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Auteur Virginie Martin-Lavaud
Commentaire :
psy. clin.
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LE MONSTRE DANS LA VIE PSYCHIQUE DE L'ENFANT / Virginie Martin-Lavaud
Titre : LE MONSTRE DANS LA VIE PSYCHIQUE DE L'ENFANT Type de document : Ouvrage Auteurs : Virginie Martin-Lavaud, Auteur Editeur : Toulouse : Erès Année de publication : 2009 Importance : 234 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7492-1030-8 Prix : 23 € Mots-clés : ENFANT
PEUR
PSYCHISME
PSYCHOLOGIE CLINIQUE
TRANSFERTRésumé : Pourquoi les enfants parlent-ils de monstres ? A partir de situations cliniques, l'auteur interroge les fonctions que le monstre assume dans leur vie psychique. A la différence du loup, de la sorcière, voire de la bête, celui-là ne possède aucune forme préétablie, et pourtant il fait partie des images fréquemment utilisées par les enfants pour évoquer l'inquiétant. Le surgissement du monstre dans la clinique de l'enfant correspond-il à une plainte de ce dernier, à un moment où il vient dire qu'il ne comprend plus, qu'il est inquiet parce qu'il ne maîtrise plus ce qu'il voit ? Ou bien la présence du monstre témoigne-t-elle d'une mise en forme esthétique de la vie fantasmatique ? Lorsque les mots manquent à dire la réalité, le signifiant " monstre " n'est-il pas utilisé pour témoigner de l'étrangeté d'un vécu, pour figurer une radicale différence entre soi et l'autre ? L'expérience clinique de l'auteur suggère que c'est d'abord en tant qu'image vue mais non reconnue que les monstres assument une fonction de dévoilement d'un insu propre à la vie inconsciente Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id LE MONSTRE DANS LA VIE PSYCHIQUE DE L'ENFANT [Ouvrage] / Virginie Martin-Lavaud, Auteur . - Toulouse : Erès, 2009 . - 234 p.
ISBN : 978-2-7492-1030-8 : 23 €
Mots-clés : ENFANT
PEUR
PSYCHISME
PSYCHOLOGIE CLINIQUE
TRANSFERTRésumé : Pourquoi les enfants parlent-ils de monstres ? A partir de situations cliniques, l'auteur interroge les fonctions que le monstre assume dans leur vie psychique. A la différence du loup, de la sorcière, voire de la bête, celui-là ne possède aucune forme préétablie, et pourtant il fait partie des images fréquemment utilisées par les enfants pour évoquer l'inquiétant. Le surgissement du monstre dans la clinique de l'enfant correspond-il à une plainte de ce dernier, à un moment où il vient dire qu'il ne comprend plus, qu'il est inquiet parce qu'il ne maîtrise plus ce qu'il voit ? Ou bien la présence du monstre témoigne-t-elle d'une mise en forme esthétique de la vie fantasmatique ? Lorsque les mots manquent à dire la réalité, le signifiant " monstre " n'est-il pas utilisé pour témoigner de l'étrangeté d'un vécu, pour figurer une radicale différence entre soi et l'autre ? L'expérience clinique de l'auteur suggère que c'est d'abord en tant qu'image vue mais non reconnue que les monstres assument une fonction de dévoilement d'un insu propre à la vie inconsciente Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité 155.412 mar Ouvrage Espace de Ressources Formation-Recherche Disponible