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n° 1 [Article] . - 2024. Langues : Français (fre)
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Ajouter le résultat dans votre panierRésistance aux antiseptiques : comment limiter les risques du mésusage individuel et collectif ? / Joseph Hajjar in Hygiènes, n° 1 ([01/03/2024])
Titre : Résistance aux antiseptiques : comment limiter les risques du mésusage individuel et collectif ? Type de document : Article Auteurs : Joseph Hajjar, Auteur ; Vincent Cattoir, Auteur ; Marc Leone, Auteur ; Jean-Yves Maillard, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 29-40 Langues : Français (fre) Mots-clés : ANTISEPTIQUE
PHARMACORESISTANCE
PREVENTION
RECOMMANDATIONRésumé : Un antiseptique est appliqué avant la réalisation d’un acte invasif afin de prévenir la survenue d’une infection. Or une diminution de sensibilité aux antiseptiques et une résistance sont actuellement décrites, parfois associées à celles liées aux antibiotiques. La résistance aux antiseptiques peut être innée ou acquise. La résistance associée aux antiseptiques et antibiotiques est une co-résistance par acquisition de gènes de résistance localisés sur un même élément génétique mobile, ou une résistance croisée liée à la capacité de certaines pompes d’efflux à excréter à la fois des antiseptiques et des antibiotiques. Des observations suggèrent de telles résistances croisées dans des isolats cliniques, par exemple l’association significative entre diminution de sensibilité aux ammoniums quaternaires et haut niveau de résistance à l’ampicilline et aux aminosides chez des souches cliniques d’E. faecium. L’absence de procédure standardisée ne permet pas d’établir des concentrations critiques d’antiseptique d’interprétation fiable, ni d’avoir une idée de l’épidémiologie de la résistance aux antiseptiques associée ou non aux antibiotiques. Les données récentes des missions nationales de surveillance et prévention des infections associées aux dispositifs invasifs (Spiadi) et des infections en chirurgie et médecine interventionnelle (Spicmi) ont montré, pour la réalisation d’une antisepsie de la peau de haute qualité, des écarts entre pratiques et recommandations nationales quant au type d’antiseptique utilisé et aux conditions d’application (temps de séchage, dispositif stérile). Le mésusage des antiseptiques doit être prévenu pour préserver leur efficacité. Des formations des professionnels au respect des recommandations de bonne pratique sont une aide pour progresser dans le soin. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Hygiènes > n° 1 [01/03/2024] . - p. 29-40[article] Résistance aux antiseptiques : comment limiter les risques du mésusage individuel et collectif ? [Article] / Joseph Hajjar, Auteur ; Vincent Cattoir, Auteur ; Marc Leone, Auteur ; Jean-Yves Maillard, Auteur ; et al., Auteur . - 2024 . - p. 29-40.
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Mots-clés : ANTISEPTIQUE
PHARMACORESISTANCE
PREVENTION
RECOMMANDATIONRésumé : Un antiseptique est appliqué avant la réalisation d’un acte invasif afin de prévenir la survenue d’une infection. Or une diminution de sensibilité aux antiseptiques et une résistance sont actuellement décrites, parfois associées à celles liées aux antibiotiques. La résistance aux antiseptiques peut être innée ou acquise. La résistance associée aux antiseptiques et antibiotiques est une co-résistance par acquisition de gènes de résistance localisés sur un même élément génétique mobile, ou une résistance croisée liée à la capacité de certaines pompes d’efflux à excréter à la fois des antiseptiques et des antibiotiques. Des observations suggèrent de telles résistances croisées dans des isolats cliniques, par exemple l’association significative entre diminution de sensibilité aux ammoniums quaternaires et haut niveau de résistance à l’ampicilline et aux aminosides chez des souches cliniques d’E. faecium. L’absence de procédure standardisée ne permet pas d’établir des concentrations critiques d’antiseptique d’interprétation fiable, ni d’avoir une idée de l’épidémiologie de la résistance aux antiseptiques associée ou non aux antibiotiques. Les données récentes des missions nationales de surveillance et prévention des infections associées aux dispositifs invasifs (Spiadi) et des infections en chirurgie et médecine interventionnelle (Spicmi) ont montré, pour la réalisation d’une antisepsie de la peau de haute qualité, des écarts entre pratiques et recommandations nationales quant au type d’antiseptique utilisé et aux conditions d’application (temps de séchage, dispositif stérile). Le mésusage des antiseptiques doit être prévenu pour préserver leur efficacité. Des formations des professionnels au respect des recommandations de bonne pratique sont une aide pour progresser dans le soin. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
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Titre : Diffusion de bactéries résistantes aux antibiotiques et de gènes de résistance par les effluents : que faire dans les établissements de santé ? Type de document : Article Auteurs : Philippe Hartemann, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p.41-46 Langues : Français (fre) Mots-clés : ANTIBIOTIQUE
BACTERIE
CONTAMINATION
EAU
ENVIRONNEMENT
ETABLISSEMENT DE SANTE
