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Santé publique . n° 6Paru le : 01/11/2022 |
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n° 6 [Article] . - 2022 . - 755-846 p. Langues : Français (fre)
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. | Périodique | Espace de Ressources Formation-Recherche | Disponible |
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Ajouter le résultat dans votre panierLa demande pour des espaces de nature en situation de pandémie / Jeoffrey Dehez in Santé publique, n° 6 ([01/11/2022])
[article]
Titre : La demande pour des espaces de nature en situation de pandémie Type de document : Article Auteurs : Jeoffrey Dehez, Auteur ; Sandrine Lyser, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 761-770 Langues : Français (fre) Mots-clés : ENVIRONNEMENT
EPIDEMIE
ETUDE
LOISIR
NATURE
SANTE PUBLIQUE
SCIENCES HUMAINES ET SOCIALESRésumé : Introduction
La crise sanitaire que nous traversons est une occasion de mettre en lumière l’étendue des bienfaits sur la santé que procure le contact avec la nature. Dans ce contexte, néanmoins, les études négligent encore très souvent l’impact du type de milieu naturel que les individus fréquentent, retenant pour l’occasion une catégorie très générale d’« espaces verts ».
But de l’étude
À travers deux enquêtes quantitatives portant sur la fréquentation des forêts et des plages océanes en Aquitaine, nous analysons, à l’aide d’outils empruntés aux sciences sociales, la façon dont chacun des deux espaces a répondu à des demandes spécifiques durant la première année de l’épidémie de COVID-19.
Résultats
Nous montrons que les espaces se distinguent du point de vue des publics qui les fréquentent, des usages qu’ils permettent, mais aussi des attentes et des perceptions dont ils sont l’objet en matière de risques de contamination. Plus accessibles que d’autres formes de loisirs, les activités de plein air n’en demeurent pas moins un cas d’inégalité environnementale. Chez nos enquêtés, la forêt bénéficie d’une image plus positive que le littoral en termes de bien-être et de bénéfices pour la santé, y compris au niveau des risques de contamination par le SARS-CoV-2. Ces résultats renforcent l’idée qu’il existe effectivement des spécificités à la « santé verte » (Green Health), d’un côté, et à la « santé bleue » (Blue Health), de l’autre. Savoir d’où proviennent ces différences de représentations demeure une question ouverte, en émettant toutefois l’hypothèse que les croyances sont, au moins en partie, héritées de références constituées antérieurement à la pandémie, notamment sur la nature et le poids des fonctions environnementales.
Conclusions
Les rapports que les individus entretiennent avec la nature résultent d’entrelacs complexes de facteurs environnementaux et sociaux. Ces relations influent sur les bénéfices qu’ils retirent de la fréquentation des espaces naturels. Dans ces conditions, les travaux de santé publique pourraient tirer profit des acquis obtenus depuis maintenant plusieurs décennies par les recherches en sciences sociales sur les activités de plein air.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 6 [01/11/2022] . - p. 761-770[article] La demande pour des espaces de nature en situation de pandémie [Article] / Jeoffrey Dehez, Auteur ; Sandrine Lyser, Auteur . - 2022 . - p. 761-770.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 6 [01/11/2022] . - p. 761-770
Mots-clés : ENVIRONNEMENT
EPIDEMIE
ETUDE
LOISIR
NATURE
SANTE PUBLIQUE
SCIENCES HUMAINES ET SOCIALESRésumé : Introduction
La crise sanitaire que nous traversons est une occasion de mettre en lumière l’étendue des bienfaits sur la santé que procure le contact avec la nature. Dans ce contexte, néanmoins, les études négligent encore très souvent l’impact du type de milieu naturel que les individus fréquentent, retenant pour l’occasion une catégorie très générale d’« espaces verts ».
But de l’étude
À travers deux enquêtes quantitatives portant sur la fréquentation des forêts et des plages océanes en Aquitaine, nous analysons, à l’aide d’outils empruntés aux sciences sociales, la façon dont chacun des deux espaces a répondu à des demandes spécifiques durant la première année de l’épidémie de COVID-19.
Résultats
Nous montrons que les espaces se distinguent du point de vue des publics qui les fréquentent, des usages qu’ils permettent, mais aussi des attentes et des perceptions dont ils sont l’objet en matière de risques de contamination. Plus accessibles que d’autres formes de loisirs, les activités de plein air n’en demeurent pas moins un cas d’inégalité environnementale. Chez nos enquêtés, la forêt bénéficie d’une image plus positive que le littoral en termes de bien-être et de bénéfices pour la santé, y compris au niveau des risques de contamination par le SARS-CoV-2. Ces résultats renforcent l’idée qu’il existe effectivement des spécificités à la « santé verte » (Green Health), d’un côté, et à la « santé bleue » (Blue Health), de l’autre. Savoir d’où proviennent ces différences de représentations demeure une question ouverte, en émettant toutefois l’hypothèse que les croyances sont, au moins en partie, héritées de références constituées antérieurement à la pandémie, notamment sur la nature et le poids des fonctions environnementales.
