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Anesthésie & Réanimation . n° 4Paru le : 01/07/2017 |
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n° 4 [Article] . - 2017 . - 398 p. Langues : Français (fre)
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Ajouter le résultat dans votre panierPrise en charge du patient coronarien en chirurgie non cardiaque : un parangon de la médecine péri opératoire moderne ! / Jean-Luc Fellahi in Anesthésie & Réanimation, n° 4 ([01/07/2017])
[article]
Titre : Prise en charge du patient coronarien en chirurgie non cardiaque : un parangon de la médecine péri opératoire moderne ! Type de document : Article Auteurs : Jean-Luc Fellahi, Auteur ; Anne Godier, Auteur ; Valérie Billard, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 305-307 Langues : Français (fre) Mots-clés : CHIRURGIE
CORONAIRECote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 305-307[article] Prise en charge du patient coronarien en chirurgie non cardiaque : un parangon de la médecine péri opératoire moderne ! [Article] / Jean-Luc Fellahi, Auteur ; Anne Godier, Auteur ; Valérie Billard, Auteur . - 2017 . - p. 305-307.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 305-307
Mots-clés : CHIRURGIE
CORONAIRECote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Algorithme simplifié SFAR/SFC d’évaluation et de stratification du risque / Jean-Luc Fellahi in Anesthésie & Réanimation, n° 4 ([01/07/2017])
[article]
Titre : Algorithme simplifié SFAR/SFC d’évaluation et de stratification du risque Type de document : Article Auteurs : Jean-Luc Fellahi, Auteur ; Rémi Schweizer, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 308-312 Langues : Français (fre) Mots-clés : CHIRURGIE
CORONAIRE
INFARCTUS DU MYOCARDE
MYOCARDITE
RISQUERésumé : Les recommandations formalisées d’experts SFAR/SFC proposent un algorithme d’évaluation et de stratification du risque cardiaque chez le patient coronarien adressé pour une chirurgie non cardiaque adapté au système de soins français. Cet algorithme simplifié comporte, d’une part, l’estimation du risque lié au patient à l’aide du score de Lee clinique à cinq items, de la mesure de la réserve fonctionnelle cardiaque en équivalents métaboliques et de l’évaluation de la stabilité de la cardiopathie sous-jacente, et d’autre part, l’estimation du risque lié à la chirurgie. Il évite le recours aux explorations fonctionnelles cardiaques pour la grande majorité des patients moyennant l’optimisation du traitement médical préopératoire. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 308-312[article] Algorithme simplifié SFAR/SFC d’évaluation et de stratification du risque [Article] / Jean-Luc Fellahi, Auteur ; Rémi Schweizer, Auteur . - 2017 . - p. 308-312.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 308-312
Mots-clés : CHIRURGIE
CORONAIRE
INFARCTUS DU MYOCARDE
MYOCARDITE
RISQUERésumé : Les recommandations formalisées d’experts SFAR/SFC proposent un algorithme d’évaluation et de stratification du risque cardiaque chez le patient coronarien adressé pour une chirurgie non cardiaque adapté au système de soins français. Cet algorithme simplifié comporte, d’une part, l’estimation du risque lié au patient à l’aide du score de Lee clinique à cinq items, de la mesure de la réserve fonctionnelle cardiaque en équivalents métaboliques et de l’évaluation de la stabilité de la cardiopathie sous-jacente, et d’autre part, l’estimation du risque lié à la chirurgie. Il évite le recours aux explorations fonctionnelles cardiaques pour la grande majorité des patients moyennant l’optimisation du traitement médical préopératoire. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Le patient coronarien en chirurgie non cardiaque : quand envisager des explorations fonctionnelles ? / Etienne Gayat in Anesthésie & Réanimation, n° 4 ([01/07/2017])
[article]
Titre : Le patient coronarien en chirurgie non cardiaque : quand envisager des explorations fonctionnelles ? Type de document : Article Auteurs : Etienne Gayat, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 313-318 Langues : Français (fre) Mots-clés : CHIRURGIE
CORONAIRE
ECHOCARDIOGRAPHIE
EXPLORATION FONCTIONNELLE
IMAGERIE MEDICALE
SCINTIGRAPHIERésumé : Les explorations fonctionnelles consistent à évaluer chez un patient ne présentant pas de symptômes de coronaropathie à détecter de l’ischémie coronaire silencieuse qui pourrait devenir patente dans la période périopératoire et avoir des conséquences néfastes en termes de morbi-mortalité. La nécessité de recourir à une évaluation fonctionnelle chez les patients porteurs ou à risque de coronaropathie dépend de deux paramètres essentiels : le risque individuel du patient (lié à ces antécédents et au type de chirurgie qu’il doit subir) et la capacité fonctionnelle estimée en équivalent métabolique (MET). Les deux épreuves fonctionnelles les plus couramment utilisées sont l’échographie de stress à la dobutamine et la scintigraphie thallium-dipyridamole. On retiendra que l’indication préférentielle de ces épreuves est la nécessité de réaliser une chirurgie à haut risque chez un patient porteur ou à risque de maladie coronaire chez qui la réserve fonctionnelle est soit faible ( Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 313-318[article] Le patient coronarien en chirurgie non cardiaque : quand envisager des explorations fonctionnelles ? [Article] / Etienne Gayat, Auteur . - 2017 . - p. 313-318.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 313-318
Mots-clés : CHIRURGIE
CORONAIRE
ECHOCARDIOGRAPHIE
EXPLORATION FONCTIONNELLE
IMAGERIE MEDICALE
SCINTIGRAPHIERésumé : Les explorations fonctionnelles consistent à évaluer chez un patient ne présentant pas de symptômes de coronaropathie à détecter de l’ischémie coronaire silencieuse qui pourrait devenir patente dans la période périopératoire et avoir des conséquences néfastes en termes de morbi-mortalité. La nécessité de recourir à une évaluation fonctionnelle chez les patients porteurs ou à risque de coronaropathie dépend de deux paramètres essentiels : le risque individuel du patient (lié à ces antécédents et au type de chirurgie qu’il doit subir) et la capacité fonctionnelle estimée en équivalent métabolique (MET). Les deux épreuves fonctionnelles les plus couramment utilisées sont l’échographie de stress à la dobutamine et la scintigraphie thallium-dipyridamole. On retiendra que l’indication préférentielle de ces épreuves est la nécessité de réaliser une chirurgie à haut risque chez un patient porteur ou à risque de maladie coronaire chez qui la réserve fonctionnelle est soit faible ( Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Place de la revascularisation myocardique chez le patient coronarien avant chirurgie non cardiaque / Anne-Céline Martin in Anesthésie & Réanimation, n° 4 ([01/07/2017])