PHARMACORESISTANCERésumé : La résistance aux antibiotiques est une menace dans les établissements de soins mais également pour la population et l’environnement. La dissémination de bactéries multirésistantes à travers les continents est liée à la mondialisation des échanges mais aussi à des facteurs environnementaux. Les effluents liquides industriels et hospitaliers ont leur part dans cette dissémination. La contamination des eaux usées des établissements de soins par les résidus d’antibiotiques et les bactéries multirésistantes est démontrée, ainsi que le rôle des stations d’épuration urbaines qui les reçoivent et les traitent avec une efficacité limitée avant leur rejet dans l’environnement. Diverses solutions techniques existent pour limiter cette dissémination : l’amélioration du traitement au niveau de la station d’épuration urbaine, la mise en place d’un traitement spécifique dans une station d’épuration au niveau de l’établissement de soins, ou la collecte à la source avant réduction de volume et incinération. Ces filières ont été testées à l’occasion de projets pilotes mais ne sont pas encore mises en œuvre. Dans l’attente d’une éventuelle obligation réglementaire, on peut envisager de mettre en place une collecte spécifique dans les services à risque de dissémination de bactéries antibiorésistantes. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
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Mots-clés : ANTIBIOTIQUE
BACTERIE
CONTAMINATION
EAU
ENVIRONNEMENT
ETABLISSEMENT DE SANTE
PHARMACORESISTANCERésumé : La résistance aux antibiotiques est une menace dans les établissements de soins mais également pour la population et l’environnement. La dissémination de bactéries multirésistantes à travers les continents est liée à la mondialisation des échanges mais aussi à des facteurs environnementaux. Les effluents liquides industriels et hospitaliers ont leur part dans cette dissémination. La contamination des eaux usées des établissements de soins par les résidus d’antibiotiques et les bactéries multirésistantes est démontrée, ainsi que le rôle des stations d’épuration urbaines qui les reçoivent et les traitent avec une efficacité limitée avant leur rejet dans l’environnement. Diverses solutions techniques existent pour limiter cette dissémination : l’amélioration du traitement au niveau de la station d’épuration urbaine, la mise en place d’un traitement spécifique dans une station d’épuration au niveau de l’établissement de soins, ou la collecte à la source avant réduction de volume et incinération. Ces filières ont été testées à l’occasion de projets pilotes mais ne sont pas encore mises en œuvre. Dans l’attente d’une éventuelle obligation réglementaire, on peut envisager de mettre en place une collecte spécifique dans les services à risque de dissémination de bactéries antibiorésistantes. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
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Titre : Le laboratoire des erreurs, un serious game en qualité, hygiène et sécurité Type de document : Article Auteurs : Christelle Brouard-Barbeau, Auteur ; Florence Le Gallou, Auteur ; Pauline Henseval, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 47-50 Langues : Français (fre) Mots-clés : BONNES PRATIQUES
FORMATION
HYGIENE HOSPITALIERE
LABORATOIRE D'ANALYSES MEDICALES
QUALITE
SECURITE SANITAIRE
SERIOUS GAMERésumé : Le département de microbiologie et d’hygiène hospitalière (DM2H) de notre établissement a créé un laboratoire des erreurs pour rappeler de manière ludique et interactive les bonnes pratiques de laboratoire en qualité, hygiène et sécurité. Quinze personnes ont préparé ce projet de 2021 à 2023. Elles ont défini douze erreurs (6 hygiène, 4 qualité, 2 sécurité) et établi les plans et équipements nécessaires à la transformation d’une salle de réunion en laboratoire fictif (mannequins, faux prélèvements de sang, d’urines et de selles, matériels et réactifs). Les formations se sont déroulées en octobre 2022 à l’Hôtel-Dieu (HD) durant 3 jours et en juin 2023 à l’hôpital G. et R. Laennec (HGRL) pendant 2 demi-journées. Chaque séance, en petit groupe, comprenait 5 minutes de briefing, 15 minutes de recherche des erreurs et 5 minutes de débriefing encadré par un organisateur pour expliquer les bonnes pratiques attendues selon les référentiels. Les 182 participants (deux tiers de techniciens, des biologistes, étudiants, enseignants et ingénieurs), représentaient presque tous les laboratoires de l’établissement. En moyenne, ils ont identifié 7,5 erreurs sur 12, la majorité concernant l’hygiène (téléphone portable sur paillasse, tenue inadaptée ou non-port des gants). Suivaient la sécurité (produit inflammable près d’une source de chaleur, container à déchets trop rempli) puis la qualité (date de péremption de consommable dépassée, document non répertorié, discordance d’identification entre bon de demande et prélèvement). L’expérience a été jugée intéressante par près de 90% des participants. L’implication et la créativité des organisateurs, la participation de catégories professionnelles et de laboratoires variés et les évaluations très positives des professionnels incitent le DM2H à renouveler cette formation avec d’autres erreurs et d’autres mises en scène. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Hygiènes > n° 1 [01/03/2024] . - p. 47-50[article] Le laboratoire des erreurs, un serious game en qualité, hygiène et sécurité [Article] / Christelle Brouard-Barbeau, Auteur ; Florence Le Gallou, Auteur ; Pauline Henseval, Auteur ; et al., Auteur . - 2024 . - p. 47-50.