Conclusions
Les rapports que les individus entretiennent avec la nature résultent d’entrelacs complexes de facteurs environnementaux et sociaux. Ces relations influent sur les bénéfices qu’ils retirent de la fréquentation des espaces naturels. Dans ces conditions, les travaux de santé publique pourraient tirer profit des acquis obtenus depuis maintenant plusieurs décennies par les recherches en sciences sociales sur les activités de plein air.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Facteurs associés à la crainte de l’infection par la COVID-19 chez des personnes vivant avec le VIH / Maëva Piton in Santé publique, n° 6 ([01/11/2022])
[article]
Titre : Facteurs associés à la crainte de l’infection par la COVID-19 chez des personnes vivant avec le VIH Type de document : Article Auteurs : Maëva Piton, Auteur ; Claire Della Vecchia, Auteur ; Renaud Mabire, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 771-781 Langues : Français (fre) Mots-clés : COVID-19
ETUDE
INFECTION
PSYCHOLOGIE SOCIALE
RISQUE SANITAIRE
SANTE PUBLIQUE
SIDARésumé : Introduction
Les personnes vivant avec le VIH (PVVIH) ayant déjà vécu des perturbations biographiques dans leur trajectoire de vie peuvent avoir une vulnérabilité accrue aux risques, particulièrement dans le cadre d’une crise sanitaire infectieuse. La présente étude (« Adaptations à la COVID-19 lorsque l’on vit avec le VIH » [ACOVIH]) vise à appréhender les facteurs associés à l’inquiétude d’être infecté par la COVID-19 chez les PVVIH durant la première période de la crise sanitaire.
Méthodes
Il s’agissait d’une étude transversale en ligne par questionnaire autoadministré conduite dans le contexte épidémique de la COVID-19 sur le territoire français auprès d’une population de PVVIH. Les participants ont été recrutés via les réseaux sociaux et par le biais de divers acteur·trice·s de la lutte contre le VIH. L’autoquestionnaire était disponible de juillet 2020 à septembre 2020.
Résultats
L’étude ACOVIH a recueilli 249 réponses, 202 hommes et 47 femmes, d’un âge moyen de 46,6 ± 12,9 ans. Les catégories socioprofessionnelles les plus représentées étaient les employés (n = 73, 29 %), suivis des cadres et des professions intellectuelles et artistiques (n = 59, 24 %). Les PVVIH les plus inquiètes à l’idée d’être infectées par la COVID-19 ont un niveau d’études inférieur ou égal au baccalauréat, des difficultés familiales en lien avec le VIH et une dégradation de la relation de confiance vis-à-vis de l’équipe médicale VIH.
Conclusion
Le sentiment d’inquiétude peut avoir un impact sanitaire et psychosocial chez les PVVIH. Il est nécessaire de considérer ces facteurs négatifs en proposant un accompagnement adapté et en menant des actions préventives visant notamment à améliorer la littératie des PVVIH.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 6 [01/11/2022] . - p. 771-781[article] Facteurs associés à la crainte de l’infection par la COVID-19 chez des personnes vivant avec le VIH [Article] / Maëva Piton, Auteur ; Claire Della Vecchia, Auteur ; Renaud Mabire, Auteur ; et al., Auteur . - 2022 . - p. 771-781.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 6 [01/11/2022] . - p. 771-781
Mots-clés : COVID-19
ETUDE
INFECTION
PSYCHOLOGIE SOCIALE
RISQUE SANITAIRE
SANTE PUBLIQUE
SIDARésumé : Introduction
Les personnes vivant avec le VIH (PVVIH) ayant déjà vécu des perturbations biographiques dans leur trajectoire de vie peuvent avoir une vulnérabilité accrue aux risques, particulièrement dans le cadre d’une crise sanitaire infectieuse. La présente étude (« Adaptations à la COVID-19 lorsque l’on vit avec le VIH » [ACOVIH]) vise à appréhender les facteurs associés à l’inquiétude d’être infecté par la COVID-19 chez les PVVIH durant la première période de la crise sanitaire.
Méthodes
Il s’agissait d’une étude transversale en ligne par questionnaire autoadministré conduite dans le contexte épidémique de la COVID-19 sur le territoire français auprès d’une population de PVVIH. Les participants ont été recrutés via les réseaux sociaux et par le biais de divers acteur·trice·s de la lutte contre le VIH. L’autoquestionnaire était disponible de juillet 2020 à septembre 2020.
