations in Revue sage-femme (La), n°2 ([01/04/2009])

Public ISBD [article]  inRevue sage-femme (La) > n°2 [01/04/2009] . - p. 104-107 Titre : Texte des recommandations Type de document : Article Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 104-107 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACCOUCHEMENT INSTRUMENTATION MEDICALE RECOMMANDATION POUR LA PRATIQUE CLINIQUE Résumé : Ce texte regroupe un ensemble de recommandations pour la pratique de l'extraction instrumentale lors de l'accouchement. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id [article] Texte des recommandations [Article] . - 2009 . - p. 104-107. Langues : Français (fre) in Revue sage-femme (La) > n°2 [01/04/2009] . - p. 104-107 Mots-clés : ACCOUCHEMENT INSTRUMENTATION MEDICALE RECOMMANDATION POUR LA PRATIQUE CLINIQUE Résumé : Ce texte regroupe un ensemble de recommandations pour la pratique de l'extraction instrumentale lors de l'accouchement. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

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Forceps : description, mécanique, indications et contre-indications / O. Feraud in Revue sage-femme (La), n°2 ([01/04/2009])

Public ISBD [article]  inRevue sage-femme (La) > n°2 [01/04/2009] . - p. 108-116 Titre : Forceps : description, mécanique, indications et contre-indications Type de document : Article Auteurs : O. Feraud, Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 108-116 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACCOUCHEMENT INSTRUMENTATION MEDICALE Résumé : Le forceps est un instrument d’extraction ; il guide le mobile fœtal au mieux, accompagné par les efforts expulsifs maternels. Son apparition sous forme de « pince » remonte au XVIIe siècle pour évoluer ensuite jusqu’au XIXe siècle avec l’apparition de forceps croisés (Levret, Pajot, Kielland), d’un tracteur (Tarnier) et de forceps à branches convergentes (Démelin, Suzor). La pose et la traction diffèrent selon le type d’instrument ; elles nécessitent un apprentissage et une connaissance parfaits de la mécanique obstétricale. Les poses les plus aisées et les plus adaptées sont celles en variété antérieure. Lors de variété transverse, on privilégiera un forceps à branches convergentes ou un autre instrument (spatules ou ventouse) (NP4). Certaines situations obstétricales d’extraction peuvent être délicates ; elles nécessitent une évaluation soigneuse acquise par l’expérience. L’absence de progression du mobile fœtal après 3 tractions doit faire abandonner cette voie d’accouchement (NP3). Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id [article] Forceps : description, mécanique, indications et contre-indications [Article] / O. Feraud, Auteur . - 2009 . - p. 108-116. Langues : Français (fre) in Revue sage-femme (La) > n°2 [01/04/2009] . - p. 108-116 Mots-clés : ACCOUCHEMENT INSTRUMENTATION MEDICALE Résumé : Le forceps est un instrument d’extraction ; il guide le mobile fœtal au mieux, accompagné par les efforts expulsifs maternels. Son apparition sous forme de « pince » remonte au XVIIe siècle pour évoluer ensuite jusqu’au XIXe siècle avec l’apparition de forceps croisés (Levret, Pajot, Kielland), d’un tracteur (Tarnier) et de forceps à branches convergentes (Démelin, Suzor). La pose et la traction diffèrent selon le type d’instrument ; elles nécessitent un apprentissage et une connaissance parfaits de la mécanique obstétricale. Les poses les plus aisées et les plus adaptées sont celles en variété antérieure. Lors de variété transverse, on privilégiera un forceps à branches convergentes ou un autre instrument (spatules ou ventouse) (NP4). Certaines situations obstétricales d’extraction peuvent être délicates ; elles nécessitent une évaluation soigneuse acquise par l’expérience. L’absence de progression du mobile fœtal après 3 tractions doit faire abandonner cette voie d’accouchement (NP3). Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

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Ventouses : description, mécanique, indications et contre-indications / Didier Riethmuller in Revue sage-femme (La), n°2 ([01/04/2009])

Public ISBD [article]  inRevue sage-femme (La) > n°2 [01/04/2009] . - p. 117-129 Titre : Ventouses : description, mécanique, indications et contre-indications Type de document : Article Auteurs : Didier Riethmuller, Auteur ; R. Ramanah, Auteur ; Robert Maillet, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 117-129 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACCOUCHEMENT DYSTOCIE INSTRUMENTATION MEDICALE Résumé : La ventouse obstétricale est un instrument d’extraction dont le principe d’action est basé sur le vide et qui, contrairement aux autres instruments, n’augmente pas le diamètre de la présentation. Développé il y a un demi-siècle, cet instrument devient prépondérant dans beaucoup de pays probablement du fait d’une courbe d’apprentissage plus simple que celle du forceps (avis d’expert). L’immense avantage de cet instrument est la flexion céphalique qu’il impose mécaniquement, à la condition que la cupule soit correctement positionnée. Lorsque cette flexion est obtenue, la rotation est alors induite, ce qui apparaît comme particulièrement intéressant dans les variétés postérieures et transverses (NP3). Les limites sont le besoin de la participation maternelle, et la ventouse ne peut pas être utilisée dans la présentation de la face (avis d’expert). La ventouse, à l’instar des autres instruments, peut être délétère voire dangereuse pour la mère et son fœtus, il convient donc d’en respecter les indications et les contre-indications, et d’être tout aussi rigoureux dans le mode opératoire qu’avec les forceps. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id [article] Ventouses : description, mécanique, indications et contre-indications [Article] / Didier Riethmuller, Auteur ; R. Ramanah, Auteur ; Robert Maillet, Auteur ; et al., Auteur . - 2009 . - p. 117-129. Langues : Français (fre) in Revue sage-femme (La) > n°2 [01/04/2009] . - p. 117-129 Mots-clés : ACCOUCHEMENT DYSTOCIE INSTRUMENTATION MEDICALE Résumé : La ventouse obstétricale est un instrument d’extraction dont le principe d’action est basé sur le vide et qui, contrairement aux autres instruments, n’augmente pas le diamètre de la présentation. Développé il y a un demi-siècle, cet instrument devient prépondérant dans beaucoup de pays probablement du fait d’une courbe d’apprentissage plus simple que celle du forceps (avis d’expert). L’immense avantage de cet instrument est la flexion céphalique qu’il impose mécaniquement, à la condition que la cupule soit correctement positionnée. Lorsque cette flexion est obtenue, la rotation est alors induite, ce qui apparaît comme particulièrement intéressant dans les variétés postérieures et transverses (NP3). Les limites sont le besoin de la participation maternelle, et la ventouse ne peut pas être utilisée dans la présentation de la face (avis d’expert). La ventouse, à l’instar des autres instruments, peut être délétère voire dangereuse pour la mère et son fœtus, il convient donc d’en respecter les indications et les contre-indications, et d’être tout aussi rigoureux dans le mode opératoire qu’avec les forceps. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id

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