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Mots-clés : BONNES PRATIQUES
FORMATION
HYGIENE HOSPITALIERE
LABORATOIRE D'ANALYSES MEDICALES
QUALITE
SECURITE SANITAIRE
SERIOUS GAMERésumé : Le département de microbiologie et d’hygiène hospitalière (DM2H) de notre établissement a créé un laboratoire des erreurs pour rappeler de manière ludique et interactive les bonnes pratiques de laboratoire en qualité, hygiène et sécurité. Quinze personnes ont préparé ce projet de 2021 à 2023. Elles ont défini douze erreurs (6 hygiène, 4 qualité, 2 sécurité) et établi les plans et équipements nécessaires à la transformation d’une salle de réunion en laboratoire fictif (mannequins, faux prélèvements de sang, d’urines et de selles, matériels et réactifs). Les formations se sont déroulées en octobre 2022 à l’Hôtel-Dieu (HD) durant 3 jours et en juin 2023 à l’hôpital G. et R. Laennec (HGRL) pendant 2 demi-journées. Chaque séance, en petit groupe, comprenait 5 minutes de briefing, 15 minutes de recherche des erreurs et 5 minutes de débriefing encadré par un organisateur pour expliquer les bonnes pratiques attendues selon les référentiels. Les 182 participants (deux tiers de techniciens, des biologistes, étudiants, enseignants et ingénieurs), représentaient presque tous les laboratoires de l’établissement. En moyenne, ils ont identifié 7,5 erreurs sur 12, la majorité concernant l’hygiène (téléphone portable sur paillasse, tenue inadaptée ou non-port des gants). Suivaient la sécurité (produit inflammable près d’une source de chaleur, container à déchets trop rempli) puis la qualité (date de péremption de consommable dépassée, document non répertorié, discordance d’identification entre bon de demande et prélèvement). L’expérience a été jugée intéressante par près de 90% des participants. L’implication et la créativité des organisateurs, la participation de catégories professionnelles et de laboratoires variés et les évaluations très positives des professionnels incitent le DM2H à renouveler cette formation avec d’autres erreurs et d’autres mises en scène. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
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Titre : Contamination d’un talc officinal par Streptococcus pyogenes et Staphylococcus aureus Type de document : Article Auteurs : Louise Piquart, Auteur ; Isabelle Fredenucci, Auteur ; Alicia Ehmke, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 51-53 Langues : Français (fre) Mots-clés : CONTAMINATION
STAPHYLOCOCCIE
STREPTOCOCCIERésumé : Introduction : L’incidence en France des infections invasives à Streptococcus pyogenes (streptocoque du groupe A [SGA]) est en augmentation depuis 2022, particulièrement dans la population pédiatrique.
Objectif : Nous présentons ici le cas d’un nouveau-né extrême prématuré, présentant à 162 jours de vie des lésions cutanées évocatrices d’un intertrigo sur lesquelles du talc officinal a été appliqué. Devant une évolution défavorable avec survenue d’une bactériémie à SGA et Staphylococcus aureus, des investigations ont été menées afin de documenter la contamination de cette matière inerte et d’élucider la chronologie de l’infection.
Matériel et méthodes : Des analyses microbiologiques du talc et le séquençage génomique des souches cliniques et environnementales ont été réalisés. Résultats : Les analyses ont confirmé la présence de souches identiques dans l’hémoculture et le talc, et l’hypothèse la plus probable suggère que le talc a été contaminé lors de l’application sur la peau infectée.
Conclusion : Ce cas montre la capacité de deux pathogènes à coloniser un environnement inerte et à y persister. Il souligne le rôle essentiel de la surveillance environnementale et des stratégies de prévention des infections associées aux soins de santé, en particulier pour les populations de patients vulnérables.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
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Mots-clés : CONTAMINATION
STAPHYLOCOCCIE
STREPTOCOCCIERésumé : Introduction : L’incidence en France des infections invasives à Streptococcus pyogenes (streptocoque du groupe A [SGA]) est en augmentation depuis 2022, particulièrement dans la population pédiatrique.
Objectif : Nous présentons ici le cas d’un nouveau-né extrême prématuré, présentant à 162 jours de vie des lésions cutanées évocatrices d’un intertrigo sur lesquelles du talc officinal a été appliqué. Devant une évolution défavorable avec survenue d’une bactériémie à SGA et Staphylococcus aureus, des investigations ont été menées afin de documenter la contamination de cette matière inerte et d’élucider la chronologie de l’infection.
Matériel et méthodes : Des analyses microbiologiques du talc et le séquençage génomique des souches cliniques et environnementales ont été réalisés. Résultats : Les analyses ont confirmé la présence de souches identiques dans l’hémoculture et le talc, et l’hypothèse la plus probable suggère que le talc a été contaminé lors de l’application sur la peau infectée.
Conclusion : Ce cas montre la capacité de deux pathogènes à coloniser un environnement inerte et à y persister. Il souligne le rôle essentiel de la surveillance environnementale et des stratégies de prévention des infections associées aux soins de santé, en particulier pour les populations de patients vulnérables.Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
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Titre : Impact de l’adhésion du personnel infirmier à un bundle sur le risque infectieux lié aux cathéters veineux périphériques dans un service de médecine Type de document : Article Auteurs : Aude Tondini, Auteur ; Laurent Merz, Auteur ; Bruno Grandbastien, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 54-59 Langues : Français (fre) Mots-clés : CATHETER
INFECTION
INFECTION BACTERIENNE
OBSERVANCE
VEINERésumé : Les cathéters veineux périphériques (CVP) sont des dispositifs invasifs très fréquemment utilisés et potentiellement associés à des bactériémies. Nous relatons une expérience d’implémentation d’une stratégie multimodale de prévention de ces complications infectieuses et l’évaluation de son impact. Un bouquet de mesures (bundle) associant des recommandations de haut niveau de preuve a été mis en place en janvier 2021 dans un service de médecine. Son implémentation a reposé sur une stratégie multimodale comprenant des formations et la création d’outils pédagogiques spécifiques (posters, carte de poche…). L’impact de cette stratégie a été évalué par la mesure d’un score d’observance de ce bouquet (7 points par observation), par le suivi de la durée de maintien des CVP et le relevé de la fréquence de survenue de bactériémies rattachables à ces CVP. Avant la mise en place de cette stratégie, 31 patients ont été observés avec un score d’observance de 11% ; après implémentation du bundle, il était de 99% pour 32 patients (p Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Hygiènes > n° 1 [01/03/2024] . - p. 54-59[article] Impact de l’adhésion du personnel infirmier à un bundle sur le risque infectieux lié aux cathéters veineux périphériques dans un service de médecine [Article] / Aude Tondini, Auteur ; Laurent Merz, Auteur ; Bruno Grandbastien, Auteur . - 2024 . - p. 54-59.
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Mots-clés : CATHETER
INFECTION
INFECTION BACTERIENNE
OBSERVANCE
VEINERésumé : Les cathéters veineux périphériques (CVP) sont des dispositifs invasifs très fréquemment utilisés et potentiellement associés à des bactériémies. Nous relatons une expérience d’implémentation d’une stratégie multimodale de prévention de ces complications infectieuses et l’évaluation de son impact. Un bouquet de mesures (bundle) associant des recommandations de haut niveau de preuve a été mis en place en janvier 2021 dans un service de médecine. Son implémentation a reposé sur une stratégie multimodale comprenant des formations et la création d’outils pédagogiques spécifiques (posters, carte de poche…). L’impact de cette stratégie a été évalué par la mesure d’un score d’observance de ce bouquet (7 points par observation), par le suivi de la durée de maintien des CVP et le relevé de la fréquence de survenue de bactériémies rattachables à ces CVP. Avant la mise en place de cette stratégie, 31 patients ont été observés avec un score d’observance de 11% ; après implémentation du bundle, il était de 99% pour 32 patients (p Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
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Titre : Diagnostic et prise en charge des diarrhées à Clostridioides difficile Type de document : Article Auteurs : Jean-Winoc Decousser, Auteur ; Jeanne Couturier, Auteur ; Sara Romano-Bertrand, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 61-69 Langues : Français (fre) Mots-clés : DIAGNOSTIC
DIARRHEE
INFECTION
PREVENTION
RISQUE SANITAIRERésumé : Les diarrhées à Clostridioides difficile (anciennement Clostridium difficile) sont des infections à la fois communautaires et associées aux soins. Elles se développent chez des patients ayant un microbiote digestif altéré, principalement par la prise d’antibiotiques. Dans ce contexte, seules les souches toxinogènes sont pathogènes. Contrairement à de nombreuses bactéries, le diagnostic des diarrhées à C. difficile n’est pas basé en première intention sur la culture. Plusieurs types de tests sont disponibles et organisés selon des algorithmes bien définis. En termes de prévention de la transmission, la prise en charge des patients diarrhéiques (c’est-à-dire présentant plus de 3 selles quotidiennes non moulées) et pour lesquels la recherche des toxines est positive par test antigénique ou par PCR ne pose pas de problème : les précautions complémentaires spécifiques C. difficile doivent être prescrites et mises en place. L’eau de Javel et les dérivés peroxygénés sporicides sont des désinfectants de surface de choix. Le traitement antibiotique n’est pas basé sur la réalisation d’un antibiogramme. Le suivi de la guérison est clinique : il ne faut pas réaliser de test microbiologique de contrôle. Chez les patients asymptomatiques, le portage de souche toxinogène est possible ; la prévalence varie de 3,9 à 5,8%. Leur dépistage n’est néanmoins pas recommandé. La prise en charge de ces porteurs asymptomatiques n’est pas standardisée. Il semble prudent de les maintenir en chambre individuelle s’ils doivent bénéficier d’une antibiothérapie puisque la probabilité pour ces patients de développer une infection est particulièrement élevée. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Hygiènes > n° 1 [01/03/2024] . - p. 61-69[article] Diagnostic et prise en charge des diarrhées à Clostridioides difficile [Article] / Jean-Winoc Decousser, Auteur ; Jeanne Couturier, Auteur ; Sara Romano-Bertrand, Auteur ; et al., Auteur . - 2024 . - p. 61-69.
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Mots-clés : DIAGNOSTIC
DIARRHEE
INFECTION
PREVENTION
RISQUE SANITAIRERésumé : Les diarrhées à Clostridioides difficile (anciennement Clostridium difficile) sont des infections à la fois communautaires et associées aux soins. Elles se développent chez des patients ayant un microbiote digestif altéré, principalement par la prise d’antibiotiques. Dans ce contexte, seules les souches toxinogènes sont pathogènes. Contrairement à de nombreuses bactéries, le diagnostic des diarrhées à C. difficile n’est pas basé en première intention sur la culture. Plusieurs types de tests sont disponibles et organisés selon des algorithmes bien définis. En termes de prévention de la transmission, la prise en charge des patients diarrhéiques (c’est-à-dire présentant plus de 3 selles quotidiennes non moulées) et pour lesquels la recherche des toxines est positive par test antigénique ou par PCR ne pose pas de problème : les précautions complémentaires spécifiques C. difficile doivent être prescrites et mises en place. L’eau de Javel et les dérivés peroxygénés sporicides sont des désinfectants de surface de choix. Le traitement antibiotique n’est pas basé sur la réalisation d’un antibiogramme. Le suivi de la guérison est clinique : il ne faut pas réaliser de test microbiologique de contrôle. Chez les patients asymptomatiques, le portage de souche toxinogène est possible ; la prévalence varie de 3,9 à 5,8%. Leur dépistage n’est néanmoins pas recommandé. La prise en charge de ces porteurs asymptomatiques n’est pas standardisée. Il semble prudent de les maintenir en chambre individuelle s’ils doivent bénéficier d’une antibiothérapie puisque la probabilité pour ces patients de développer une infection est particulièrement élevée. Cote : Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique IFPS Fougères - Centre de documentation Disponible