[article]
Titre : Place de la revascularisation myocardique chez le patient coronarien avant chirurgie non cardiaque Type de document : Article Auteurs : Anne-Céline Martin, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 319-324 Langues : Français (fre) Mots-clés : ANGIOPLASTIE
CHIRURGIE
CORONAIRE
INFARCTUS DU MYOCARDERésumé : La chirurgie non cardiaque expose les patients, en particuliers lorsqu’ils sont coronariens, à un risque d’infarctus du myocarde (IDM) et de décès périopératoires fréquent. Les mécanismes physiopathologiques impliqués dans la genèse des IDM périopératoires sont multiples et complexes et la revascularisation myocardique préopératoire systématique n’a que peu d’impact. Les recommandations font une place limitée à l’exploration coronarographique et la revascularisation myocardique avant une chirurgie non cardiaque. Son bénéfice en termes de prévention des événements cardiovasculaires périopératoires par rapport à un traitement médical optimisé n’est en effet démontré que chez des patients présentant une ischémie documentée menaçant un territoire myocardique étendu et ne doit être envisagé qu’avant une chirurgie à risque intermédiaire ou élevé de complications. La stratégie de revascularisation, angioplastie ou chirurgie de pontage aorto-coronarien, dépendra alors de l’anatomie et de la complexité des lésions coronaires et du degré d’urgence de la chirurgie, qui conditionne la durée de la bithérapie antiplaquettaire. Les stents nus, jusque-là privilégiés dans le contexte périopératoire laissent peu à peu la place aux stents actifs de nouvelle génération. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 319-324[article] Place de la revascularisation myocardique chez le patient coronarien avant chirurgie non cardiaque [Article] / Anne-Céline Martin, Auteur . - 2017 . - p. 319-324.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 319-324
Mots-clés : ANGIOPLASTIE
CHIRURGIE
CORONAIRE
INFARCTUS DU MYOCARDERésumé : La chirurgie non cardiaque expose les patients, en particuliers lorsqu’ils sont coronariens, à un risque d’infarctus du myocarde (IDM) et de décès périopératoires fréquent. Les mécanismes physiopathologiques impliqués dans la genèse des IDM périopératoires sont multiples et complexes et la revascularisation myocardique préopératoire systématique n’a que peu d’impact. Les recommandations font une place limitée à l’exploration coronarographique et la revascularisation myocardique avant une chirurgie non cardiaque. Son bénéfice en termes de prévention des événements cardiovasculaires périopératoires par rapport à un traitement médical optimisé n’est en effet démontré que chez des patients présentant une ischémie documentée menaçant un territoire myocardique étendu et ne doit être envisagé qu’avant une chirurgie à risque intermédiaire ou élevé de complications. La stratégie de revascularisation, angioplastie ou chirurgie de pontage aorto-coronarien, dépendra alors de l’anatomie et de la complexité des lésions coronaires et du degré d’urgence de la chirurgie, qui conditionne la durée de la bithérapie antiplaquettaire. Les stents nus, jusque-là privilégiés dans le contexte périopératoire laissent peu à peu la place aux stents actifs de nouvelle génération. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Les bêta-bloquants : l’histoire d’une épopée en anesthésie / Bertrand Rozec in Anesthésie & Réanimation, n° 4 ([01/07/2017])
[article]
Titre : Les bêta-bloquants : l’histoire d’une épopée en anesthésie Type de document : Article Auteurs : Bertrand Rozec, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 325-331 Langues : Français (fre) Mots-clés : ANESTHESIE
CHIRURGIE
COMPLICATION
CORONAIRE
ISCHEMIE
MEDICAMENT
RECOMMANDATION
SOIN PERIOPERATOIRERésumé : Les bêta-bloquants par leurs actions pharmacologiques sont largement indiqués dans la prise en charge de la pathologie coronarienne.
L’étude de l’intérêt des bêta-bloquants en périopératoire a fait l’objet de nombreux scandales et controverses.
Il existe de multiples recommandations internationales qui sont régulièrement mises à jour en fonction du résultat des dernières études. Les dernières datent de 2014.
Lorsqu’un traitement par bêta-bloquant est indiqué chez un patient (en dehors de toute considération de prévention du risque cardiaque périopératoire), il faut discuter l’intérêt de son instauration.
Il est admis qu’il convient de poursuivre les bêta-bloquants en préopératoire chez les patients traités de manière chronique.
Débuter sans précaution (titration) en préopératoire un traitement par bêta-bloquants expose les patients à des effets secondaires cardiovasculaires (hypotension, bradycardie et accident vasculaire cérébral) et à une augmentation de la mortalité.
En préopératoire, chez les patients à haut risque, il convient d’envisager l’introduction de bêta-bloquants. Il n’est en revanche pas recommandé de les débuter avant une chirurgie à faible risque.
Tous les bêta-bloquants utilisés dans les études sur le sujet ne sont pas tous équivalents pharmacologiquement. Il faut probablement privilégier l’aténolol et le bisoprolol au métoprolol.
De nouveaux bêta-bloquants dits de 3e génération ont été développés pour la prise en charge de l’insuffisance cardiaque. Mieux tolérés selon certains travaux, ils n’ont pas été testés en périopératoire.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 325-331[article] Les bêta-bloquants : l’histoire d’une épopée en anesthésie [Article] / Bertrand Rozec, Auteur . - 2017 . - p. 325-331.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 325-331
Mots-clés : ANESTHESIE
CHIRURGIE
COMPLICATION
CORONAIRE
ISCHEMIE
MEDICAMENT
RECOMMANDATION
SOIN PERIOPERATOIRERésumé : Les bêta-bloquants par leurs actions pharmacologiques sont largement indiqués dans la prise en charge de la pathologie coronarienne.
L’étude de l’intérêt des bêta-bloquants en périopératoire a fait l’objet de nombreux scandales et controverses.
Il existe de multiples recommandations internationales qui sont régulièrement mises à jour en fonction du résultat des dernières études. Les dernières datent de 2014.
Lorsqu’un traitement par bêta-bloquant est indiqué chez un patient (en dehors de toute considération de prévention du risque cardiaque périopératoire), il faut discuter l’intérêt de son instauration.
Il est admis qu’il convient de poursuivre les bêta-bloquants en préopératoire chez les patients traités de manière chronique.
Débuter sans précaution (titration) en préopératoire un traitement par bêta-bloquants expose les patients à des effets secondaires cardiovasculaires (hypotension, bradycardie et accident vasculaire cérébral) et à une augmentation de la mortalité.
En préopératoire, chez les patients à haut risque, il convient d’envisager l’introduction de bêta-bloquants. Il n’est en revanche pas recommandé de les débuter avant une chirurgie à faible risque.
Tous les bêta-bloquants utilisés dans les études sur le sujet ne sont pas tous équivalents pharmacologiquement. Il faut probablement privilégier l’aténolol et le bisoprolol au métoprolol.
De nouveaux bêta-bloquants dits de 3e génération ont été développés pour la prise en charge de l’insuffisance cardiaque. Mieux tolérés selon certains travaux, ils n’ont pas été testés en périopératoire.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Gestion préopératoire des médicaments cardiovasculaires / Pierre Coriat in Anesthésie & Réanimation, n° 4 ([01/07/2017])
[article]
Titre : Gestion préopératoire des médicaments cardiovasculaires Type de document : Article Auteurs : Pierre Coriat, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 332-341 Langues : Français (fre) Mots-clés : CHIRURGIE
MALADIE CARDIO-VASCULAIRE
MEDICAMENT
MEDICAMENT CARDIOVASCULAIRE
RISQUE
SOIN PRE ET POST-OPERATOIRE
STATINERésumé : La gestion pré- et peropératoire des médicaments cardiovasculaires est une étape essentielle de la prévention des complications cardiaques et neurologiques postopératoires des opérés à risque. Si les bêtabloquants améliorent l’oxygénation myocardique pendant la période opératoire, ils exposent à des complications graves (insuffisance circulatoire aiguë, défaillance multiviscérale, décès) en cas d’hypotension artérielle ou de complication médicochirurgicale postopératoire. Leurs effets bénéfiques sont donc conditionnels car ils ne s’exercent qu’en l’absence de complication, qui nécessite l’activation du système sympathique pour maintenir l’équilibre circulatoire : anémie importante, état septique, hypovolémie. Le système rénine angiotensine a pour rôle essentiel de maintenir la pression artérielle face à une diminution du retour veineux, qu’il résulte d’une baisse de la volémie ou d’une vasodilatation des systèmes artériels résistifs veineux capacitifs. Chez l’opéré hypertendu, les bloqueurs du système rénine angiotensine favorisent la survenue de baisses tensionnelles pendant l’anesthésie et altèrent la fonction rénale. La poursuite des bloqueurs du système rénine angiotensine chez l’opéré hypertendu jusqu’à l’intervention majore la morbidité et la mortalité postopératoire. L’arrêt de ces médicaments avant l’intervention qui n’expose à aucun effet rebond et limite les baisses tensionnelles peropératoires apparaît donc impératif. Chez les opérés insuffisants cardiaques, l’arrêt des bloqueurs du système rénine angiotensine favorise le maintien d’un équilibre tensionnel au détriment des circulations régionales. Les statines limitent les dommages myocardiques ischémiques per- et postopératoire et améliorent de façon considérable la mortalité postopératoire. Les satines de longue durée d’action améliorent l’espérance de vie des opères qui présentent un dommage myocardique postopératoire. L’effet bénéfique des statines est inconditionnel, il est d’autant plus important que les opérés présentent d’évènements circulatoires et des complications pendant la période opératoire. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 332-341[article] Gestion préopératoire des médicaments cardiovasculaires [Article] / Pierre Coriat, Auteur . - 2017 . - p. 332-341.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 332-341
Mots-clés : CHIRURGIE
MALADIE CARDIO-VASCULAIRE
MEDICAMENT
MEDICAMENT CARDIOVASCULAIRE
RISQUE
SOIN PRE ET POST-OPERATOIRE
STATINERésumé : La gestion pré- et peropératoire des médicaments cardiovasculaires est une étape essentielle de la prévention des complications cardiaques et neurologiques postopératoires des opérés à risque. Si les bêtabloquants améliorent l’oxygénation myocardique pendant la période opératoire, ils exposent à des complications graves (insuffisance circulatoire aiguë, défaillance multiviscérale, décès) en cas d’hypotension artérielle ou de complication médicochirurgicale postopératoire. Leurs effets bénéfiques sont donc conditionnels car ils ne s’exercent qu’en l’absence de complication, qui nécessite l’activation du système sympathique pour maintenir l’équilibre circulatoire : anémie importante, état septique, hypovolémie. Le système rénine angiotensine a pour rôle essentiel de maintenir la pression artérielle face à une diminution du retour veineux, qu’il résulte d’une baisse de la volémie ou d’une vasodilatation des systèmes artériels résistifs veineux capacitifs. Chez l’opéré hypertendu, les bloqueurs du système rénine angiotensine favorisent la survenue de baisses tensionnelles pendant l’anesthésie et altèrent la fonction rénale. La poursuite des bloqueurs du système rénine angiotensine chez l’opéré hypertendu jusqu’à l’intervention majore la morbidité et la mortalité postopératoire. L’arrêt de ces médicaments avant l’intervention qui n’expose à aucun effet rebond et limite les baisses tensionnelles peropératoires apparaît donc impératif. Chez les opérés insuffisants cardiaques, l’arrêt des bloqueurs du système rénine angiotensine favorise le maintien d’un équilibre tensionnel au détriment des circulations régionales. Les statines limitent les dommages myocardiques ischémiques per- et postopératoire et améliorent de façon considérable la mortalité postopératoire. Les satines de longue durée d’action améliorent l’espérance de vie des opères qui présentent un dommage myocardique postopératoire. L’effet bénéfique des statines est inconditionnel, il est d’autant plus important que les opérés présentent d’évènements circulatoires et des complications pendant la période opératoire. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Gestion périopératoire des agents antiplaquettaires chez le patient coronarien / Anne Godier in Anesthésie & Réanimation, n° 4 ([01/07/2017])