Résultats
L’étude ACOVIH a recueilli 249 réponses, 202 hommes et 47 femmes, d’un âge moyen de 46,6 ± 12,9 ans. Les catégories socioprofessionnelles les plus représentées étaient les employés (n = 73, 29 %), suivis des cadres et des professions intellectuelles et artistiques (n = 59, 24 %). Les PVVIH les plus inquiètes à l’idée d’être infectées par la COVID-19 ont un niveau d’études inférieur ou égal au baccalauréat, des difficultés familiales en lien avec le VIH et une dégradation de la relation de confiance vis-à-vis de l’équipe médicale VIH.
Conclusion
Le sentiment d’inquiétude peut avoir un impact sanitaire et psychosocial chez les PVVIH. Il est nécessaire de considérer ces facteurs négatifs en proposant un accompagnement adapté et en menant des actions préventives visant notamment à améliorer la littératie des PVVIH.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Lever de la barrière linguistique dans la prise en charge médicale de patients allophones / Emilie Dray in Santé publique, n° 6 ([01/11/2022])
[article]
Titre : Lever de la barrière linguistique dans la prise en charge médicale de patients allophones Type de document : Article Auteurs : Emilie Dray, Auteur ; Karine Eve, Auteur ; Fanny Lalande, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 783-793 Langues : Français (fre) Mots-clés : COMMUNICATION
EFFICACITE
ETUDE
LANGUE
PATIENT
TRADUCTEURRésumé : Introduction
Lorsque les patients allophones se présentent dans un service de soins, le rôle du personnel soignant est de trouver des solutions pour communiquer efficacement avec eux.
But de l’étude
Cette scoping review a pour but de retranscrire les différentes techniques utilisées dans les soins pour pallier la barrière linguistique, de les comparer et d’évaluer leur efficacité. Une recherche systématique de la littérature a été effectuée à l’aide de bases de données (EM Premium, BDSP, PubMed, Cairn.info) pour des publications comprises entre 2005 à 2021 en utilisant des termes de recherche pertinents.
Résultats
Au total, 13 articles ont pu être étudiés et confrontés entre eux. Ils ont été regroupés en trois catégories différentes : 1) interprètes professionnels, 2) interprètes non professionnels, 3) autres méthodes. La plupart des articles ont relevé certains avantages au fait que les professionnels médicaux utilisent une technique pour pallier la barrière de la langue.
Conclusions
Malgré la faible quantité de publications sur le sujet et le manque de mesures standardisées dans les articles inclus, cette revue établit suffisamment de données pour conclure que les stratégies mises en place pour pallier la barrière linguistique dans les soins sont efficaces.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 6 [01/11/2022] . - p. 783-793[article] Lever de la barrière linguistique dans la prise en charge médicale de patients allophones [Article] / Emilie Dray, Auteur ; Karine Eve, Auteur ; Fanny Lalande, Auteur ; et al., Auteur . - 2022 . - p. 783-793.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 6 [01/11/2022] . - p. 783-793
Mots-clés : COMMUNICATION
EFFICACITE
ETUDE
LANGUE
PATIENT
TRADUCTEURRésumé : Introduction
Lorsque les patients allophones se présentent dans un service de soins, le rôle du personnel soignant est de trouver des solutions pour communiquer efficacement avec eux.
But de l’étude
Cette scoping review a pour but de retranscrire les différentes techniques utilisées dans les soins pour pallier la barrière linguistique, de les comparer et d’évaluer leur efficacité. Une recherche systématique de la littérature a été effectuée à l’aide de bases de données (EM Premium, BDSP, PubMed, Cairn.info) pour des publications comprises entre 2005 à 2021 en utilisant des termes de recherche pertinents.
Résultats
Au total, 13 articles ont pu être étudiés et confrontés entre eux. Ils ont été regroupés en trois catégories différentes : 1) interprètes professionnels, 2) interprètes non professionnels, 3) autres méthodes. La plupart des articles ont relevé certains avantages au fait que les professionnels médicaux utilisent une technique pour pallier la barrière de la langue.
Conclusions
Malgré la faible quantité de publications sur le sujet et le manque de mesures standardisées dans les articles inclus, cette revue établit suffisamment de données pour conclure que les stratégies mises en place pour pallier la barrière linguistique dans les soins sont efficaces.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Cabinets de médecine générale et notification des effets indésirables médicamenteux : expertise d’un délégué de l’Assurance maladie / Sophie Fedrizzi in Santé publique, n° 6 ([01/11/2022])
[article]
Titre : Cabinets de médecine générale et notification des effets indésirables médicamenteux : expertise d’un délégué de l’Assurance maladie Type de document : Article Auteurs : Sophie Fedrizzi, Auteur ; Basile Chrétien, Auteur ; Marion Sassier, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 795-801 Langues : Français (fre) Mots-clés : EFFET SECONDAIRE
ETUDE
MEDECINE GENERALE
MEDICAMENT
PHARMACOVIGILANCE
SANTE PUBLIQUE
SIGNALEMENTRésumé : Introduction
Pour réduire la sous-notification des effets indésirables médicamenteux (EIM) en médecine générale, le centre régional de pharmacovigilance (CRPV) Caen Normandie a mis en place une formation pour les délégués de la Caisse primaire d’assurance maladie de la Manche (CPAM 50) afin de sensibiliser les médecins généralistes (MG) à la déclaration des EIM. Ainsi, lors de la visite trimestrielle des délégués de la CPAM 50 aux MG, il était présenté le mode de fonctionnement et l’intérêt des déclarations de pharmacovigilance.
But de l’étude
Cette étude pilote présente l’influence de ces visites post-formation des délégués de la CPAM 50 sur le nombre d’EIM déclarés.
Résultats
Le bilan de cette première année de visites montre le doublement des EIM déclarés par les MG du département de la Manche en 2019 par rapport aux années 2017 et 2018. Ce phénomène n’a pas été retrouvé dans les deux départements témoins (départements du Calvados et de l’Orne), où l’information n’avait pas été délivrée. Ces EIM concernaient d’abord les médicaments du système rénine-angiotensine, puis les psychotropes et les anti-infectieux. Il s’agissait d’EIM cutanés puis neurologiques et gastro-intestinaux touchant préférentiellement les femmes.
Conclusions
Cette expérimentation devra se poursuivre à plus large échelle. L’évaluation à plus long terme de ce dispositif permettra aussi d’en évaluer la pertinence.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 6 [01/11/2022] . - p. 795-801[article] Cabinets de médecine générale et notification des effets indésirables médicamenteux : expertise d’un délégué de l’Assurance maladie [Article] / Sophie Fedrizzi, Auteur ; Basile Chrétien, Auteur ; Marion Sassier, Auteur ; et al., Auteur . - 2022 . - p. 795-801.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 6 [01/11/2022] . - p. 795-801
Mots-clés : EFFET SECONDAIRE
ETUDE
MEDECINE GENERALE
MEDICAMENT
PHARMACOVIGILANCE
SANTE PUBLIQUE
SIGNALEMENTRésumé : Introduction
Pour réduire la sous-notification des effets indésirables médicamenteux (EIM) en médecine générale, le centre régional de pharmacovigilance (CRPV) Caen Normandie a mis en place une formation pour les délégués de la Caisse primaire d’assurance maladie de la Manche (CPAM 50) afin de sensibiliser les médecins généralistes (MG) à la déclaration des EIM. Ainsi, lors de la visite trimestrielle des délégués de la CPAM 50 aux MG, il était présenté le mode de fonctionnement et l’intérêt des déclarations de pharmacovigilance.
But de l’étude
Cette étude pilote présente l’influence de ces visites post-formation des délégués de la CPAM 50 sur le nombre d’EIM déclarés.
Résultats
Le bilan de cette première année de visites montre le doublement des EIM déclarés par les MG du département de la Manche en 2019 par rapport aux années 2017 et 2018. Ce phénomène n’a pas été retrouvé dans les deux départements témoins (départements du Calvados et de l’Orne), où l’information n’avait pas été délivrée. Ces EIM concernaient d’abord les médicaments du système rénine-angiotensine, puis les psychotropes et les anti-infectieux. Il s’agissait d’EIM cutanés puis neurologiques et gastro-intestinaux touchant préférentiellement les femmes.
Conclusions
Cette expérimentation devra se poursuivre à plus large échelle. L’évaluation à plus long terme de ce dispositif permettra aussi d’en évaluer la pertinence.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible L’intégration de médecins prescripteurs en Ehpad : une amélioration de la qualité des soins perçue / Elsa Boulet in Santé publique, n° 6 ([01/11/2022])
[article]
Titre : L’intégration de médecins prescripteurs en Ehpad : une amélioration de la qualité des soins perçue Type de document : Article Auteurs : Elsa Boulet, Auteur ; Isabelle Barbet, Auteur ; Laurence Hartmann, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 803-812 Langues : Français (fre) Mots-clés : COOPERATION
ETABLISSEMENT HEBERGEANT DES PERSONNES AGEES DEPENDANTES
ETUDE
GERIATRIE
MEDECIN
PRESCRIPTION MEDICALE
QUALITE DES SOINS
SANTE PUBLIQUERésumé : Introduction : L’agence régionale de santé d’Île-de-France a mis en place, depuis 2017, une expérimentation consistant à subventionner le recrutement de médecins à temps partiel dans les établissements d’hébergement pour personnes dépendantes (Ehpad) afin que les résidents sans médecin traitant bénéficient d’un suivi médical régulier.
But de l’étude : L’objectif de cette étude est d’estimer les effets du dispositif en tentant de répondre à ces deux questions : comment se passe l’intégration du médecin dans l’Ehpad ? Quels sont les effets du dispositif sur la qualité des soins perçue ?
Méthode : La méthode employée est une enquête qualitative par entretiens semi-directifs individuels ou collectifs. Au total, 20 professionnels, une résidente et deux filles de résidentes ont été interrogés, dans quatre établissements différents.
Résultats : L’enquête montre que ce dispositif répond à un besoin médical insatisfait. Le recrutement de médecins apparaît toutefois difficile et des délais importants ont été relevés dans l’étude. L’expérimentation est jugée bénéfique par les personnes interrogées : elle permettrait une réévaluation des prescriptions en temps voulu, éviterait des dégradations de l’état de santé des résidents et limiterait le recours aux urgences. Les médecins interviennent dans la prise en soins des troubles cognitifs et jouent un rôle important dans l’accompagnement des fins de vie.
Conclusions : L’expérimentation a un effet positif sur la qualité des soins perçue, aussi bien d’après les professionnels que les résidents ou leurs proches, ce qui pourrait justifier sa pérennisation voire son extension.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 6 [01/11/2022] . - p. 803-812[article] L’intégration de médecins prescripteurs en Ehpad : une amélioration de la qualité des soins perçue [Article] / Elsa Boulet, Auteur ; Isabelle Barbet, Auteur ; Laurence Hartmann, Auteur ; et al., Auteur . - 2022 . - p. 803-812.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 6 [01/11/2022] . - p. 803-812
Mots-clés : COOPERATION
ETABLISSEMENT HEBERGEANT DES PERSONNES AGEES DEPENDANTES
ETUDE
GERIATRIE
MEDECIN
PRESCRIPTION MEDICALE
QUALITE DES SOINS
SANTE PUBLIQUERésumé : Introduction : L’agence régionale de santé d’Île-de-France a mis en place, depuis 2017, une expérimentation consistant à subventionner le recrutement de médecins à temps partiel dans les établissements d’hébergement pour personnes dépendantes (Ehpad) afin que les résidents sans médecin traitant bénéficient d’un suivi médical régulier.
But de l’étude : L’objectif de cette étude est d’estimer les effets du dispositif en tentant de répondre à ces deux questions : comment se passe l’intégration du médecin dans l’Ehpad ? Quels sont les effets du dispositif sur la qualité des soins perçue ?
Méthode : La méthode employée est une enquête qualitative par entretiens semi-directifs individuels ou collectifs. Au total, 20 professionnels, une résidente et deux filles de résidentes ont été interrogés, dans quatre établissements différents.
Résultats : L’enquête montre que ce dispositif répond à un besoin médical insatisfait. Le recrutement de médecins apparaît toutefois difficile et des délais importants ont été relevés dans l’étude. L’expérimentation est jugée bénéfique par les personnes interrogées : elle permettrait une réévaluation des prescriptions en temps voulu, éviterait des dégradations de l’état de santé des résidents et limiterait le recours aux urgences. Les médecins interviennent dans la prise en soins des troubles cognitifs et jouent un rôle important dans l’accompagnement des fins de vie.
Conclusions : L’expérimentation a un effet positif sur la qualité des soins perçue, aussi bien d’après les professionnels que les résidents ou leurs proches, ce qui pourrait justifier sa pérennisation voire son extension.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Organisation du transfert des patients de l’hospitalisation conventionnelle vers l’hospitalisation à domicile / Matthieu de Stampa in Santé publique, n° 6 ([01/11/2022])
[article]
Titre : Organisation du transfert des patients de l’hospitalisation conventionnelle vers l’hospitalisation à domicile Type de document : Article Auteurs : Matthieu de Stampa, Auteur ; Louise Bernadette Jeanne Chevallier, Auteur ; Taina Louissaint, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 813-819 Langues : Français (fre) Mots-clés : COORDINATION
ETUDE
HOSPITALISATION A DOMICILE
PARCOURS DE SOINS
PATIENT
SANTE PUBLIQUE
TRANSFERTRésumé : Introduction
L’organisation du transfert des patients de l’hospitalisation conventionnelle vers l’hospitalisation à domicile (HAD) est peu connue.
But de l’étude
Notre étude a eu pour objectif de décrire cette organisation en identifiant les acteurs clés de ce parcours avec les incitatifs et les obstacles à la continuité des soins.
Résultats
Le transfert des patients de l’hospitalisation conventionnelle vers l’HAD est une période de forte tension entre tous les professionnels de santé et l’organisation de la sortie est peu anticipée par les prescripteurs hospitaliers. La description de l’état clinique du patient n’est pas toujours partagée entre les médecins hospitaliers et les infirmières de l’HAD, surtout lorsqu’ils n’ont pas l’habitude de travailler ensemble. Le médecin coordonnateur de l’HAD contribue dans ce contexte à construire une vision commune. Enfin, l’infirmière de l’HAD joue un rôle central, à l’interface entre le service hospitalier, le patient et les professionnels du domicile, avec une forte activité de coordination des interventions.
Conclusion
Le transfert des patients de l’hôpital conventionnel vers l’HAD devrait être anticipé par les professionnels hospitaliers dès l’entrée en hospitalisation et l’utilisation d’outils communs d’évaluation des besoins permettrait une meilleure sécurisation des parcours.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 6 [01/11/2022] . - p. 813-819[article] Organisation du transfert des patients de l’hospitalisation conventionnelle vers l’hospitalisation à domicile [Article] / Matthieu de Stampa, Auteur ; Louise Bernadette Jeanne Chevallier, Auteur ; Taina Louissaint, Auteur . - 2022 . - p. 813-819.
Langues : Français (fre)
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Mots-clés : COORDINATION
ETUDE
HOSPITALISATION A DOMICILE
PARCOURS DE SOINS
PATIENT
SANTE PUBLIQUE
TRANSFERTRésumé : Introduction
L’organisation du transfert des patients de l’hospitalisation conventionnelle vers l’hospitalisation à domicile (HAD) est peu connue.
But de l’étude
Notre étude a eu pour objectif de décrire cette organisation en identifiant les acteurs clés de ce parcours avec les incitatifs et les obstacles à la continuité des soins.
Résultats
Le transfert des patients de l’hospitalisation conventionnelle vers l’HAD est une période de forte tension entre tous les professionnels de santé et l’organisation de la sortie est peu anticipée par les prescripteurs hospitaliers. La description de l’état clinique du patient n’est pas toujours partagée entre les médecins hospitaliers et les infirmières de l’HAD, surtout lorsqu’ils n’ont pas l’habitude de travailler ensemble. Le médecin coordonnateur de l’HAD contribue dans ce contexte à construire une vision commune. Enfin, l’infirmière de l’HAD joue un rôle central, à l’interface entre le service hospitalier, le patient et les professionnels du domicile, avec une forte activité de coordination des interventions.
Conclusion
Le transfert des patients de l’hôpital conventionnel vers l’HAD devrait être anticipé par les professionnels hospitaliers dès l’entrée en hospitalisation et l’utilisation d’outils communs d’évaluation des besoins permettrait une meilleure sécurisation des parcours.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Expériences de la téléconsultation par les sages-femmes libérales françaises pendant la crise du COVID-19 / Sophie Baumann in Santé publique, n° 6 ([01/11/2022])
[article]
Titre : Expériences de la téléconsultation par les sages-femmes libérales françaises pendant la crise du COVID-19 Type de document : Article Auteurs : Sophie Baumann, Auteur ; Laurent Gaucher, Auteur ; Inès Mahrez, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 821-832 Langues : Français (fre) Mots-clés : CONSULTATION
CONTINUITE DES SOINS
COVID-19
ETUDE
ORGANISATION SANITAIRE
SAGE-FEMME
SANTE PUBLIQUE
SECTEUR LIBERAL
TELEMEDECINERésumé : Contexte
Dans le contexte de la pandémie COVID-19, le gouvernement français a autorisé la pratique des téléconsultations pour les sages-femmes à partir du 20 mars 2020. Une enquête par questionnaire menée auprès de 1 491 sages-femmes libérales a rapporté que 88,5 % d’entre elles avaient mis en œuvre cette pratique. Nous avons donc souhaité explorer leurs motivations et la façon dont elles ont intégré cette nouvelle modalité d’exercice dans leur pratique.
Méthodes
Nous avons mené 22 entretiens semi-directifs auprès de sages-femmes libérales ayant mis en place des téléconsultations depuis leur autorisation. L’étude, réalisée entre mai et juillet 2020, a pris fin lorsque la saturation des résultats a été atteinte. Une analyse de contenu a permis de dégager les récurrences et les exceptions dans le discours.
Résultats
Les principales motivations des sages-femmes libérales à proposer des téléconsultations étaient de maintenir l’accès aux soins pour les femmes et préserver leur propre activité professionnelle. Elles pointaient un certain nombre de limites, parmi lesquelles la question du secret professionnel et de la garantie de la confidentialité, ou encore l’inégalité d’accès aux soins en lien avec la fracture numérique. L’intégration de la téléconsultation dans leur pratique a permis de mettre en lumière et valoriser le travail d’accompagnement réalisé par les sages-femmes jusqu’à présent peu visible et reconnu.
Conclusion
Les sages-femmes se sont rapidement approprié les téléconsultations qui ont, depuis le confinement, été pérennisées. Cet outil permet une aide à la continuité des soins, mais pose également de nouvelles questions d’égalité d’accès aux soins.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 6 [01/11/2022] . - p. 821-832[article] Expériences de la téléconsultation par les sages-femmes libérales françaises pendant la crise du COVID-19 [Article] / Sophie Baumann, Auteur ; Laurent Gaucher, Auteur ; Inès Mahrez, Auteur ; et al., Auteur . - 2022 . - p. 821-832.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 6 [01/11/2022] . - p. 821-832
Mots-clés : CONSULTATION
CONTINUITE DES SOINS
COVID-19
ETUDE
ORGANISATION SANITAIRE
SAGE-FEMME
SANTE PUBLIQUE
SECTEUR LIBERAL
TELEMEDECINERésumé : Contexte
Dans le contexte de la pandémie COVID-19, le gouvernement français a autorisé la pratique des téléconsultations pour les sages-femmes à partir du 20 mars 2020. Une enquête par questionnaire menée auprès de 1 491 sages-femmes libérales a rapporté que 88,5 % d’entre elles avaient mis en œuvre cette pratique. Nous avons donc souhaité explorer leurs motivations et la façon dont elles ont intégré cette nouvelle modalité d’exercice dans leur pratique.
Méthodes
Nous avons mené 22 entretiens semi-directifs auprès de sages-femmes libérales ayant mis en place des téléconsultations depuis leur autorisation. L’étude, réalisée entre mai et juillet 2020, a pris fin lorsque la saturation des résultats a été atteinte. Une analyse de contenu a permis de dégager les récurrences et les exceptions dans le discours.
Résultats
Les principales motivations des sages-femmes libérales à proposer des téléconsultations étaient de maintenir l’accès aux soins pour les femmes et préserver leur propre activité professionnelle. Elles pointaient un certain nombre de limites, parmi lesquelles la question du secret professionnel et de la garantie de la confidentialité, ou encore l’inégalité d’accès aux soins en lien avec la fracture numérique. L’intégration de la téléconsultation dans leur pratique a permis de mettre en lumière et valoriser le travail d’accompagnement réalisé par les sages-femmes jusqu’à présent peu visible et reconnu.
Conclusion
Les sages-femmes se sont rapidement approprié les téléconsultations qui ont, depuis le confinement, été pérennisées. Cet outil permet une aide à la continuité des soins, mais pose également de nouvelles questions d’égalité d’accès aux soins.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Enjeux actuels et pistes de solution pour améliorer les couvertures vaccinales antigrippales dans les milieux ruraux / Audrey Sirois in Santé publique, n° 6 ([01/11/2022])
[article]
Titre : Enjeux actuels et pistes de solution pour améliorer les couvertures vaccinales antigrippales dans les milieux ruraux Type de document : Article Auteurs : Audrey Sirois, Auteur ; Gueu Sylvain Deli, Auteur ; Andrée-Anne Parent, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 833-836 Langues : Français (fre) Mots-clés : ETUDE
GRIPPE
MILIEU RURAL
SANTE PUBLIQUE
VACCINATIONRésumé : Introduction
Malgré l’impact positif de la vaccination sur la santé, les couvertures vaccinales antigrippales au niveau mondial demeurent faibles pour certains groupes de population. Au Québec, les couvertures vaccinales chez les populations atteintes de maladies chroniques demeurent en deçà de ce qui est attendu par la santé publique. Cette situation étant aussi perceptible en région rurale, il s’avère nécessaire de réfléchir sur les enjeux actuels associés aux faibles couvertures vaccinales au sein de cette population spécifique.
But de l’étude
Ce commentaire a pour but d’explorer l’importance d’obtenir une compréhension multifactorielle du problème soulevé afin de proposer des pistes de solution visant à augmenter les couvertures vaccinales antigrippales auprès des personnes vivant en région rurale.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 6 [01/11/2022] . - p. 833-836[article] Enjeux actuels et pistes de solution pour améliorer les couvertures vaccinales antigrippales dans les milieux ruraux [Article] / Audrey Sirois, Auteur ; Gueu Sylvain Deli, Auteur ; Andrée-Anne Parent, Auteur ; et al., Auteur . - 2022 . - p. 833-836.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 6 [01/11/2022] . - p. 833-836
Mots-clés : ETUDE
GRIPPE
MILIEU RURAL
SANTE PUBLIQUE
VACCINATIONRésumé : Introduction
Malgré l’impact positif de la vaccination sur la santé, les couvertures vaccinales antigrippales au niveau mondial demeurent faibles pour certains groupes de population. Au Québec, les couvertures vaccinales chez les populations atteintes de maladies chroniques demeurent en deçà de ce qui est attendu par la santé publique. Cette situation étant aussi perceptible en région rurale, il s’avère nécessaire de réfléchir sur les enjeux actuels associés aux faibles couvertures vaccinales au sein de cette population spécifique.
But de l’étude
Ce commentaire a pour but d’explorer l’importance d’obtenir une compréhension multifactorielle du problème soulevé afin de proposer des pistes de solution visant à augmenter les couvertures vaccinales antigrippales auprès des personnes vivant en région rurale.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible Port des équipements de protection individuelle dans le contexte de la COVID-19 dans un centre hospitalier du Burkina Faso / Daniel Dori in Santé publique, n° 6 ([01/11/2022])
[article]
Titre : Port des équipements de protection individuelle dans le contexte de la COVID-19 dans un centre hospitalier du Burkina Faso Type de document : Article Auteurs : Daniel Dori, Auteur ; Inoussa Tapsoba, Auteur ; Charles Bavouma Sombié, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 837-846 Langues : Français (fre) Mots-clés : BURKINA FASO
COVID-19
EQUIPEMENT
ETUDE
HOPITAL
PERSONNEL HOSPITALIER
PROTECTION
SANTE PUBLIQUERésumé : Introduction
Les équipements de protection individuelle (EPI) sont utilisés par le personnel de santé dans le cadre des soins pour se protéger et protéger les patients contre les expositions diverses telles que les agents infectieux. Toutefois, le port de ces équipements n’est pas toujours optimal, surtout dans un contexte épidémique de transmission de la COVID-19.
But de l’étude
La présente étude vise, dans le contexte spécifique de la COVID-19, à contribuer à l’amélioration des pratiques de port des EPI des agents de santé.
Méthodes
Il s’agit d’une étude transversale descriptive conduite en 2020 au centre hospitalier universitaire pédiatrique Charles-de-Gaulle du Burkina Faso. Tous les agents de santé des unités de soins et du laboratoire ont été inclus. Les données ont été recueillies au moyen d’une grille d’observation lors de la première situation indiquant le port d’un EPI. L’appréciation des indications de port des EPI s’est basée sur les recommandations de la Société française d’hygiène hospitalière et sur le Guide technique de prévention et contrôle des infections associées aux soins au Burkina Faso.
Résultats
Sur 350 agents ciblés, 296 ont été observés. Le port de la blouse, du masque et des gants était observé respectivement dans 95,60 %, 96,58 % et 97,63 % des cas. Cependant, les EPI tels que les lunettes de protection (1,56 %), le tablier (11,54 %) et la tenue professionnelle composée d’une tunique et d’un pantalon (46,28 %) étaient faiblement utilisés lors des soins médicaux.
Conclusion
Les pratiques des agents de santé vis-à-vis du port de certains EPI restent insuffisantes. Un programme de formation et de sensibilisation sur les EPI doit être envisagé afin de renforcer la sécurité des patients et du personnel.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > n° 6 [01/11/2022] . - p. 837-846[article] Port des équipements de protection individuelle dans le contexte de la COVID-19 dans un centre hospitalier du Burkina Faso [Article] / Daniel Dori, Auteur ; Inoussa Tapsoba, Auteur ; Charles Bavouma Sombié, Auteur ; et al., Auteur . - 2022 . - p. 837-846.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > n° 6 [01/11/2022] . - p. 837-846
Mots-clés : BURKINA FASO
COVID-19
EQUIPEMENT
ETUDE
HOPITAL
PERSONNEL HOSPITALIER
PROTECTION
SANTE PUBLIQUERésumé : Introduction
Les équipements de protection individuelle (EPI) sont utilisés par le personnel de santé dans le cadre des soins pour se protéger et protéger les patients contre les expositions diverses telles que les agents infectieux. Toutefois, le port de ces équipements n’est pas toujours optimal, surtout dans un contexte épidémique de transmission de la COVID-19.
But de l’étude
La présente étude vise, dans le contexte spécifique de la COVID-19, à contribuer à l’amélioration des pratiques de port des EPI des agents de santé.
Méthodes
Il s’agit d’une étude transversale descriptive conduite en 2020 au centre hospitalier universitaire pédiatrique Charles-de-Gaulle du Burkina Faso. Tous les agents de santé des unités de soins et du laboratoire ont été inclus. Les données ont été recueillies au moyen d’une grille d’observation lors de la première situation indiquant le port d’un EPI. L’appréciation des indications de port des EPI s’est basée sur les recommandations de la Société française d’hygiène hospitalière et sur le Guide technique de prévention et contrôle des infections associées aux soins au Burkina Faso.
Résultats
Sur 350 agents ciblés, 296 ont été observés. Le port de la blouse, du masque et des gants était observé respectivement dans 95,60 %, 96,58 % et 97,63 % des cas. Cependant, les EPI tels que les lunettes de protection (1,56 %), le tablier (11,54 %) et la tenue professionnelle composée d’une tunique et d’un pantalon (46,28 %) étaient faiblement utilisés lors des soins médicaux.
Conclusion
Les pratiques des agents de santé vis-à-vis du port de certains EPI restent insuffisantes. Un programme de formation et de sensibilisation sur les EPI doit être envisagé afin de renforcer la sécurité des patients et du personnel.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible