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Ethique et santé . n° 2Paru le : 01/06/2020 |
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n° 2 [Article] . - 2020 . - p. 61-134. Langues : Français (fre)
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Ajouter le résultat dans votre panierQuelle place pour la subjectivité du malade dans la pratique médicale ? / A.-S. Guillen in Ethique et santé, n° 2 ([01/06/2020])
[article]
Titre : Quelle place pour la subjectivité du malade dans la pratique médicale ? Type de document : Article Auteurs : A.-S. Guillen, Auteur ; A. Guillen, Auteur ; L. Combres, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 65-70 Langues : Français (fre) Mots-clés : EDUCATION DU PATIENT
PATIENT
PRATIQUE MEDICALE
PSYCHANALYSE
RECIT
RELATION MEDECIN MALADE
SUBJECTIVITE
TEMOIGNAGERésumé : La médecine expérimentale produit un savoir sur l’objet maladie, mais nécessite d’exclure la subjectivité du patient. Cette exclusion a été redoublée par la médecine paternaliste qui pouvait laisser le malade en dehors des décisions concernant ses soins. Le sentiment de certains malades de ne pas être entendu les a amenés à réaffirmer leur demande de participer de manière plus active aux soins. Cette demande a été prise en compte par la Loi du 4 mars 2002 : le savoir du médecin doit être mis à la portée du malade. L’éducation thérapeutique connaît dès lors un nouvel essor, car elle donne accès aux connaissances médicales pour acquérir un certain pouvoir sur la maladie. Mais certains patients continuent à ressentir le manque d’un espace pour subjectiver ce qui leur arrive. Il faut donc s’appuyer sur d’autres dispositifs, tels que l’art ou la psychanalyse, pour autoriser et favoriser des constructions subjectives. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Ethique et santé > n° 2 [01/06/2020] . - p. 65-70[article] Quelle place pour la subjectivité du malade dans la pratique médicale ? [Article] / A.-S. Guillen, Auteur ; A. Guillen, Auteur ; L. Combres, Auteur . - 2020 . - p. 65-70.
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in Ethique et santé > n° 2 [01/06/2020] . - p. 65-70
Mots-clés : EDUCATION DU PATIENT
PATIENT
PRATIQUE MEDICALE
PSYCHANALYSE
RECIT
RELATION MEDECIN MALADE
SUBJECTIVITE
TEMOIGNAGERésumé : La médecine expérimentale produit un savoir sur l’objet maladie, mais nécessite d’exclure la subjectivité du patient. Cette exclusion a été redoublée par la médecine paternaliste qui pouvait laisser le malade en dehors des décisions concernant ses soins. Le sentiment de certains malades de ne pas être entendu les a amenés à réaffirmer leur demande de participer de manière plus active aux soins. Cette demande a été prise en compte par la Loi du 4 mars 2002 : le savoir du médecin doit être mis à la portée du malade. L’éducation thérapeutique connaît dès lors un nouvel essor, car elle donne accès aux connaissances médicales pour acquérir un certain pouvoir sur la maladie. Mais certains patients continuent à ressentir le manque d’un espace pour subjectiver ce qui leur arrive. Il faut donc s’appuyer sur d’autres dispositifs, tels que l’art ou la psychanalyse, pour autoriser et favoriser des constructions subjectives. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Souhaits de mourir et pratiques sédatives : repères pour délibérer / Donatien Mallet in Ethique et santé, n° 2 ([01/06/2020])
[article]
Titre : Souhaits de mourir et pratiques sédatives : repères pour délibérer Type de document : Article Auteurs : Donatien Mallet, Auteur ; N. Begat, Auteur ; V. Duchêne, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 71-81 Langues : Français (fre) Mots-clés : DECISION
DESIR
ETHIQUE
FIN DE VIE
MORT
PATIENT
SEDATIONRésumé : Dans le cadre d’une maladie létale ou dans des situations de fin de vie, certains patients formulent un souhait de mourir impliquant la participation, directe ou indirecte, de la médecine. Si cette aspiration est parfois en adéquation avec le cadre légal actuel, elle vient inéluctablement interroger les soignants sur les repères éthiques du soin, polarisés en première intention vers le soutien de la vie. De plus, elle peut provoquer un malaise psychique d’autant que la mise en œuvre éventuelle de ce souhait implique la participation effective du soignant. Dans ce contexte, la qualité de la délibération est un temps fondateur de la justesse de la décision et du soin à venir. En nous appuyant sur une relecture de situations, nous avons dégagé des repères délibératifs, pratiques et réflexifs, à destination des acteurs de première ligne exerçant en milieu hospitalier. Nous abordons notamment l’analyse du souhait du mourir, l’exposition des différents scénarii possibles de fin de vie, le choix du médecin consultant, la temporalité pour décider, l’argumentation légale ou éthique de la décision, les tensions éthiques en jeu. Ces propositions relatives à la délibération s’inscrivent dans une forme de prolongation des recommandations officielles de la HAS de février 2018 intitulées : « Comment mettre en œuvre une sédation profonde et continue maintenue jusqu’au décès » mais en se centrant uniquement sur la délibération lorsqu’un patient exprime son souhait de mourir dans un service de soins. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Ethique et santé > n° 2 [01/06/2020] . - p. 71-81[article] Souhaits de mourir et pratiques sédatives : repères pour délibérer [Article] / Donatien Mallet, Auteur ; N. Begat, Auteur ; V. Duchêne, Auteur . - 2020 . - p. 71-81.
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in Ethique et santé > n° 2 [01/06/2020] . - p. 71-81
Mots-clés : DECISION
DESIR
ETHIQUE
FIN DE VIE
MORT
PATIENT
SEDATIONRésumé : Dans le cadre d’une maladie létale ou dans des situations de fin de vie, certains patients formulent un souhait de mourir impliquant la participation, directe ou indirecte, de la médecine. Si cette aspiration est parfois en adéquation avec le cadre légal actuel, elle vient inéluctablement interroger les soignants sur les repères éthiques du soin, polarisés en première intention vers le soutien de la vie. De plus, elle peut provoquer un malaise psychique d’autant que la mise en œuvre éventuelle de ce souhait implique la participation effective du soignant. Dans ce contexte, la qualité de la délibération est un temps fondateur de la justesse de la décision et du soin à venir. En nous appuyant sur une relecture de situations, nous avons dégagé des repères délibératifs, pratiques et réflexifs, à destination des acteurs de première ligne exerçant en milieu hospitalier. Nous abordons notamment l’analyse du souhait du mourir, l’exposition des différents scénarii possibles de fin de vie, le choix du médecin consultant, la temporalité pour décider, l’argumentation légale ou éthique de la décision, les tensions éthiques en jeu. Ces propositions relatives à la délibération s’inscrivent dans une forme de prolongation des recommandations officielles de la HAS de février 2018 intitulées : « Comment mettre en œuvre une sédation profonde et continue maintenue jusqu’au décès » mais en se centrant uniquement sur la délibération lorsqu’un patient exprime son souhait de mourir dans un service de soins. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible La décision partagée en cancérologie, entre émancipation et domination de la personne malade / S. Marty in Ethique et santé, n° 2 ([01/06/2020])
[article]
Titre : La décision partagée en cancérologie, entre émancipation et domination de la personne malade Type de document : Article Auteurs : S. Marty, Auteur ; B. Stiegler, Auteur ; G. Robert, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 82-88 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACCOMPAGNEMENT
AUTONOMIE
CANCER
CANCEROLOGIE
DECISION
ETHIQUE
MEDECIN
PATIENT
THERAPEUTIQUERésumé : La décision partagée est un nouveau modèle dans la prise de décision privilégiant l’autonomie du patient qui participe au choix thérapeutique le concernant. Cette possibilité de choix répond aux exigences de la démocratie sanitaire, née de la mobilisation de la société civile suite aux scandales des années 1980 (sida, sang contaminé) ayant conduit l’État à renforcer les droits des patients grâce à la loi du 4 mars 2002. Si ce modèle est mal compris et mis en œuvre, il peut également présenter des risques pour soignés et soignants. Pour certains cancers de la prostate, les patients se voient proposer deux traitements d’efficacité équivalente mais aux modalités et effets secondaires différents : la radiothérapie ou la chirurgie. Dans ce contexte d’annonce de pathologie cancéreuse, l’autonomie est un concept à interroger. En effet, certains patients voient dans la décision partagée une injonction à faire preuve de cette autonomie. La sur-responsabilité ressentie ou crainte peut même aboutir à des refus de traitement. Paradoxalement, cette procédure peut être l’occasion pour les soignants d’exercer une domination sur les patients avec une décision partagée utilisée comme alibi éthique. Une certaine forme de désengagement moral peut résulter d’une attention uniquement portée sur le choix. Nous proposons une lecture de ce dilemme éthique sous l’angle d’une logique de soin. L’autonomie de la personne n’est plus un postulat mais une construction à réaliser avec l’aide des soignants attentifs aux capabilités. Les paramédicaux du « temps d’accompagnement soignant » ont un rôle essentiel à jouer dans cet accompagnement. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Ethique et santé > n° 2 [01/06/2020] . - p. 82-88[article] La décision partagée en cancérologie, entre émancipation et domination de la personne malade [Article] / S. Marty, Auteur ; B. Stiegler, Auteur ; G. Robert, Auteur ; et al., Auteur . - 2020 . - p. 82-88.
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Mots-clés : ACCOMPAGNEMENT
AUTONOMIE
CANCER
CANCEROLOGIE
DECISION
ETHIQUE
MEDECIN
PATIENT
THERAPEUTIQUERésumé : La décision partagée est un nouveau modèle dans la prise de décision privilégiant l’autonomie du patient qui participe au choix thérapeutique le concernant. Cette possibilité de choix répond aux exigences de la démocratie sanitaire, née de la mobilisation de la société civile suite aux scandales des années 1980 (sida, sang contaminé) ayant conduit l’État à renforcer les droits des patients grâce à la loi du 4 mars 2002. Si ce modèle est mal compris et mis en œuvre, il peut également présenter des risques pour soignés et soignants. Pour certains cancers de la prostate, les patients se voient proposer deux traitements d’efficacité équivalente mais aux modalités et effets secondaires différents : la radiothérapie ou la chirurgie. Dans ce contexte d’annonce de pathologie cancéreuse, l’autonomie est un concept à interroger. En effet, certains patients voient dans la décision partagée une injonction à faire preuve de cette autonomie. La sur-responsabilité ressentie ou crainte peut même aboutir à des refus de traitement. Paradoxalement, cette procédure peut être l’occasion pour les soignants d’exercer une domination sur les patients avec une décision partagée utilisée comme alibi éthique. Une certaine forme de désengagement moral peut résulter d’une attention uniquement portée sur le choix. Nous proposons une lecture de ce dilemme éthique sous l’angle d’une logique de soin. L’autonomie de la personne n’est plus un postulat mais une construction à réaliser avec l’aide des soignants attentifs aux capabilités. Les paramédicaux du « temps d’accompagnement soignant » ont un rôle essentiel à jouer dans cet accompagnement. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Qui est responsable si un robot non autonome vient à entraîner un dommage ? / M. Stevenin in Ethique et santé, n° 2 ([01/06/2020])
[article]
Titre : Qui est responsable si un robot non autonome vient à entraîner un dommage ? Type de document : Article Auteurs : M. Stevenin, Auteur ; V. Avisse, Auteur ; N. Ducarme, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 89-94 Langues : Français (fre) Mots-clés : DROIT
ETHIQUE
INTELLIGENCE ARTIFICIELLE
RESPONSABILITE
ROBOTIQUE
SANTERésumé : La robotique et l’intelligence artificielle imprègnent déjà de nombreux domaines et secteurs au premier rang desquels la finance, la santé, la recherche, et même les métiers du droit. Les progrès régulièrement effectués apportent un rôle majeur des algorithmes, dont les automates profitent afin de disposer de toujours plus d’autonomie décisionnelle, et ce, grâce à une capacité d’apprentissage accrue. Cette nouvelle arborescence doit-elle conduire à adapter notre système de responsabilité et d’indemnisation d’une part ? Une réponse positive semble s’imposer et un processus de normalisation a déjà été enclenché à ce titre au niveau de l’Union européenne en 2017. D’autre part, ne paraît-il pas opportun d’adapter la réglementation aux spécificités des dispositifs médicaux et de sensibilité du milieu de la santé ? Ces nouvelles problématiques seront in concreto bientôt généralisées dans l’ensemble du domaine médical, auxquelles il convient d’apporter des éléments de réponse juridiques. Deux situations semblent bien différentes du point juridique et donc éthique. La première situation est celle des robots qui ne sont que des systèmes algorithmiques sophistiqués qui ne peuvent répondre qu’à des questions dont la solution a été envisagée par le logiciel et donc par le programmeur. La seconde est celle des robots qui sont dans une capacité d’apprentissage et de créer en interne une manière de résoudre des problèmes au-delà de ce qui avait été programmé. Cet article ne concerne que de la première situation. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Ethique et santé > n° 2 [01/06/2020] . - p. 89-94[article] Qui est responsable si un robot non autonome vient à entraîner un dommage ? [Article] / M. Stevenin, Auteur ; V. Avisse, Auteur ; N. Ducarme, Auteur ; et al., Auteur . - 2020 . - p. 89-94.
Langues : Français (fre)
in Ethique et santé > n° 2 [01/06/2020] . - p. 89-94
Mots-clés : DROIT
ETHIQUE
INTELLIGENCE ARTIFICIELLE
RESPONSABILITE
ROBOTIQUE
SANTERésumé : La robotique et l’intelligence artificielle imprègnent déjà de nombreux domaines et secteurs au premier rang desquels la finance, la santé, la recherche, et même les métiers du droit. Les progrès régulièrement effectués apportent un rôle majeur des algorithmes, dont les automates profitent afin de disposer de toujours plus d’autonomie décisionnelle, et ce, grâce à une capacité d’apprentissage accrue. Cette nouvelle arborescence doit-elle conduire à adapter notre système de responsabilité et d’indemnisation d’une part ? Une réponse positive semble s’imposer et un processus de normalisation a déjà été enclenché à ce titre au niveau de l’Union européenne en 2017. D’autre part, ne paraît-il pas opportun d’adapter la réglementation aux spécificités des dispositifs médicaux et de sensibilité du milieu de la santé ? Ces nouvelles problématiques seront in concreto bientôt généralisées dans l’ensemble du domaine médical, auxquelles il convient d’apporter des éléments de réponse juridiques. Deux situations semblent bien différentes du point juridique et donc éthique. La première situation est celle des robots qui ne sont que des systèmes algorithmiques sophistiqués qui ne peuvent répondre qu’à des questions dont la solution a été envisagée par le logiciel et donc par le programmeur. La seconde est celle des robots qui sont dans une capacité d’apprentissage et de créer en interne une manière de résoudre des problèmes au-delà de ce qui avait été programmé. Cet article ne concerne que de la première situation. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Qui est responsable si un robot autonome vient à entraîner un dommage ? / M. Stevenin in Ethique et santé, n° 2 ([01/06/2020])
[article]
Titre : Qui est responsable si un robot autonome vient à entraîner un dommage ? Type de document : Article Auteurs : M. Stevenin, Auteur ; V. Avisse, Auteur ; N. Ducarme, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 95-101 Langues : Français (fre) Mots-clés : AUTONOMIE
DROIT
ETHIQUE
INTELLIGENCE ARTIFICIELLE
RESPONSABILITE
ROBOTIQUERésumé : La robotique et l’intelligence artificielle envahissent nos lieux d’exercices et notamment le monde de la santé. Les progrès des processeurs et des algorithmes permettent aux automates de disposer d’une véritable autonomie décisionnelle grâce à une capacité d’apprentissage propre. Les enjeux éthiques sont majeurs et, parmi ceux-ci, les problématiques de responsabilité des automates en cas de dysfonctionnement, mauvaise utilisation ou d’accidents provoqués par leurs décisions. Nous proposons ici des réflexions sur ces aspects. Un article avait traité antérieurement les problématiques de responsabilité juridique des automates dépourvus de capacité d’apprentissage ainsi que de stockage des informations. Nous ne reprendrons pas ces éléments au sein du texte suivant, d’autant que les réponses juridiques y semblent plus claires. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Ethique et santé > n° 2 [01/06/2020] . - p. 95-101[article] Qui est responsable si un robot autonome vient à entraîner un dommage ? [Article] / M. Stevenin, Auteur ; V. Avisse, Auteur ; N. Ducarme, Auteur . - 2020 . - p. 95-101.
Langues : Français (fre)
in Ethique et santé > n° 2 [01/06/2020] . - p. 95-101
Mots-clés : AUTONOMIE
DROIT
ETHIQUE
INTELLIGENCE ARTIFICIELLE
RESPONSABILITE
ROBOTIQUERésumé : La robotique et l’intelligence artificielle envahissent nos lieux d’exercices et notamment le monde de la santé. Les progrès des processeurs et des algorithmes permettent aux automates de disposer d’une véritable autonomie décisionnelle grâce à une capacité d’apprentissage propre. Les enjeux éthiques sont majeurs et, parmi ceux-ci, les problématiques de responsabilité des automates en cas de dysfonctionnement, mauvaise utilisation ou d’accidents provoqués par leurs décisions. Nous proposons ici des réflexions sur ces aspects. Un article avait traité antérieurement les problématiques de responsabilité juridique des automates dépourvus de capacité d’apprentissage ainsi que de stockage des informations. Nous ne reprendrons pas ces éléments au sein du texte suivant, d’autant que les réponses juridiques y semblent plus claires. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Les grands exclus face à la pandémie / Pierre Reboul in Ethique et santé, n° 2 ([01/06/2020])
[article]
Titre : Les grands exclus face à la pandémie Type de document : Article Auteurs : Pierre Reboul, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 102-104 Langues : Français (fre) Mots-clés : BESOIN
COVID-19
DIGNITE
EPIDEMIE
EXCLUSION SOCIALE
RECONNAISSANCE
SOINRésumé : Face à la pandémie de corona virus, les grands exclus de nos sociétés contemporaines expriment des besoins divers autres qu’alimentaires : besoins de repères, de parole, de reconnaissance de dignité et de soins. Il nous appartient de les prendre aussi en compte comme essentiels. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Ethique et santé > n° 2 [01/06/2020] . - p. 102-104[article] Les grands exclus face à la pandémie [Article] / Pierre Reboul, Auteur . - 2020 . - p. 102-104.
Langues : Français (fre)
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Mots-clés : BESOIN
COVID-19
DIGNITE
EPIDEMIE
EXCLUSION SOCIALE
RECONNAISSANCE
SOINRésumé : Face à la pandémie de corona virus, les grands exclus de nos sociétés contemporaines expriment des besoins divers autres qu’alimentaires : besoins de repères, de parole, de reconnaissance de dignité et de soins. Il nous appartient de les prendre aussi en compte comme essentiels. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible La réflexion éthique aux urgences en cas de pronostic vital engagé : entre notion de temporalité et souci de l’Autre / Benjamin Becker in Ethique et santé, n° 2 ([01/06/2020])
[article]
Titre : La réflexion éthique aux urgences en cas de pronostic vital engagé : entre notion de temporalité et souci de l’Autre Type de document : Article Auteurs : Benjamin Becker, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 105-114 Langues : Français (fre) Mots-clés : ETHIQUE
PHILOSOPHIE
PRONOSTIC
SERVICE D'URGENCE
TEMPS
URGENCERésumé : La réflexion éthique dans notre quotidien du soin se présente aujourd’hui comme un tournant indispensable à la garantie de prise en charge de qualité des patients. Inhérente à une évolution sans précédent de nos politiques publiques sanitaires et de santé, elle demande malgré tout une organisation particulière et qu’on lui consacre du temps. Ce qui n’est pas toujours compatible avec les organisations déstructurées de certains services d’accueil des urgences des établissements de santé, se heurtant par là même aux réalités difficiles du terrain. Bornée par une législation évolutive qui encadre nos pratiques de soins, il semblerait qu’elle ne se satisfasse pas d’un ensemble de codes pour assurer une prise en charge déférente des patients et une orientation de nos conduites à tenir les concernant. Par ailleurs, les dissensus que les textes de lois annoncent et les désaccords qu’ils soulèvent prouvent qu’elles ne suffisent pas (les lois) à elles seules à guider les conduites à tenir et les processus de soins dans les situations d’urgence vitale. Aussi, le recours à la philosophie de l’action et à l’éthique clinique semble proposer un abord intéressant afin d’apporter des réponses opportunes et logiques aux complexités situationnelles qui s’imposent aux équipes pluridisciplinaires. Particulièrement, la philosophie humaine de Levinas et le rapport au temps de Bergson permettent à eux deux de reconsidérer la relation qui lie les soignants aux patients avec plus de hauteur, à travers des concepts de bienfaisance et de justice hérités du grand et néo courant de la Bioéthique. À l’aune de ce travail, que l’auteur a tenté de mettre en adéquation avec un exercice et une expérience de terrain, il se propose la construction d’un arbre décisionnel d’aide à la construction de la réflexion éthique indexée aux situations d’urgence, d’une part, ainsi que de recours possibles afin de rendre la concertation pluridisciplinaire éthique adaptée aux services de soins aigus. En conclusion, et en toute humilité, l’auteur se propose de rappeler cet intérêt majeur de recentrer le patient au cœur de notre système et de nos débats, tant dans un souci de déférence que de considération qui font non seulement la beauté du geste, mais rend un système de soins compatible avec les évolutions sociétales morales actuelles et les aspirations sociales de chacun, inhérentes aux dernières lois de santé : les droits fondamentaux des patients. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Ethique et santé > n° 2 [01/06/2020] . - p. 105-114[article] La réflexion éthique aux urgences en cas de pronostic vital engagé : entre notion de temporalité et souci de l’Autre [Article] / Benjamin Becker, Auteur . - 2020 . - p. 105-114.
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in Ethique et santé > n° 2 [01/06/2020] . - p. 105-114
Mots-clés : ETHIQUE
PHILOSOPHIE
PRONOSTIC
SERVICE D'URGENCE
TEMPS
URGENCERésumé : La réflexion éthique dans notre quotidien du soin se présente aujourd’hui comme un tournant indispensable à la garantie de prise en charge de qualité des patients. Inhérente à une évolution sans précédent de nos politiques publiques sanitaires et de santé, elle demande malgré tout une organisation particulière et qu’on lui consacre du temps. Ce qui n’est pas toujours compatible avec les organisations déstructurées de certains services d’accueil des urgences des établissements de santé, se heurtant par là même aux réalités difficiles du terrain. Bornée par une législation évolutive qui encadre nos pratiques de soins, il semblerait qu’elle ne se satisfasse pas d’un ensemble de codes pour assurer une prise en charge déférente des patients et une orientation de nos conduites à tenir les concernant. Par ailleurs, les dissensus que les textes de lois annoncent et les désaccords qu’ils soulèvent prouvent qu’elles ne suffisent pas (les lois) à elles seules à guider les conduites à tenir et les processus de soins dans les situations d’urgence vitale. Aussi, le recours à la philosophie de l’action et à l’éthique clinique semble proposer un abord intéressant afin d’apporter des réponses opportunes et logiques aux complexités situationnelles qui s’imposent aux équipes pluridisciplinaires. Particulièrement, la philosophie humaine de Levinas et le rapport au temps de Bergson permettent à eux deux de reconsidérer la relation qui lie les soignants aux patients avec plus de hauteur, à travers des concepts de bienfaisance et de justice hérités du grand et néo courant de la Bioéthique. À l’aune de ce travail, que l’auteur a tenté de mettre en adéquation avec un exercice et une expérience de terrain, il se propose la construction d’un arbre décisionnel d’aide à la construction de la réflexion éthique indexée aux situations d’urgence, d’une part, ainsi que de recours possibles afin de rendre la concertation pluridisciplinaire éthique adaptée aux services de soins aigus. En conclusion, et en toute humilité, l’auteur se propose de rappeler cet intérêt majeur de recentrer le patient au cœur de notre système et de nos débats, tant dans un souci de déférence que de considération qui font non seulement la beauté du geste, mais rend un système de soins compatible avec les évolutions sociétales morales actuelles et les aspirations sociales de chacun, inhérentes aux dernières lois de santé : les droits fondamentaux des patients. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Raison d’être et but du CIB de l’Unesco : apports et limitations face à la globalisation / L. Sagols in Ethique et santé, n° 2 ([01/06/2020])
[article]
Titre : Raison d’être et but du CIB de l’Unesco : apports et limitations face à la globalisation Type de document : Article Auteurs : L. Sagols, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 115-120 Langues : Français (fre) Mots-clés : BIOETHIQUE
EGALITE
ENVIRONNEMENT
JUSTICE
MONDERésumé : Le Comité international de bioéthique (CIB) a accompli une tâche majeure : offrir les principes et les lignes directrices pour tous les autres comités de bioéthique. Il s’est érigé comme une référence grâce à sa conception de l’éthique comme une tâche socialisante, dialogique et rationnelle s’étendant à toute conscience analytique, à tous les pays et à notre responsabilité envers l’environnement, telle que Potter l’envisageait à travers son idée de la bioéthique mondiale. En conséquence, le CIB propose des normes universelles, écoute et inclut les membres de l’Unesco et s’occupe de la protection de l’environnement naturel. Dans tout cela, le CIB a fait des apports importants. Cependant, en dépit de l’indéniable mérite du Comité, certaines limites demeurent dont la prise en compte est plus que nécessaire pour une institution qui affronte les changements vertigineux du monde actuel. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Ethique et santé > n° 2 [01/06/2020] . - p. 115-120[article] Raison d’être et but du CIB de l’Unesco : apports et limitations face à la globalisation [Article] / L. Sagols, Auteur . - 2020 . - p. 115-120.
Langues : Français (fre)
in Ethique et santé > n° 2 [01/06/2020] . - p. 115-120
Mots-clés : BIOETHIQUE
EGALITE
ENVIRONNEMENT
JUSTICE
MONDERésumé : Le Comité international de bioéthique (CIB) a accompli une tâche majeure : offrir les principes et les lignes directrices pour tous les autres comités de bioéthique. Il s’est érigé comme une référence grâce à sa conception de l’éthique comme une tâche socialisante, dialogique et rationnelle s’étendant à toute conscience analytique, à tous les pays et à notre responsabilité envers l’environnement, telle que Potter l’envisageait à travers son idée de la bioéthique mondiale. En conséquence, le CIB propose des normes universelles, écoute et inclut les membres de l’Unesco et s’occupe de la protection de l’environnement naturel. Dans tout cela, le CIB a fait des apports importants. Cependant, en dépit de l’indéniable mérite du Comité, certaines limites demeurent dont la prise en compte est plus que nécessaire pour une institution qui affronte les changements vertigineux du monde actuel. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Le deuil des survivants chez les grands exclus, précaires et désaffiliés / Pierre Reboul in Ethique et santé, n° 2 ([01/06/2020])
[article]
Titre : Le deuil des survivants chez les grands exclus, précaires et désaffiliés Type de document : Article Auteurs : Pierre Reboul, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 121-129 Langues : Français (fre) Mots-clés : DEUIL
EXCLUSION SOCIALE
MEMOIRE
PRECARITE
RITE FUNERAIRERésumé : Le présent article s’attachera à rapporter comment une partie de nos concitoyens, grands exclus, précaires et désaffiliés particulièrement marqués par la perte, le manque, ainsi qu’une certaine mort sociale, réagit à la mort d’un semblable. Notre étude se propose de rapporter comment les conditions de la construction d’un possible travail du deuil peuvent alors prendre place, quelles émotions se manifestent ou cheminent chez ceux qui restent, dans quelle mesure ils attribuent un rôle et un réconfort à des rites funéraires. D’autre part, elle pose la question de savoir qui, parmi les autres membres de la société humaine, s’associe à ce deuil, de quelle manière et avec quels effets. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Ethique et santé > n° 2 [01/06/2020] . - p. 121-129[article] Le deuil des survivants chez les grands exclus, précaires et désaffiliés [Article] / Pierre Reboul, Auteur . - 2020 . - p. 121-129.
Langues : Français (fre)
in Ethique et santé > n° 2 [01/06/2020] . - p. 121-129
Mots-clés : DEUIL
EXCLUSION SOCIALE
MEMOIRE
PRECARITE
RITE FUNERAIRERésumé : Le présent article s’attachera à rapporter comment une partie de nos concitoyens, grands exclus, précaires et désaffiliés particulièrement marqués par la perte, le manque, ainsi qu’une certaine mort sociale, réagit à la mort d’un semblable. Notre étude se propose de rapporter comment les conditions de la construction d’un possible travail du deuil peuvent alors prendre place, quelles émotions se manifestent ou cheminent chez ceux qui restent, dans quelle mesure ils attribuent un rôle et un réconfort à des rites funéraires. D’autre part, elle pose la question de savoir qui, parmi les autres membres de la société humaine, s’associe à ce deuil, de quelle manière et avec quels effets. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
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