[article]
Titre : Gestion périopératoire des agents antiplaquettaires chez le patient coronarien Type de document : Article Auteurs : Anne Godier, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 343-348 Langues : Français (fre) Mots-clés : CHIRURGIE
CORONAIRE
HEMORRAGIE
INFARCTUS DU MYOCARDE
SOIN PERIOPERATOIRERésumé : La gestion des agents antiplaquettaires (AAP) pour une procédure invasive chez un patient coronarien dépend de la balance des risques thrombotiques et hémorragiques et de la possibilité d’un éventuel report la procédure. Le risque hémorragique de la procédure se classe en risque faible, intermédiaire ou élevé selon que la procédure peut être réalisée sous bithérapie antiplaquettaire, sous aspirine ou qu’elle doit être réalisée sans AAP. Si l’arrêt des AAP est indispensable, ils sont arrêtés avec une dernière prise d’aspirine à j–3 pour l’aspirine (j0=jour de la procédure), à j–5 pour le clopidogrel et le ticagrelor et à j–7 pour le prasugrel. La gestion des AAP dépend aussi du risque thrombotique du patient coronarien, d’autant plus élevé que la procédure s’envisage précocement après une pose de stent ou un infarctus du myocarde. Dans ces situations, la procédure doit être différée, au mieux à la fin de la bithérapie, au minimum après le premier mois ; l’aspirine doit être poursuivie ; et l’approche périopératoire doit être multidisciplinaire. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 343-348[article] Gestion périopératoire des agents antiplaquettaires chez le patient coronarien [Article] / Anne Godier, Auteur . - 2017 . - p. 343-348.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 343-348
Mots-clés : CHIRURGIE
CORONAIRE
HEMORRAGIE
INFARCTUS DU MYOCARDE
SOIN PERIOPERATOIRERésumé : La gestion des agents antiplaquettaires (AAP) pour une procédure invasive chez un patient coronarien dépend de la balance des risques thrombotiques et hémorragiques et de la possibilité d’un éventuel report la procédure. Le risque hémorragique de la procédure se classe en risque faible, intermédiaire ou élevé selon que la procédure peut être réalisée sous bithérapie antiplaquettaire, sous aspirine ou qu’elle doit être réalisée sans AAP. Si l’arrêt des AAP est indispensable, ils sont arrêtés avec une dernière prise d’aspirine à j–3 pour l’aspirine (j0=jour de la procédure), à j–5 pour le clopidogrel et le ticagrelor et à j–7 pour le prasugrel. La gestion des AAP dépend aussi du risque thrombotique du patient coronarien, d’autant plus élevé que la procédure s’envisage précocement après une pose de stent ou un infarctus du myocarde. Dans ces situations, la procédure doit être différée, au mieux à la fin de la bithérapie, au minimum après le premier mois ; l’aspirine doit être poursuivie ; et l’approche périopératoire doit être multidisciplinaire. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible La période peropératoire n’est pas une boîte noire / Jean-Luc Fellahi in Anesthésie & Réanimation, n° 4 ([01/07/2017])
[article]
Titre : La période peropératoire n’est pas une boîte noire Type de document : Article Auteurs : Jean-Luc Fellahi, Auteur ; Rémi Schweizer, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 349-352 Langues : Français (fre) Mots-clés : CHIRURGIE
CORONAIRERésumé : La période peropératoire n’est pas une boîte noire et la survenue d’évènements indésirables pendant la chirurgie a un impact sur le pronostic postopératoire qui module en retour la stratification du risque établie pendant la consultation d’anesthésie. La clé de voûte de la prise en charge peropératoire du coronarien repose sur le maintien de l’équilibre de la balance énergétique du myocarde via le contrôle de ses principaux déterminants. Une approche multimodale simple a démontré sa capacité à réduire la libération postopératoire de troponine et l’incidence des complications cardiaques graves postopératoires à distance. Le score d’Apgar chirurgical pourrait être intéressant pour la quantification des évènements peropératoires et le choix du chemin clinique postopératoire des patients à risque cardiaque. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 349-352[article] La période peropératoire n’est pas une boîte noire [Article] / Jean-Luc Fellahi, Auteur ; Rémi Schweizer, Auteur . - 2017 . - p. 349-352.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 349-352
Mots-clés : CHIRURGIE
CORONAIRERésumé : La période peropératoire n’est pas une boîte noire et la survenue d’évènements indésirables pendant la chirurgie a un impact sur le pronostic postopératoire qui module en retour la stratification du risque établie pendant la consultation d’anesthésie. La clé de voûte de la prise en charge peropératoire du coronarien repose sur le maintien de l’équilibre de la balance énergétique du myocarde via le contrôle de ses principaux déterminants. Une approche multimodale simple a démontré sa capacité à réduire la libération postopératoire de troponine et l’incidence des complications cardiaques graves postopératoires à distance. Le score d’Apgar chirurgical pourrait être intéressant pour la quantification des évènements peropératoires et le choix du chemin clinique postopératoire des patients à risque cardiaque. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Stratégie anesthésique : ALR vs AG, halogénés vs anesthésiques intraveineux, analgésie / Emmanuel Samain in Anesthésie & Réanimation, n° 4 ([01/07/2017])
[article]
Titre : Stratégie anesthésique : ALR vs AG, halogénés vs anesthésiques intraveineux, analgésie Type de document : Article Auteurs : Emmanuel Samain, Auteur ; Emmanuel Berthier, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 353-359 Langues : Français (fre) Mots-clés : ANALGESIE
ANESTHESIE
CORONAIRE
ISCHEMIE
RISQUE
SOIN PRE ET POST-OPERATOIRERésumé : La période opératoire est une période à risque pour le coronarien. La prise en charge anesthésique est basée sur une stratégie de prévention et de détection rapide et de traitement des événements cardiaques.
L’optimisation des paramètres hémodynamique pour maintenir l’équilibre de la balance énergétique du myocarde est un élément important de la période opératoire.
L’effet des agents anesthésique et de l’anesthésie périmédullaire sur l’hémodynamique et sur les systèmes de régulation cardiovasculaire doivent être pris en compte dans la gestion de l’anesthésie.
Le maintien de la normothermie est recommandé chez le coronarien opéré en chirurgie non cardiaque.
Le bénéfice de l’anesthésie périmédullaire en termes de réduction du risque cardiovasculaire n’a pas été clairement montré malgré un nombre important d’études et de méta-analyses.
Cette technique reste cependant une excellente méthode d’analgésie et pourrait réduire les complications respiratoires postopératoires. La gestion des antiplaquettaires fréquemment utilisés chez le coronarien a fait l’objet de recommandation spécifiques.
Le préconditionnement par un agent anesthésique halogéné, démontré expérimentalement et très probable en chirurgie cardiaque n’a pas fait la preuve de son efficacité en chirurgie générale.
Le choix d’un agent halogéné pour l’entretien de l’anesthésie reste guidé sur d’autres critères que la prévention de l’ischémie myocardique ou de l’infarctus du myocarde (IDM) périopératoires.
Le préconditionnement ischémique à distance n’a pas été montré efficace pour réduire le risque de complications cardiaques périopératoires.
La prévention des complications cardiaques au moyen de nitrés ou alpha-2-agonistes administrés de manière prophylactique n’est pas recommandée.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 353-359[article] Stratégie anesthésique : ALR vs AG, halogénés vs anesthésiques intraveineux, analgésie [Article] / Emmanuel Samain, Auteur ; Emmanuel Berthier, Auteur . - 2017 . - p. 353-359.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 353-359
Mots-clés : ANALGESIE
ANESTHESIE
CORONAIRE
ISCHEMIE
RISQUE
SOIN PRE ET POST-OPERATOIRERésumé : La période opératoire est une période à risque pour le coronarien. La prise en charge anesthésique est basée sur une stratégie de prévention et de détection rapide et de traitement des événements cardiaques.
L’optimisation des paramètres hémodynamique pour maintenir l’équilibre de la balance énergétique du myocarde est un élément important de la période opératoire.
L’effet des agents anesthésique et de l’anesthésie périmédullaire sur l’hémodynamique et sur les systèmes de régulation cardiovasculaire doivent être pris en compte dans la gestion de l’anesthésie.
Le maintien de la normothermie est recommandé chez le coronarien opéré en chirurgie non cardiaque.
Le bénéfice de l’anesthésie périmédullaire en termes de réduction du risque cardiovasculaire n’a pas été clairement montré malgré un nombre important d’études et de méta-analyses.
Cette technique reste cependant une excellente méthode d’analgésie et pourrait réduire les complications respiratoires postopératoires. La gestion des antiplaquettaires fréquemment utilisés chez le coronarien a fait l’objet de recommandation spécifiques.
Le préconditionnement par un agent anesthésique halogéné, démontré expérimentalement et très probable en chirurgie cardiaque n’a pas fait la preuve de son efficacité en chirurgie générale.
Le choix d’un agent halogéné pour l’entretien de l’anesthésie reste guidé sur d’autres critères que la prévention de l’ischémie myocardique ou de l’infarctus du myocarde (IDM) périopératoires.
Le préconditionnement ischémique à distance n’a pas été montré efficace pour réduire le risque de complications cardiaques périopératoires.
La prévention des complications cardiaques au moyen de nitrés ou alpha-2-agonistes administrés de manière prophylactique n’est pas recommandée.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Le patient coronarien en chirurgie non cardiaque : choix du monitorage et stratégie d’optimisation hémodynamique standardisée (dont seuils transfusionnels) / Alex Hong in Anesthésie & Réanimation, n° 4 ([01/07/2017])
[article]
Titre : Le patient coronarien en chirurgie non cardiaque : choix du monitorage et stratégie d’optimisation hémodynamique standardisée (dont seuils transfusionnels) Type de document : Article Auteurs : Alex Hong, Auteur ; Arthur Le Gall, Auteur ; Etienne Gayat, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 360-369 Langues : Français (fre) Mots-clés : CHIRURGIE
CORONAIRE
INFARCTUS DU MYOCARDE
ISCHEMIE
MONITORAGE
PRESSION ARTERIELLERésumé : Le patient coronarien en chirurgie non cardiaque est une population à risque d’ischémie myocardique périopératoire. La connaissance de la physiopathologie de l’ischémie myocardique et de l’infarctus durant la période périopératoire permet de déterminer les différents paramètres à monitorer, lors d’une anesthésie générale. L’objectif peropératoire principal est d’éviter les ischémies myocardiques qui sont le lit de l’infarctus du myocarde. Le monitorage de la pression artérielle moyenne (PAM) est indispensable avec comme objectif une PAM supérieur à 65mmHg et/ou une PAM supérieur à 80 % de la PAM de référence. Idéalement, sa mesure continue est souhaitable mais cela dépend du risque anesthésique d’autant plus qu’elle sous-entend la réalisation d’un geste invasif motivant le développement de nouveaux moniteurs de surveillance continue non invasive. Il en est de même pour le monitorage du débit cardiaque dont la cible doit être personnalisée et adaptée à chaque patient en titrant le remplissage par la mesure du volume d’éjection systolique associé à une réévaluation régulière. Il sera dans cette revue exposée différents types de moniteurs plus ou moins invasifs. L’établissement de seuils transfusionnels est un processus dynamique et complexe, une hémoglobine cible entre 8 et 10g/dL est à adapter en fonction du risque hémorragique, coronarien, de l’évolutivité du saignement et des autres paramètres hémodynamiques. La fréquence cardiaque, la température ainsi que la SpO2 font également partie intégrante de l’optimisation hémodynamique chez le patient coronarien. La stratégie d’optimisation hémodynamique standardisée chez le patient coronarien s’inscrit dans un processus multimodal avec le développement de nouveaux moniteurs de moins en moins invasifs. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 360-369[article] Le patient coronarien en chirurgie non cardiaque : choix du monitorage et stratégie d’optimisation hémodynamique standardisée (dont seuils transfusionnels) [Article] / Alex Hong, Auteur ; Arthur Le Gall, Auteur ; Etienne Gayat, Auteur . - 2017 . - p. 360-369.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 360-369
Mots-clés : CHIRURGIE
CORONAIRE
INFARCTUS DU MYOCARDE
ISCHEMIE
MONITORAGE
PRESSION ARTERIELLERésumé : Le patient coronarien en chirurgie non cardiaque est une population à risque d’ischémie myocardique périopératoire. La connaissance de la physiopathologie de l’ischémie myocardique et de l’infarctus durant la période périopératoire permet de déterminer les différents paramètres à monitorer, lors d’une anesthésie générale. L’objectif peropératoire principal est d’éviter les ischémies myocardiques qui sont le lit de l’infarctus du myocarde. Le monitorage de la pression artérielle moyenne (PAM) est indispensable avec comme objectif une PAM supérieur à 65mmHg et/ou une PAM supérieur à 80 % de la PAM de référence. Idéalement, sa mesure continue est souhaitable mais cela dépend du risque anesthésique d’autant plus qu’elle sous-entend la réalisation d’un geste invasif motivant le développement de nouveaux moniteurs de surveillance continue non invasive. Il en est de même pour le monitorage du débit cardiaque dont la cible doit être personnalisée et adaptée à chaque patient en titrant le remplissage par la mesure du volume d’éjection systolique associé à une réévaluation régulière. Il sera dans cette revue exposée différents types de moniteurs plus ou moins invasifs. L’établissement de seuils transfusionnels est un processus dynamique et complexe, une hémoglobine cible entre 8 et 10g/dL est à adapter en fonction du risque hémorragique, coronarien, de l’évolutivité du saignement et des autres paramètres hémodynamiques. La fréquence cardiaque, la température ainsi que la SpO2 font également partie intégrante de l’optimisation hémodynamique chez le patient coronarien. La stratégie d’optimisation hémodynamique standardisée chez le patient coronarien s’inscrit dans un processus multimodal avec le développement de nouveaux moniteurs de moins en moins invasifs. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Patients coronariens opérés en chirurgie non cardiaque : quel parcours de soins ? / Bertrand Rozec in Anesthésie & Réanimation, n° 4 ([01/07/2017])
[article]
Titre : Patients coronariens opérés en chirurgie non cardiaque : quel parcours de soins ? Type de document : Article Auteurs : Bertrand Rozec, Auteur ; Vincent Piriou, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 370-375 Langues : Français (fre) Mots-clés : CHIRURGIE
CHIRURGIE AMBULATOIRE
CORONAIRE
MONITORAGE
PARCOURS DE SOINSRésumé : Il existe peu d’évaluation de l’impact du parcours de soin sur la morbidité et la mortalité postopératoire des patients coronariens opérés en chirurgie non cardiaque.
La recherche d’une situation cardiaque instable (angor instable, insuffisance cardiaque aiguë, arythmie cardiaque significative, valvulopathie symptomatique, infarctus du myocarde récent et ischémie résiduelle) doit être systématique en préopératoire.
L’évaluation du risque cardiaque dans le contexte d’une chirurgie non cardiaque doit être réalisée en préopératoire.
Le score d’APGAR chirurgical permettrait de stratifier le risque de complications postopératoires en tenant compte de la fréquence cardiaque, la pression artérielle moyenne et la perte sanguine peropératoire.
Les parcours de soins de type ambulatoire ou la réhabilitation améliorée après chirurgie ne sont probablement pas à contre indiqués, mais à adapter au patient.
En postopératoire, la détection d’ischémie myocardique par un dosage de la troponine plasmatique précoce et pendant 48h est à recommander en particulier dans les situations à plus haut risque.
La détection de dommage myocardique associée à de faibles élévations de troponine doit conduire à un électrocardiogramme et si besoin un renforcement du traitement médical.
Le monitorage postopératoire doit également permettre de rechercher et traiter une instabilité hémodynamique, une anémie ou une hypoxémie.
Il faut disposer d’évaluations des effets de protocoles de surveillance et de prise en charge de ces patients pour en améliorer la survie.
Il est difficile de transposer les parcours de soins proposés pour ces patients d’un pays/d’une structure à l’autre.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 370-375[article] Patients coronariens opérés en chirurgie non cardiaque : quel parcours de soins ? [Article] / Bertrand Rozec, Auteur ; Vincent Piriou, Auteur . - 2017 . - p. 370-375.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 370-375
Mots-clés : CHIRURGIE
CHIRURGIE AMBULATOIRE
CORONAIRE
MONITORAGE
PARCOURS DE SOINSRésumé : Il existe peu d’évaluation de l’impact du parcours de soin sur la morbidité et la mortalité postopératoire des patients coronariens opérés en chirurgie non cardiaque.
La recherche d’une situation cardiaque instable (angor instable, insuffisance cardiaque aiguë, arythmie cardiaque significative, valvulopathie symptomatique, infarctus du myocarde récent et ischémie résiduelle) doit être systématique en préopératoire.
L’évaluation du risque cardiaque dans le contexte d’une chirurgie non cardiaque doit être réalisée en préopératoire.
Le score d’APGAR chirurgical permettrait de stratifier le risque de complications postopératoires en tenant compte de la fréquence cardiaque, la pression artérielle moyenne et la perte sanguine peropératoire.
Les parcours de soins de type ambulatoire ou la réhabilitation améliorée après chirurgie ne sont probablement pas à contre indiqués, mais à adapter au patient.
En postopératoire, la détection d’ischémie myocardique par un dosage de la troponine plasmatique précoce et pendant 48h est à recommander en particulier dans les situations à plus haut risque.
La détection de dommage myocardique associée à de faibles élévations de troponine doit conduire à un électrocardiogramme et si besoin un renforcement du traitement médical.
Le monitorage postopératoire doit également permettre de rechercher et traiter une instabilité hémodynamique, une anémie ou une hypoxémie.
Il faut disposer d’évaluations des effets de protocoles de surveillance et de prise en charge de ces patients pour en améliorer la survie.
Il est difficile de transposer les parcours de soins proposés pour ces patients d’un pays/d’une structure à l’autre.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Utilisation des biomarqueurs dans le contexte périopératoire / Dan Longrois in Anesthésie & Réanimation, n° 4 ([01/07/2017])
[article]
Titre : Utilisation des biomarqueurs dans le contexte périopératoire Type de document : Article Auteurs : Dan Longrois, Auteur ; Sophie Provenchère, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 376-385 Langues : Français (fre) Mots-clés : CHIRURGIE
MORBIDITE
MORTALITE
RECOMMANDATION
SOIN PERIOPERATOIRERésumé : Un biomarqueur est défini comme un paramètre mesuré objectivement et qui sert à évaluer un processus physiologique ou physiopathologique, à diagnostiquer ou à prédire une maladie, la mortalité ou à mesurer ou prédire la réponse de l’organisme à une intervention.
L’utilisation raisonnée des biomarqueurs en pratique clinique courante impose de connaître la physiologie et physiopathologie du biomarqueur dans un contexte clinique/phénotype donné, le bruit de la mesure et les critères qui permettent de choisir une valeur seuil pour le biomarqueur en question pour définir une situation pathologique.
Les deux biomarqueurs qui ont fait l’objet de recommandations de la European Society of Cardiology/European Society of Anaesthesiology (ESC/ESA) en 2014 sont la troponine et le brain natriuretic peptide (BNP).
Selon les recommandations ESC/ESA de 2014, il est recommandé de prescrire un dosage de troponine et/ou de BNP en pré et/ou en postopératoire de chirurgie non cardiaque : chez les patients ayant un score de Lee≥2 pour une chirurgie vasculaire et≥3 pour une chirurgie non vasculaire ; chez les patients dont le score d’Apgar chirurgical calculé à la fin de la chirurgie était≤7.
Si une augmentation de troponine est diagnostiquée, un examen clinique, un électrocardiogramme et une demande de consultation de cardiologie sont probablement utiles.
Les interventions qui doivent être mises en place après une augmentation postopératoire de la troponine sont d’abord destinées à corriger les facteurs déclenchants (hypovolémie, hypoxémie, activation excessive du système nerveux sympathique).
La place des interventions pharmacologiques (statines, bêtabloquants, inhibiteurs de l’enzyme de conversion et aspirine) reste à définir, car les études prospectives n’ont pas montré leur efficacité dans la prévention des complications cardiaques après chirurgie non cardiaque.
Un suivi cardiologique à distance chez les patients qui ont présenté une augmentation postopératoire de troponine est probablement utile. Elle a pour objectif de modifier les facteurs de risque d’athérome.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 376-385[article] Utilisation des biomarqueurs dans le contexte périopératoire [Article] / Dan Longrois, Auteur ; Sophie Provenchère, Auteur . - 2017 . - p. 376-385.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 376-385
Mots-clés : CHIRURGIE
MORBIDITE
MORTALITE
RECOMMANDATION
SOIN PERIOPERATOIRERésumé : Un biomarqueur est défini comme un paramètre mesuré objectivement et qui sert à évaluer un processus physiologique ou physiopathologique, à diagnostiquer ou à prédire une maladie, la mortalité ou à mesurer ou prédire la réponse de l’organisme à une intervention.
L’utilisation raisonnée des biomarqueurs en pratique clinique courante impose de connaître la physiologie et physiopathologie du biomarqueur dans un contexte clinique/phénotype donné, le bruit de la mesure et les critères qui permettent de choisir une valeur seuil pour le biomarqueur en question pour définir une situation pathologique.
Les deux biomarqueurs qui ont fait l’objet de recommandations de la European Society of Cardiology/European Society of Anaesthesiology (ESC/ESA) en 2014 sont la troponine et le brain natriuretic peptide (BNP).
Selon les recommandations ESC/ESA de 2014, il est recommandé de prescrire un dosage de troponine et/ou de BNP en pré et/ou en postopératoire de chirurgie non cardiaque : chez les patients ayant un score de Lee≥2 pour une chirurgie vasculaire et≥3 pour une chirurgie non vasculaire ; chez les patients dont le score d’Apgar chirurgical calculé à la fin de la chirurgie était≤7.
Si une augmentation de troponine est diagnostiquée, un examen clinique, un électrocardiogramme et une demande de consultation de cardiologie sont probablement utiles.
Les interventions qui doivent être mises en place après une augmentation postopératoire de la troponine sont d’abord destinées à corriger les facteurs déclenchants (hypovolémie, hypoxémie, activation excessive du système nerveux sympathique).
La place des interventions pharmacologiques (statines, bêtabloquants, inhibiteurs de l’enzyme de conversion et aspirine) reste à définir, car les études prospectives n’ont pas montré leur efficacité dans la prévention des complications cardiaques après chirurgie non cardiaque.
Un suivi cardiologique à distance chez les patients qui ont présenté une augmentation postopératoire de troponine est probablement utile. Elle a pour objectif de modifier les facteurs de risque d’athérome.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Gestion des évènements postopératoires avérés / Sophie Jenck in Anesthésie & Réanimation, n° 4 ([01/07/2017])
[article]
Titre : Gestion des évènements postopératoires avérés Type de document : Article Auteurs : Sophie Jenck, Auteur ; Nathalie Bochaton, Auteur ; Eric Bonnefoy-Cudraz, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 386-396 Langues : Français (fre) Mots-clés : CHIRURGIE
CORONAIRE
FIBRILLATION
INFARCTUS DU MYOCARDE
ISCHEMIE
SOIN PRE ET POST-OPERATOIRERésumé : Les coronariens ont un risque plus élevé de complications cardiaques en postopératoire d’une chirurgie non cardiaque. Un coronarien est considéré à haut risque postopératoire lorsqu’il a présenté récemment un syndrome coronarien aigu récent ou est symptomatique pour un faible niveau d’effort. Le coronarien stable asymptomatique est à faible risque de complications postopératoires. La mortalité des infarctus postopératoires est beaucoup plus élevée que dans un contexte non chirurgical. En cas de STEMI, une occlusion coronaire aiguë est probable. La priorité est à la reperfusion coronaire. Le patient doit être transféré pour une coronarographie et une angioplastie. Un prétraitement par aspirine est recommandé. L’indication des autres antiagrégants sera décidée au cours de la coronarographie en fonction de la procédure. En cas de syndrome coronarien aigu sans sus-décalage du segment ST, la rupture de plaque n’est pas le mécanisme le plus fréquent. Leur cause première est un déséquilibre entre les apports et les besoins du myocarde. Ce mismatch est causé par d’autres complications périopératoires : hypo- ou hypertension, hypoxie, sepsis, anémie, troubles du rythme. Il n’y a pas à envisager un traitement antithrombotique, ni une coronarographie. Néanmoins, une instabilité hémodynamique primitivement cardiaque, un angor, des troubles du rythme ventriculaires ou des modifications dynamiques du segment ST doivent conduire à une coronarographie en urgence. Parmi les facteurs de NSTEMI de type 2, la fibrillation auriculaire est particulièrement fréquente. Elle est souvent en lien avec inotropes, anémie, hypoxie, embolie pulmonaire, pneumothorax, sepsis, épanchement péricardique. En cas de mauvaise tolérance une cardioversion électrique en urgence est nécessaire. Pour réduire la cadence ventriculaire, Les bêtabloquants et tout particulièrement l’esmolol IV sont à considérer en premier dans ce contexte d’hyperactivité sympathique périopératoire. Les NSTEMI de type 2 et les NIMS marquent une vulnérabilité myocardique, pas nécessairement coronarienne, que révèle le stress postopératoire. Un bilan cardiologique est toujours à envisager à distance de la chirurgie pour au moins une échocardiographie et une évaluation et le cas échéant une prise en charge du risque cardiovasculaire global et souvent une évaluation non invasive de l’ischémie. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 386-396[article] Gestion des évènements postopératoires avérés [Article] / Sophie Jenck, Auteur ; Nathalie Bochaton, Auteur ; Eric Bonnefoy-Cudraz, Auteur . - 2017 . - p. 386-396.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 386-396
Mots-clés : CHIRURGIE
CORONAIRE
FIBRILLATION
INFARCTUS DU MYOCARDE
ISCHEMIE
SOIN PRE ET POST-OPERATOIRERésumé : Les coronariens ont un risque plus élevé de complications cardiaques en postopératoire d’une chirurgie non cardiaque. Un coronarien est considéré à haut risque postopératoire lorsqu’il a présenté récemment un syndrome coronarien aigu récent ou est symptomatique pour un faible niveau d’effort. Le coronarien stable asymptomatique est à faible risque de complications postopératoires. La mortalité des infarctus postopératoires est beaucoup plus élevée que dans un contexte non chirurgical. En cas de STEMI, une occlusion coronaire aiguë est probable. La priorité est à la reperfusion coronaire. Le patient doit être transféré pour une coronarographie et une angioplastie. Un prétraitement par aspirine est recommandé. L’indication des autres antiagrégants sera décidée au cours de la coronarographie en fonction de la procédure. En cas de syndrome coronarien aigu sans sus-décalage du segment ST, la rupture de plaque n’est pas le mécanisme le plus fréquent. Leur cause première est un déséquilibre entre les apports et les besoins du myocarde. Ce mismatch est causé par d’autres complications périopératoires : hypo- ou hypertension, hypoxie, sepsis, anémie, troubles du rythme. Il n’y a pas à envisager un traitement antithrombotique, ni une coronarographie. Néanmoins, une instabilité hémodynamique primitivement cardiaque, un angor, des troubles du rythme ventriculaires ou des modifications dynamiques du segment ST doivent conduire à une coronarographie en urgence. Parmi les facteurs de NSTEMI de type 2, la fibrillation auriculaire est particulièrement fréquente. Elle est souvent en lien avec inotropes, anémie, hypoxie, embolie pulmonaire, pneumothorax, sepsis, épanchement péricardique. En cas de mauvaise tolérance une cardioversion électrique en urgence est nécessaire. Pour réduire la cadence ventriculaire, Les bêtabloquants et tout particulièrement l’esmolol IV sont à considérer en premier dans ce contexte d’hyperactivité sympathique périopératoire. Les NSTEMI de type 2 et les NIMS marquent une vulnérabilité myocardique, pas nécessairement coronarienne, que révèle le stress postopératoire. Un bilan cardiologique est toujours à envisager à distance de la chirurgie pour au moins une échocardiographie et une évaluation et le cas échéant une prise en charge du risque cardiovasculaire global et souvent une évaluation non invasive de l’ischémie. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Limitation et arrêt des thérapeutiques : impact de la loi Claeys Leonetti et des modifications du Code de déontologie médicale sur la pratique du médecin anesthésiste réanimateur / Matthieu Ledorze in Anesthésie & Réanimation, n° 4 ([01/07/2017])
[article]
Titre : Limitation et arrêt des thérapeutiques : impact de la loi Claeys Leonetti et des modifications du Code de déontologie médicale sur la pratique du médecin anesthésiste réanimateur Type de document : Article Auteurs : Matthieu Ledorze, Auteur ; Benoît Veber, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 394-398 Langues : Français (fre) Mots-clés : ARRET DU TRAITEMENT
DEONTOLOGIE
ETHIQUE
FIN DE VIE
LOI LEONETTI
MEDECIN ANESTHESISTE REANIMATEUR
SEDATIONCote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 394-398[article] Limitation et arrêt des thérapeutiques : impact de la loi Claeys Leonetti et des modifications du Code de déontologie médicale sur la pratique du médecin anesthésiste réanimateur [Article] / Matthieu Ledorze, Auteur ; Benoît Veber, Auteur . - 2017 . - p. 394-398.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > n° 4 [01/07/2017] . - p. 394-398Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible