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HS n°2 [Article] . - 2024 . - 128 p. Langues : Français (fre)
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Titre : Développer la pratique d’activités physiques et sportives d’enfants de milieux défavorisés : configurations et perspectives d’une approche ascendante faite d’interventions en contexte scolaire Type de document : Article Auteurs : Decorte, Élise, Auteur ; Jelen, Nathalie, Auteur ; Nuytens, Williams, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 15-28 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACTIVITE PHYSIQUE
DEVELOPPEMENT DE L'ENFANT
ECOLE PRIMAIRE
ENFANT
ENSEIGNANT
POPULATION DEFAVORISEE
PROMOTION DE LA SANTE
SANTE PUBLIQUERésumé : Objectif : Les enfants de milieux défavorisés, confrontés à des contextes familiaux et résidentiels peu favorables, participent moins aux activités physiques (AP). Ceci limite le développement de leurs compétences motrices et condition physique pourtant essentielles vers un mode de vie actif comme une confiance en leur capacité. Nous avons alors lancé un programme ciblant les enfants de 7 à 11 ans de quartiers prioritaires et scolarisés en REP+. Nous adoptons une approche ascendante pour répondre directement aux besoins des communautés défavorisées. Notre objectif est de comparer deux stratégies ciblées et adaptées visant à encourager un engagement durable dans les AP. Nous mesurons leur impact sur les dimensions physiques et psychologiques des enfants après les 12 premières semaines d’une intervention totale de 24 semaines.
Méthodes : Deux protocoles sont testés dans deux écoles. Le premier se concentre sur les cours d’éducation physique (EP) pour développer les compétences physiques et psychologiques. Le second ajoute des opportunités de pratique en dehors des cours d’EP. Nous utilisons un protocole niché (« embedded design ») avec des méthodes mixtes pour évaluer la condition physique, les habiletés motrices, la motivation, l’engagement et les attitudes, comparé à un groupe témoin suivant les programmes standards.
Résultats : Seules quelques améliorations des corrélats psychologiques de l’AP ont été observées, avec des progrès limités après 12 semaines. Ce bilan intermédiaire montre que les effets complets nécessitent plus de temps. Nous espérons des résultats plus visibles entre T0 et T2. Le prochain cycle, avec des activités extrascolaires et une implication familiale accrue, devrait générer des avancées significatives.Thème : Santé publique Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > HS n°2 [01/10/2024] . - p. 15-28[article] Développer la pratique d’activités physiques et sportives d’enfants de milieux défavorisés : configurations et perspectives d’une approche ascendante faite d’interventions en contexte scolaire [Article] / Decorte, Élise, Auteur ; Jelen, Nathalie, Auteur ; Nuytens, Williams, Auteur . - 2024 . - p. 15-28.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > HS n°2 [01/10/2024] . - p. 15-28
Mots-clés : ACTIVITE PHYSIQUE
DEVELOPPEMENT DE L'ENFANT
ECOLE PRIMAIRE
ENFANT
ENSEIGNANT
POPULATION DEFAVORISEE
PROMOTION DE LA SANTE
SANTE PUBLIQUERésumé : Objectif : Les enfants de milieux défavorisés, confrontés à des contextes familiaux et résidentiels peu favorables, participent moins aux activités physiques (AP). Ceci limite le développement de leurs compétences motrices et condition physique pourtant essentielles vers un mode de vie actif comme une confiance en leur capacité. Nous avons alors lancé un programme ciblant les enfants de 7 à 11 ans de quartiers prioritaires et scolarisés en REP+. Nous adoptons une approche ascendante pour répondre directement aux besoins des communautés défavorisées. Notre objectif est de comparer deux stratégies ciblées et adaptées visant à encourager un engagement durable dans les AP. Nous mesurons leur impact sur les dimensions physiques et psychologiques des enfants après les 12 premières semaines d’une intervention totale de 24 semaines.
Méthodes : Deux protocoles sont testés dans deux écoles. Le premier se concentre sur les cours d’éducation physique (EP) pour développer les compétences physiques et psychologiques. Le second ajoute des opportunités de pratique en dehors des cours d’EP. Nous utilisons un protocole niché (« embedded design ») avec des méthodes mixtes pour évaluer la condition physique, les habiletés motrices, la motivation, l’engagement et les attitudes, comparé à un groupe témoin suivant les programmes standards.
Résultats : Seules quelques améliorations des corrélats psychologiques de l’AP ont été observées, avec des progrès limités après 12 semaines. Ce bilan intermédiaire montre que les effets complets nécessitent plus de temps. Nous espérons des résultats plus visibles entre T0 et T2. Le prochain cycle, avec des activités extrascolaires et une implication familiale accrue, devrait générer des avancées significatives.Thème : Santé publique Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
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Titre : Réduire les inégalités d’accès des élèves aux activités de bien-être : propositions pour la formation des enseignants d’EPS au yoga Type de document : Article Auteurs : Dastugue, Laurent, Auteur ; Tribet, Hervé, Auteur ; Amathieu, Jérôme, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 29-33 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACCESSIBILITE
ACTIVITE PHYSIQUE
BIEN-ETRE
ENSEIGNANT EN ACTIVITE PHYSIQUE ADAPTEE ET SANTE
FORMATION
LYCEE
YOGARésumé : Alors que le yoga a été récemment introduit comme activité d’enseignement dans les programmes EPS au lycée, son enseignement reste rare et concerne uniquement quelques enseignants sensibilisés à cette activité. L’étude présentée a pour objectif d’examiner les expériences exploitées par ces enseignants d’EPS « pionniers » dans l’enseignement du yoga en EPS pour enseigner cette activité afin de proposer, sur la base des résultats, des pistes de formation. Menée à partir du cadre théorique de l’anthropologie culturaliste, l’étude interroge particulièrement le processus dit de « substratification » des expériences des enseignants d’EPS pour enseigner le yoga. Les résultats montrent que l’activité des enseignants est alimentée par diverses expériences (expérience de pratique personnelle du yoga, expérience d’enseignant d’EPS, expérience de formation à l’enseignement du yoga). Finalement, des propositions en termes de formation sont réalisées afin que les enseignants d’EPS puissent proposer cette activité à leurs élèves et ainsi favoriser l’accès de tous aux activités physiques de bien-être. Thème : Education Formation Pédagogie Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > HS n°2 [01/10/2024] . - p. 29-33[article] Réduire les inégalités d’accès des élèves aux activités de bien-être : propositions pour la formation des enseignants d’EPS au yoga [Article] / Dastugue, Laurent, Auteur ; Tribet, Hervé, Auteur ; Amathieu, Jérôme, Auteur ; et al., Auteur . - 2024 . - p. 29-33.
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Mots-clés : ACCESSIBILITE
ACTIVITE PHYSIQUE
BIEN-ETRE
ENSEIGNANT EN ACTIVITE PHYSIQUE ADAPTEE ET SANTE
FORMATION
LYCEE
YOGARésumé : Alors que le yoga a été récemment introduit comme activité d’enseignement dans les programmes EPS au lycée, son enseignement reste rare et concerne uniquement quelques enseignants sensibilisés à cette activité. L’étude présentée a pour objectif d’examiner les expériences exploitées par ces enseignants d’EPS « pionniers » dans l’enseignement du yoga en EPS pour enseigner cette activité afin de proposer, sur la base des résultats, des pistes de formation. Menée à partir du cadre théorique de l’anthropologie culturaliste, l’étude interroge particulièrement le processus dit de « substratification » des expériences des enseignants d’EPS pour enseigner le yoga. Les résultats montrent que l’activité des enseignants est alimentée par diverses expériences (expérience de pratique personnelle du yoga, expérience d’enseignant d’EPS, expérience de formation à l’enseignement du yoga). Finalement, des propositions en termes de formation sont réalisées afin que les enseignants d’EPS puissent proposer cette activité à leurs élèves et ainsi favoriser l’accès de tous aux activités physiques de bien-être. Thème : Education Formation Pédagogie Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
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Titre : Promouvoir l’activité physique des seniors précaires : retour d’expérience du projet « Pas d’âge pour bouger » Type de document : Article Auteurs : Rapin, Marjorie, Auteur ; Pionnier, Michel, Auteur ; Nezondet, Charlie, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 35-40 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACTIVITE PHYSIQUE
EXPERIENCE
INEGALITE SOCIALE
PRECARITE
SANTE PUBLIQUE
SENIORSRésumé : Introduction : Le vieillissement de la population française représente un défi majeur de santé publique, notamment avec les maladies chroniques constituant la principale cause d’incapacités chez les seniors. L’activité physique joue un rôle essentiel dans le bien-vieillir en prévenant ces maladies et en améliorant le bien-être. Toutefois, cette pratique diminue avec l’âge, notamment chez les personnes en situation de précarité.
But de l’étude : Dans ce contexte, le projet “Pas d’âge pour bouger” de la Mutualité Française Nouvelle-Aquitaine, dont voici un retour d’expérience, vise à promouvoir l’activité physique des seniors de plus de 60 ans, tout en luttant contre les inégalités sociales de santé. Déployé dans le quartier du Peyrouat, quartier prioritaire de la ville, à Mont-de-Marsan, ce projet comprend des ateliers d’activité physique adaptée et des séances de sensibilisation sur la santé.
Résultats : Une amélioration de la condition physique des bénéficiaires a été observée, bien que l’assiduité au programme ait diminué au fil du temps. Des entretiens motivationnels ont mis en évidence des freins comme les limitations physiques ou la peur de l’autre. À l’inverse, l’envie de prendre soin de soi ou de rompre l’isolement se révèle. L’approche communautaire et le lien social sont donc identifiés comme des leviers pour favoriser la participation.
Conclusions : Ce projet met en lumière les leviers et les freins dans la réduction des inégalités de participation et d’accès à l’activité physique chez les seniors. Il propose également des pistes de réflexion pour des politiques publiques plus pertinentes et inclusives.Thème : Personne âgée Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > HS n°2 [01/10/2024] . - p. 35-40[article] Promouvoir l’activité physique des seniors précaires : retour d’expérience du projet « Pas d’âge pour bouger » [Article] / Rapin, Marjorie, Auteur ; Pionnier, Michel, Auteur ; Nezondet, Charlie, Auteur . - 2024 . - p. 35-40.
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Mots-clés : ACTIVITE PHYSIQUE
EXPERIENCE
INEGALITE SOCIALE
PRECARITE
SANTE PUBLIQUE
SENIORSRésumé : Introduction : Le vieillissement de la population française représente un défi majeur de santé publique, notamment avec les maladies chroniques constituant la principale cause d’incapacités chez les seniors. L’activité physique joue un rôle essentiel dans le bien-vieillir en prévenant ces maladies et en améliorant le bien-être. Toutefois, cette pratique diminue avec l’âge, notamment chez les personnes en situation de précarité.
But de l’étude : Dans ce contexte, le projet “Pas d’âge pour bouger” de la Mutualité Française Nouvelle-Aquitaine, dont voici un retour d’expérience, vise à promouvoir l’activité physique des seniors de plus de 60 ans, tout en luttant contre les inégalités sociales de santé. Déployé dans le quartier du Peyrouat, quartier prioritaire de la ville, à Mont-de-Marsan, ce projet comprend des ateliers d’activité physique adaptée et des séances de sensibilisation sur la santé.
Résultats : Une amélioration de la condition physique des bénéficiaires a été observée, bien que l’assiduité au programme ait diminué au fil du temps. Des entretiens motivationnels ont mis en évidence des freins comme les limitations physiques ou la peur de l’autre. À l’inverse, l’envie de prendre soin de soi ou de rompre l’isolement se révèle. L’approche communautaire et le lien social sont donc identifiés comme des leviers pour favoriser la participation.
Conclusions : Ce projet met en lumière les leviers et les freins dans la réduction des inégalités de participation et d’accès à l’activité physique chez les seniors. Il propose également des pistes de réflexion pour des politiques publiques plus pertinentes et inclusives.Thème : Personne âgée Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
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Titre : Construction participative d’un plan intersectoriel pour l’alimentation et l’activité physique à des fins de santé. Le WALAPSanté, fruit d’une construction participative Type de document : Article Auteurs : Georgin, Estelle, Auteur ; Charlier, Nathan, Auteur ; Vandoorne, Chantal, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 41-47 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACTIVITE PHYSIQUE
ALIMENTATION
BELGIQUE
INEGALITE DE SANTE
PARTICIPATION
PLAN
PROMOTION DE LA SANTERésumé : Introduction : De 2016 à 2022, le Gouvernement wallon a impulsé une dynamique soutenable de prévention en santé à l’horizon 2030. Dès les travaux préparatoires du plan wallon Prévention et Promotion de la Santé, il ambitionnait d’influer sur la transition des environnements et des modes de vie, notamment en matière d’alimentation et d’activité physique. Il s’agissait donc d’identifier les leviers qui exercent une influence sur ces déterminants de la santé, dans une logique de « santé dans toutes les politiques » et de réduction des inégalités sociales de santé.
But de l’étude : Dans ce cadre, une mission d’expertise a été confiée à l’Université de Liège pour construire le WALAPSanté, plan pour l’alimentation et l’activité physique, en accordant une priorité à l’intégration intersectorielle, au croisement des expertises scientifiques et professionnelles, à l’émergence de pratiques inclusives concrètes à l’échelon local et supra-local. Cet article présente le processus de construction participatif et itératif du plan visant à intégrer les enjeux des parties prenantes dans la gestion du plan.
Résultats : L’implication de 160 acteurs de secteurs variés a fait émerger 48 objectifs opérationnels et 196 actions autour de quatre axes stratégiques : l’accessibilité des offres favorables, le soutien à l’innovation sociale, l’accessibilité à une information de qualité, et les modes de gouvernance du plan. L’appropriation de ce plan, finalisé en 2018, varie selon les enjeux des différentes parties prenantes.
Conclusions : La construction participative d’un tel plan est une condition de succès de son déploiement sur les territoires par des acteurs de différents secteurs. Son application se heurte au cloisonnement et à la temporalité des politiques publiques.Thème : Santé publique Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > HS n°2 [01/10/2024] . - p. 41-47[article] Construction participative d’un plan intersectoriel pour l’alimentation et l’activité physique à des fins de santé. Le WALAPSanté, fruit d’une construction participative [Article] / Georgin, Estelle, Auteur ; Charlier, Nathan, Auteur ; Vandoorne, Chantal, Auteur . - 2024 . - p. 41-47.
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in Santé publique > HS n°2 [01/10/2024] . - p. 41-47
Mots-clés : ACTIVITE PHYSIQUE
ALIMENTATION
BELGIQUE
INEGALITE DE SANTE
PARTICIPATION
PLAN
PROMOTION DE LA SANTERésumé : Introduction : De 2016 à 2022, le Gouvernement wallon a impulsé une dynamique soutenable de prévention en santé à l’horizon 2030. Dès les travaux préparatoires du plan wallon Prévention et Promotion de la Santé, il ambitionnait d’influer sur la transition des environnements et des modes de vie, notamment en matière d’alimentation et d’activité physique. Il s’agissait donc d’identifier les leviers qui exercent une influence sur ces déterminants de la santé, dans une logique de « santé dans toutes les politiques » et de réduction des inégalités sociales de santé.
But de l’étude : Dans ce cadre, une mission d’expertise a été confiée à l’Université de Liège pour construire le WALAPSanté, plan pour l’alimentation et l’activité physique, en accordant une priorité à l’intégration intersectorielle, au croisement des expertises scientifiques et professionnelles, à l’émergence de pratiques inclusives concrètes à l’échelon local et supra-local. Cet article présente le processus de construction participatif et itératif du plan visant à intégrer les enjeux des parties prenantes dans la gestion du plan.
Résultats : L’implication de 160 acteurs de secteurs variés a fait émerger 48 objectifs opérationnels et 196 actions autour de quatre axes stratégiques : l’accessibilité des offres favorables, le soutien à l’innovation sociale, l’accessibilité à une information de qualité, et les modes de gouvernance du plan. L’appropriation de ce plan, finalisé en 2018, varie selon les enjeux des différentes parties prenantes.
Conclusions : La construction participative d’un tel plan est une condition de succès de son déploiement sur les territoires par des acteurs de différents secteurs. Son application se heurte au cloisonnement et à la temporalité des politiques publiques.Thème : Santé publique Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
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Titre : Les bénéfices sanitaires du vélo dans la stratégie française de neutralité carbone Type de document : Article Auteurs : Moutet, Léo, Auteur ; Bigo, Aurélien, Auteur ; Quirion, Philippe, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 49-54 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACTIVITE PHYSIQUE
DIOXYDE DE CARBONE
ENVIRONNEMENT
POLITIQUE DE SANTE
SANTE
SANTE PUBLIQUERésumé : Introduction : Les politiques publiques visant la neutralité carbone présentent des co-bénéfices au-delà du climat, en particulier dans le domaine de la santé publique. Dans le secteur des transports, la décarbonation passe notamment par le report de modes de transports carbonés vers le vélo. L’activité physique alors générée par les déplacements à vélo dans les prochaines années pourrait dès lors induire d’importants bénéfices sanitaires et économiques.
But de l’étude : Une évaluation d’impacts sanitaire est menée afin de quantifier les bénéfices associés à la pratique du vélo en France en 2030, selon les projections de la stratégie nationale bas-carbone. Ces estimations ont été comparées à deux scénarios où les pratiques des Français correspondent à celles observées dans d’autres pays européens, le Danemark (2011-2013) et les Pays-Bas (2020).
Résultats : En 2030 selon le scénario de la Stratégie Nationale Bas-Carbone (SNBC), les bénéfices sanitaires potentiels liés à la pratique du vélo permettraient d’éviter environ 5 000 décès [IC à 95 % = 3 010 ; 6 521] supplémentaires par rapport à 2019. Ces impacts peuvent doubler à quadrupler si les Français atteignent les pratiques de leurs homologues Danois et Néerlandais, compensant ainsi les pertes macroéconomiques associées aux politiques climatiques.
Conclusions : L’évolution de nos modes de vie vers une diminution des émissions de gaz à effet de serre est une opportunité pour améliorer la santé humaine et illustre la convergence des enjeux climat et santé.Thème : Santé publique Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > HS n°2 [01/10/2024] . - p. 49-54[article] Les bénéfices sanitaires du vélo dans la stratégie française de neutralité carbone [Article] / Moutet, Léo, Auteur ; Bigo, Aurélien, Auteur ; Quirion, Philippe, Auteur ; et al., Auteur . - 2024 . - p. 49-54.
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in Santé publique > HS n°2 [01/10/2024] . - p. 49-54
Mots-clés : ACTIVITE PHYSIQUE
DIOXYDE DE CARBONE
ENVIRONNEMENT
POLITIQUE DE SANTE
SANTE
SANTE PUBLIQUERésumé : Introduction : Les politiques publiques visant la neutralité carbone présentent des co-bénéfices au-delà du climat, en particulier dans le domaine de la santé publique. Dans le secteur des transports, la décarbonation passe notamment par le report de modes de transports carbonés vers le vélo. L’activité physique alors générée par les déplacements à vélo dans les prochaines années pourrait dès lors induire d’importants bénéfices sanitaires et économiques.
But de l’étude : Une évaluation d’impacts sanitaire est menée afin de quantifier les bénéfices associés à la pratique du vélo en France en 2030, selon les projections de la stratégie nationale bas-carbone. Ces estimations ont été comparées à deux scénarios où les pratiques des Français correspondent à celles observées dans d’autres pays européens, le Danemark (2011-2013) et les Pays-Bas (2020).
Résultats : En 2030 selon le scénario de la Stratégie Nationale Bas-Carbone (SNBC), les bénéfices sanitaires potentiels liés à la pratique du vélo permettraient d’éviter environ 5 000 décès [IC à 95 % = 3 010 ; 6 521] supplémentaires par rapport à 2019. Ces impacts peuvent doubler à quadrupler si les Français atteignent les pratiques de leurs homologues Danois et Néerlandais, compensant ainsi les pertes macroéconomiques associées aux politiques climatiques.
Conclusions : L’évolution de nos modes de vie vers une diminution des émissions de gaz à effet de serre est une opportunité pour améliorer la santé humaine et illustre la convergence des enjeux climat et santé.Thème : Santé publique Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
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Titre : L’héritage des jeux au prisme des dispositifs scolaires de mise à l’activité physique : les difficiles liens entre sport et école Type de document : Article Auteurs : Cécile Collinet, Auteur ; Raingeaud, Fanny, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 55-59 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACTIVITE PHYSIQUE
ADOLESCENT
ASSOCIATION
COLLEGE
ECOLE
ENFANT
PRATIQUERésumé : L’inactivité physique et la sédentarité sont pointées du doigt comme des fléaux touchant particulièrement la jeunesse. La perspective des jeux olympiques et paralympiques (JOP) et la définition de la stratégie nationale sport-santé ont mis au cœur du projet d’héritage l’augmentation de la pratique physique et sportive des jeunes. Plusieurs dispositifs sont mis en place dans le système scolaire dans cette perspective. Notre article porte sur trois d’entre eux : le label Génération 2024 (G2024), les 30 minutes d’activité physique quotidienne (30APQ) et les 2 heures en plus de sport au collège (2HSC). L’article se fonde sur des travaux réalisés dans le cadre de plusieurs enquêtes mobilisant un matériau divers : documentation et entretiens principalement. Nous montrons que ces dispositifs sont fondés, entre autres, sur un rapprochement des différents niveaux scolaires avec le monde sportif mais que celui-ci reste difficile. Ainsi, la question de l’héritage en termes d’augmentation de la pratique sportive des jeunes se pose. Thème : Santé publique Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > HS n°2 [01/10/2024] . - p. 55-59[article] L’héritage des jeux au prisme des dispositifs scolaires de mise à l’activité physique : les difficiles liens entre sport et école [Article] / Cécile Collinet, Auteur ; Raingeaud, Fanny, Auteur . - 2024 . - p. 55-59.
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Mots-clés : ACTIVITE PHYSIQUE
ADOLESCENT
ASSOCIATION
COLLEGE
ECOLE
ENFANT
PRATIQUERésumé : L’inactivité physique et la sédentarité sont pointées du doigt comme des fléaux touchant particulièrement la jeunesse. La perspective des jeux olympiques et paralympiques (JOP) et la définition de la stratégie nationale sport-santé ont mis au cœur du projet d’héritage l’augmentation de la pratique physique et sportive des jeunes. Plusieurs dispositifs sont mis en place dans le système scolaire dans cette perspective. Notre article porte sur trois d’entre eux : le label Génération 2024 (G2024), les 30 minutes d’activité physique quotidienne (30APQ) et les 2 heures en plus de sport au collège (2HSC). L’article se fonde sur des travaux réalisés dans le cadre de plusieurs enquêtes mobilisant un matériau divers : documentation et entretiens principalement. Nous montrons que ces dispositifs sont fondés, entre autres, sur un rapprochement des différents niveaux scolaires avec le monde sportif mais que celui-ci reste difficile. Ainsi, la question de l’héritage en termes d’augmentation de la pratique sportive des jeunes se pose. Thème : Santé publique Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
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Titre : Représentations des actions de promotion de l’activité physique chez les acteurs d’un territoire Type de document : Article Auteurs : Myotte, Corentin, Auteur ; Lionel Pazart, Auteur ; Mourot, Laurent, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 61-69 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACTIVITE PHYSIQUE
ADOLESCENT
DISPARITE REGIONALE
ENFANT
MILIEU RURAL
PROFESSION DE SANTE
SANTE PUBLIQUE
TERRITOIRERésumé : Contexte : Les données scientifiques montrent un impact fort de l’activité physique sur la santé et le bien-être. Afin de développer des actions de promotion de l’activité physique à l’échelle locale, les représentations des différents acteurs doivent être prises en compte. Cette étude avait pour but de recueillir le point de vue des acteurs du territoire de la communauté professionnelle territoriale de santé (CPTS) du Haut-Doubs Forestier, pour définir les caractéristiques d’une stratégie de promotion communautaire.
Méthodologie : Des entretiens semi-directifs ont été réalisés entre mars et juin 2022 auprès d’un échantillon de quinze acteurs de terrain (médecins, professionnels de l’activité physique, citoyens, parties prenantes de la promotion de l’activité physique) habitant ou exerçant sur ce territoire. Les données ont été traitées en suivant une analyse inductive générale.
Résultats : L’étude a permis de faire un état de lieux en identifiant des points forts et des limites pour la promotion de l’activité physique sur le territoire de la CPTS. Une majorité des participants ont identifié comme public prioritaire à cibler, les enfants et les adolescents. Les zones rurales apparaissent comme moins pourvues au regard de l’offre. Ainsi, des disparités territoriales mais aussi des inégalités dans l’accès et la pratique sont mises en évidence.
Conclusions : La promotion de l’activité physique chez les enfants et les adolescents est un enjeu prégnant de santé publique sur le territoire. La littérature préconise de mener des actions dans une approche socio-écologique afin d’encourager et de faciliter la pratique d’activité physique chez les jeunes. Les actions de promotion doivent s’adapter à l’existant territorial et aux attentes de la population. Avant d’engager des interventions en ce sens, il convient maintenant de réaliser une étude quantitative pour valider l’hypothèse de ce public prioritaire.Thème : Santé publique Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > HS n°2 [01/10/2024] . - p. 61-69[article] Représentations des actions de promotion de l’activité physique chez les acteurs d’un territoire [Article] / Myotte, Corentin, Auteur ; Lionel Pazart, Auteur ; Mourot, Laurent, Auteur ; et al., Auteur . - 2024 . - p. 61-69.
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Mots-clés : ACTIVITE PHYSIQUE
ADOLESCENT
DISPARITE REGIONALE
ENFANT
MILIEU RURAL
PROFESSION DE SANTE
SANTE PUBLIQUE
TERRITOIRERésumé : Contexte : Les données scientifiques montrent un impact fort de l’activité physique sur la santé et le bien-être. Afin de développer des actions de promotion de l’activité physique à l’échelle locale, les représentations des différents acteurs doivent être prises en compte. Cette étude avait pour but de recueillir le point de vue des acteurs du territoire de la communauté professionnelle territoriale de santé (CPTS) du Haut-Doubs Forestier, pour définir les caractéristiques d’une stratégie de promotion communautaire.
Méthodologie : Des entretiens semi-directifs ont été réalisés entre mars et juin 2022 auprès d’un échantillon de quinze acteurs de terrain (médecins, professionnels de l’activité physique, citoyens, parties prenantes de la promotion de l’activité physique) habitant ou exerçant sur ce territoire. Les données ont été traitées en suivant une analyse inductive générale.
Résultats : L’étude a permis de faire un état de lieux en identifiant des points forts et des limites pour la promotion de l’activité physique sur le territoire de la CPTS. Une majorité des participants ont identifié comme public prioritaire à cibler, les enfants et les adolescents. Les zones rurales apparaissent comme moins pourvues au regard de l’offre. Ainsi, des disparités territoriales mais aussi des inégalités dans l’accès et la pratique sont mises en évidence.
Conclusions : La promotion de l’activité physique chez les enfants et les adolescents est un enjeu prégnant de santé publique sur le territoire. La littérature préconise de mener des actions dans une approche socio-écologique afin d’encourager et de faciliter la pratique d’activité physique chez les jeunes. Les actions de promotion doivent s’adapter à l’existant territorial et aux attentes de la population. Avant d’engager des interventions en ce sens, il convient maintenant de réaliser une étude quantitative pour valider l’hypothèse de ce public prioritaire.Thème : Santé publique Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Exclu du prêt
Titre : Encourager la pratique de l’activité physique chez les enfants du Pacifique, un moyen efficace pour prévenir l’obésité infantile ? Étude pilote en milieu scolaire sur le territoire des îles de Wallis-et-Futuna Type de document : Article Auteurs : Bertrand-Protat, Solène, Auteur ; Frayon, Stéphane, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 71-81 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACTIVITE PHYSIQUE
ALIMENTATION
CULTURE
ECOLE PRIMAIRE
ENFANT
OBESITE
REPRESENTATION SOCIALE
TERRITOIRE
WALLIS ET FUTUNARésumé : Introduction : L’activité physique est reconnue comme un élément clef pour lutter contre l’obésité infantile. Le territoire des îles de Wallis-et-Futuna, situé dans la région Pacifique, est particulièrement touché par cette problématique de santé publique et de nombreuses actions ont été menées ces dernières années pour encourager la pratique de l’activité physique par les enfants.
But de l’étude : L’étude Move Ô a pour but d’évaluer objectivement le niveau d’activité physique des enfants de 10 ans de ce territoire d’outre-mer et d’identifier les facteurs susceptibles d’influencer la pratique de l’activité physique ainsi que les éventuels liens avec le statut pondéral.
Méthode : 32 élèves wallisiens âgés de 9 à 11 ans ont été pesés et mesurés, ont rempli un questionnaire sur leur mode de vie et ont porté un accéléromètre au poignet pendant une semaine. Les parents et les directeurs d’écoles ont également complété un questionnaire pour fournir des informations sur l’environnement dans lequel l’enfant évolue et les enseignants ont répondu à des questions via un entretien semi-directif concernant la santé et l’activité physique.
Résultats : 84 % des enfants atteignent les recommandations de l’Organisation mondiale de la santé qui encourage la pratique de plus de 60 min d’activité physique modérée ou vigoureuse chaque jour. Cependant, ils sont également plus de 55 % à être en surpoids ou obèses.
Conclusions : Étant donné le niveau élevé de pratique d’activité physique des enfants, la politique territoriale en faveur d’une vie active mise en place à Wallis-et-Futuna semble efficace. Cependant, l’activité physique à elle seule ne suffit pas à prévenir l’obésité infantile et d’autres facteurs, tels que l’alimentation et ses représentations socio-culturelles, doivent être étudiés et pris en compte par les politiques territoriales pour améliorer l’état de santé des enfants de cette île du Pacifique.Thème : Santé publique Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > HS n°2 [01/10/2024] . - p. 71-81[article] Encourager la pratique de l’activité physique chez les enfants du Pacifique, un moyen efficace pour prévenir l’obésité infantile ? Étude pilote en milieu scolaire sur le territoire des îles de Wallis-et-Futuna [Article] / Bertrand-Protat, Solène, Auteur ; Frayon, Stéphane, Auteur ; et al., Auteur . - 2024 . - p. 71-81.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > HS n°2 [01/10/2024] . - p. 71-81
Mots-clés : ACTIVITE PHYSIQUE
ALIMENTATION
CULTURE
ECOLE PRIMAIRE
ENFANT
OBESITE
REPRESENTATION SOCIALE
TERRITOIRE
WALLIS ET FUTUNARésumé : Introduction : L’activité physique est reconnue comme un élément clef pour lutter contre l’obésité infantile. Le territoire des îles de Wallis-et-Futuna, situé dans la région Pacifique, est particulièrement touché par cette problématique de santé publique et de nombreuses actions ont été menées ces dernières années pour encourager la pratique de l’activité physique par les enfants.
But de l’étude : L’étude Move Ô a pour but d’évaluer objectivement le niveau d’activité physique des enfants de 10 ans de ce territoire d’outre-mer et d’identifier les facteurs susceptibles d’influencer la pratique de l’activité physique ainsi que les éventuels liens avec le statut pondéral.
Méthode : 32 élèves wallisiens âgés de 9 à 11 ans ont été pesés et mesurés, ont rempli un questionnaire sur leur mode de vie et ont porté un accéléromètre au poignet pendant une semaine. Les parents et les directeurs d’écoles ont également complété un questionnaire pour fournir des informations sur l’environnement dans lequel l’enfant évolue et les enseignants ont répondu à des questions via un entretien semi-directif concernant la santé et l’activité physique.
Résultats : 84 % des enfants atteignent les recommandations de l’Organisation mondiale de la santé qui encourage la pratique de plus de 60 min d’activité physique modérée ou vigoureuse chaque jour. Cependant, ils sont également plus de 55 % à être en surpoids ou obèses.
Conclusions : Étant donné le niveau élevé de pratique d’activité physique des enfants, la politique territoriale en faveur d’une vie active mise en place à Wallis-et-Futuna semble efficace. Cependant, l’activité physique à elle seule ne suffit pas à prévenir l’obésité infantile et d’autres facteurs, tels que l’alimentation et ses représentations socio-culturelles, doivent être étudiés et pris en compte par les politiques territoriales pour améliorer l’état de santé des enfants de cette île du Pacifique.Thème : Santé publique Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
Cote Support Localisation Disponibilité . Périodique Espace de Ressources Formation-Recherche Exclu du prêt
Titre : Des Maisons Sport-Santé dans les quartiers populaires pour réduire les inégalités sociales de santé : réussites et incertitudes de l’expérience parisienne Type de document : Article Auteurs : Boux, Anne-Claire, Auteur ; cellier, Yolaine, Auteur ; Deramchi, Salima, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 83-87 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACTIVITE PHYSIQUE
EFFICACITE
INEGALITE DE SANTE
NUTRITION
PARIS
POPULATION
PROMOTION DE LA SANTE
RESEAU
SANTE PUBLIQUERésumé : À partir de l’expérience de développement par la Ville de Paris du réseau des Maisons Sport-Santé dans les quartiers populaires, l’article montre l’importance d’un tel dispositif pour réduire les inégalités sociales de santé : les populations concernées connaissent les recommandations de santé publique en matière d’activité physique ou de nutrition mais sont confrontées à des obstacles matériels, pratiques et symboliques ; en s’adaptant à leurs besoins, les Maisons Sport-Santé leur donnent les moyens concrets d’adopter des habitudes de vie favorables à la santé. Pour assurer la pérennité de ce modèle à l’échelle nationale, il est indispensable d’en évaluer l’efficacité et, de la part de l’État, d’apporter un cadre de financement lisible et pérenne. Thème : Santé publique Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > HS n°2 [01/10/2024] . - p. 83-87[article] Des Maisons Sport-Santé dans les quartiers populaires pour réduire les inégalités sociales de santé : réussites et incertitudes de l’expérience parisienne [Article] / Boux, Anne-Claire, Auteur ; cellier, Yolaine, Auteur ; Deramchi, Salima, Auteur ; et al., Auteur . - 2024 . - p. 83-87.
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Mots-clés : ACTIVITE PHYSIQUE
EFFICACITE
INEGALITE DE SANTE
NUTRITION
PARIS
POPULATION
PROMOTION DE LA SANTE
RESEAU
SANTE PUBLIQUERésumé : À partir de l’expérience de développement par la Ville de Paris du réseau des Maisons Sport-Santé dans les quartiers populaires, l’article montre l’importance d’un tel dispositif pour réduire les inégalités sociales de santé : les populations concernées connaissent les recommandations de santé publique en matière d’activité physique ou de nutrition mais sont confrontées à des obstacles matériels, pratiques et symboliques ; en s’adaptant à leurs besoins, les Maisons Sport-Santé leur donnent les moyens concrets d’adopter des habitudes de vie favorables à la santé. Pour assurer la pérennité de ce modèle à l’échelle nationale, il est indispensable d’en évaluer l’efficacité et, de la part de l’État, d’apporter un cadre de financement lisible et pérenne. Thème : Santé publique Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
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Titre : Interventions numériques et promotion de l’activité physique : une revue narrative Type de document : Article Auteurs : Rascle, Olivier, Auteur ; Le Foll, David, Auteur ; Moyon, Lisa, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 89-96 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACTIVITE MEDICALE
APPLICATION
MALADIE CHRONIQUE
MONDE
MORT
OUTIL NUMERIQUE
POPULATION
POPULATION DEFAVORISEE
REVUE DE LITTERATURE
SANTERésumé : L’inactivité physique, qui concerne plus d’un quart de la population mondiale, est reconnue comme un facteur majeur d’incidence de maladies chroniques et de mortalité prématurée. Face à cette pandémie, le développement d’interventions favorisant l’adoption et le maintien d’un mode de vie actif est devenu une préoccupation majeure de santé publique. L’objectif de cette revue narrative est de proposer un état des lieux de la littérature existante sur les bénéfices des interventions utilisant les technologies numériques comme catalyseurs pour encourager l’adoption de modes de vie physiquement actifs, tout en identifiant les points de vigilance qui accompagnent leur déploiement. Les études montrent un effet modéré mais positif de ces interventions sur le niveau d’activité physique. Toutefois, si ces dernières se révèlent bénéfiques pour une majorité de personnes, indépendamment de l’âge, de l’état de santé ou de l’outil numérique mobilisé, les effets s’atténuent avec le temps et leur efficacité n’est pas avérée pour les individus ayant un statut socio-économique faible. Pour résoudre les problèmes d’équité en matière de santé, les recherches futures devraient se concentrer sur l’identification des outils numériques et des techniques de changements de comportements les plus adaptés à des populations spécifiques. Au regard de cet objectif, l’intégration des connaissances scientifiques et des modèles théoriques dans les outils et interventions numériques élaborés pour promouvoir l’activité physique reste insuffisante. Thème : Santé publique Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
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Langues : Français (fre)
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Mots-clés : ACTIVITE MEDICALE
APPLICATION
MALADIE CHRONIQUE
MONDE
MORT
OUTIL NUMERIQUE
POPULATION
POPULATION DEFAVORISEE
REVUE DE LITTERATURE
SANTERésumé : L’inactivité physique, qui concerne plus d’un quart de la population mondiale, est reconnue comme un facteur majeur d’incidence de maladies chroniques et de mortalité prématurée. Face à cette pandémie, le développement d’interventions favorisant l’adoption et le maintien d’un mode de vie actif est devenu une préoccupation majeure de santé publique. L’objectif de cette revue narrative est de proposer un état des lieux de la littérature existante sur les bénéfices des interventions utilisant les technologies numériques comme catalyseurs pour encourager l’adoption de modes de vie physiquement actifs, tout en identifiant les points de vigilance qui accompagnent leur déploiement. Les études montrent un effet modéré mais positif de ces interventions sur le niveau d’activité physique. Toutefois, si ces dernières se révèlent bénéfiques pour une majorité de personnes, indépendamment de l’âge, de l’état de santé ou de l’outil numérique mobilisé, les effets s’atténuent avec le temps et leur efficacité n’est pas avérée pour les individus ayant un statut socio-économique faible. Pour résoudre les problèmes d’équité en matière de santé, les recherches futures devraient se concentrer sur l’identification des outils numériques et des techniques de changements de comportements les plus adaptés à des populations spécifiques. Au regard de cet objectif, l’intégration des connaissances scientifiques et des modèles théoriques dans les outils et interventions numériques élaborés pour promouvoir l’activité physique reste insuffisante. Thème : Santé publique Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
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Titre : Promouvoir la pratique d’activité physique par le numérique : limites du déploiement d’une application pour le suivi de l’obésité pédiatrique Type de document : Article Auteurs : Azéma, Delphine, Auteur ; Morales, Yves, Auteur ; Philippe Terral, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 97-105 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACTIVITE PHYSIQUE
ADOLESCENT
APPLICATION
ENFANT
INEGALITE DE SANTE
OBESITE
PREVENTION
PRISE EN CHARGE
RESEAU
SANTE PUBLIQUE
TECHNOLOGIES DE L'INFORMATION ET DE LA COMMUNICATIONRésumé : Introduction : L’article étudie le déploiement d’une application mobile visant à favoriser la pratique d’activité physique des enfants en situation d’obésité, développée par le RéPPOP (Réseau de Prévention et de Prise en charge de l’Obésité Pédiatrique).
But de l’étude : Il s’agit de mettre au jour les difficultés liées à la mise en œuvre de cette application, au travers d’une enquête sociologique qualitative. Celle-ci permet de comprendre comment les soignants concepteurs et des professionnels de l’activité physique testeurs de l’application perçoivent l’application et ses effets.
Résultats : Les difficultés rencontrées dans la mise en œuvre de l’application mettent en lumière la complexité du recours à un outil numérique, conçu comme une solution à la complexité du suivi en activité physique. Les conceptions des professionnels sur l’obésité pédiatrique et sa prise en charge conditionnent leur engagement dans leur rôle de testeur et leurs interrogations quant aux conditions de l’utilisation de cette application par les enfants.
Conclusions : Les professionnels testeurs se saisissent peu de l’application, notamment puisqu’ils interrogent son adéquation par rapport aux conditions d’existence des enfants et de leurs familles. L’article permet ainsi de saisir le risque de reproduction d’inégalités sociales de santé, au regard des inégalités numériques ; tout en considérant la vigilance des professionnels sur ces aspects.Thème : Santé publique Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > HS n°2 [01/10/2024] . - p. 97-105[article] Promouvoir la pratique d’activité physique par le numérique : limites du déploiement d’une application pour le suivi de l’obésité pédiatrique [Article] / Azéma, Delphine, Auteur ; Morales, Yves, Auteur ; Philippe Terral, Auteur . - 2024 . - p. 97-105.
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in Santé publique > HS n°2 [01/10/2024] . - p. 97-105
Mots-clés : ACTIVITE PHYSIQUE
ADOLESCENT
APPLICATION
ENFANT
INEGALITE DE SANTE
OBESITE
PREVENTION
PRISE EN CHARGE
RESEAU
SANTE PUBLIQUE
TECHNOLOGIES DE L'INFORMATION ET DE LA COMMUNICATIONRésumé : Introduction : L’article étudie le déploiement d’une application mobile visant à favoriser la pratique d’activité physique des enfants en situation d’obésité, développée par le RéPPOP (Réseau de Prévention et de Prise en charge de l’Obésité Pédiatrique).
But de l’étude : Il s’agit de mettre au jour les difficultés liées à la mise en œuvre de cette application, au travers d’une enquête sociologique qualitative. Celle-ci permet de comprendre comment les soignants concepteurs et des professionnels de l’activité physique testeurs de l’application perçoivent l’application et ses effets.
Résultats : Les difficultés rencontrées dans la mise en œuvre de l’application mettent en lumière la complexité du recours à un outil numérique, conçu comme une solution à la complexité du suivi en activité physique. Les conceptions des professionnels sur l’obésité pédiatrique et sa prise en charge conditionnent leur engagement dans leur rôle de testeur et leurs interrogations quant aux conditions de l’utilisation de cette application par les enfants.
Conclusions : Les professionnels testeurs se saisissent peu de l’application, notamment puisqu’ils interrogent son adéquation par rapport aux conditions d’existence des enfants et de leurs familles. L’article permet ainsi de saisir le risque de reproduction d’inégalités sociales de santé, au regard des inégalités numériques ; tout en considérant la vigilance des professionnels sur ces aspects.Thème : Santé publique Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
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Titre : APA et e-santé, une alliance originale et efficace pour transformer les comportements santé des patients en ALD Type de document : Article Auteurs : Sit, Guillaume, Auteur ; Riehi, Rihab, Auteur ; Ballouk, Souhad, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 107-116 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACTIVITE PHYSIQUE
AFFECTION DE LONGUE DUREE
PLURIPROFESSIONNALITE
PRESCRIPTION MEDICALE
PREVENTION
PRISE EN CHARGE
TECHNOLOGIES DE L'INFORMATION ET DE LA COMMUNICATIONRésumé : Introduction : L’activité physique adaptée (APA) a un impact reconnu sur la réduction de complications chez des sujets malades chroniques ou fragiles. Depuis 2021, le dispositif Vivoptim propose aux patients en affection de longue durée (ALD) une prise en charge d’un an incluant des services digitaux, des entretiens avec une équipe de professionnels de la santé pluridisciplinaire et un programme d’APA remboursé. Notre objectif est de montrer l’impact positif de ce dispositif sur les comportements santé et l’augmentation de l’activité physique des patients en ALD.
Méthodes : 130 sujets (femmes : 84 %, âge moyen : 62 ans) avaient réalisé un bilan de condition physique (BCP) à l’inclusion et ont été accompagnés un an. L’activité physique, le stress, la qualité du sommeil, le poids étaient évalués par questionnaire. La fragilité était estimée avec les tests du BCP. Les résultats observés étaient comparés avec les tests de McNemar et de Student.
Résultats : Après un an, nous observions chez des patients en majorité fragiles (57 %), des augmentations des proportions de sujets ayant une activité physique modérée plus de 2h30/semaine (85 % vs 60 %, p Conclusions : Le dispositif phygital Vivoptim, a démontré son efficacité pour augmenter l’activité physique, améliorer les comportements de santé chez les patients en ALD. La prescription de l’APA, incluant systématiquement des BCP standardisés en début et fin de pratique APA est essentielle.Thème : Santé publique Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > HS n°2 [01/10/2024] . - p. 107-116[article] APA et e-santé, une alliance originale et efficace pour transformer les comportements santé des patients en ALD [Article] / Sit, Guillaume, Auteur ; Riehi, Rihab, Auteur ; Ballouk, Souhad, Auteur ; et al., Auteur . - 2024 . - p. 107-116.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > HS n°2 [01/10/2024] . - p. 107-116
Mots-clés : ACTIVITE PHYSIQUE
AFFECTION DE LONGUE DUREE
PLURIPROFESSIONNALITE
PRESCRIPTION MEDICALE
PREVENTION
PRISE EN CHARGE
TECHNOLOGIES DE L'INFORMATION ET DE LA COMMUNICATIONRésumé : Introduction : L’activité physique adaptée (APA) a un impact reconnu sur la réduction de complications chez des sujets malades chroniques ou fragiles. Depuis 2021, le dispositif Vivoptim propose aux patients en affection de longue durée (ALD) une prise en charge d’un an incluant des services digitaux, des entretiens avec une équipe de professionnels de la santé pluridisciplinaire et un programme d’APA remboursé. Notre objectif est de montrer l’impact positif de ce dispositif sur les comportements santé et l’augmentation de l’activité physique des patients en ALD.
Méthodes : 130 sujets (femmes : 84 %, âge moyen : 62 ans) avaient réalisé un bilan de condition physique (BCP) à l’inclusion et ont été accompagnés un an. L’activité physique, le stress, la qualité du sommeil, le poids étaient évalués par questionnaire. La fragilité était estimée avec les tests du BCP. Les résultats observés étaient comparés avec les tests de McNemar et de Student.
Résultats : Après un an, nous observions chez des patients en majorité fragiles (57 %), des augmentations des proportions de sujets ayant une activité physique modérée plus de 2h30/semaine (85 % vs 60 %, p Conclusions : Le dispositif phygital Vivoptim, a démontré son efficacité pour augmenter l’activité physique, améliorer les comportements de santé chez les patients en ALD. La prescription de l’APA, incluant systématiquement des BCP standardisés en début et fin de pratique APA est essentielle.Thème : Santé publique Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
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Titre : Utilité perçue de l’exergaming pour favoriser l’activité physique à l’école : étude pilote auprès des enseignants Type de document : Article Auteurs : Eugénie Vaillant-Coindard, Auteur ; Goncalves, Aurélie, Auteur ; Lespiau, Florence, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 117-128 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACTIVITE PHYSIQUE
ECOLE PRIMAIRE
ENFANT
ENSEIGNEMENT
JEU VIDEORésumé : Introduction : chez les enfants, les effets bénéfiques d’une activité physique régulière sur la santé sont bien connus, tout comme les effets néfastes de l’inactivité et de la sédentarité. Par conséquent, depuis septembre 2022, les écoles primaires françaises sont dans l’obligation de proposer 30 minutes d’activité physique quotidienne à leurs élèves. Cependant, cette mesure se confronte à de nombreuses contraintes et peu d’écoles parviennent à respecter cette obligation. Pour faciliter l’implémentation de cette mesure, les exergames, ou jeux vidéo actifs, peuvent constituer un levier prometteur pour inscrire les activités physiques sur les temps scolaires.
But de l’étude : l’objectif de cette étude est d’évaluer les effets perçus par les enseignants d’une intervention basée sur de l’exergaming, conduite auprès d’élèves de classes allant du CP au CM2, à raison d’une session de 30 minutes par jour, pendant 4 semaines. Pour cela, des entretiens semi-dirigés ont été réalisés avec les enseignants de chaque classe après l’intervention.
Résultats : l’analyse de nos entretiens montre une augmentation perçue, en comparaison à avant l’intervention, de la motivation de leurs élèves pour les matières ciblées par l’intervention, d’un maintien d’un haut niveau de motivation pour l’activité physique, et d’une amélioration des relations entre les élèves.
Conclusions : notre étude amène à considérer l’exergaming comme pouvant être un moyen efficace pour faciliter l’implémentation des 30 minutes d’activité physique quotidienne dans les écoles, mais aussi pour promouvoir la motivation et un meilleur climat relationnel. Par conséquent, ces résultats incitent à généraliser l’utilisation de ce type de dispositif.Thème : Education Formation Pédagogie Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id
in Santé publique > HS n°2 [01/10/2024] . - p. 117-128[article] Utilité perçue de l’exergaming pour favoriser l’activité physique à l’école : étude pilote auprès des enseignants [Article] / Eugénie Vaillant-Coindard, Auteur ; Goncalves, Aurélie, Auteur ; Lespiau, Florence, Auteur ; et al., Auteur . - 2024 . - p. 117-128.
Langues : Français (fre)
in Santé publique > HS n°2 [01/10/2024] . - p. 117-128
Mots-clés : ACTIVITE PHYSIQUE
ECOLE PRIMAIRE
ENFANT
ENSEIGNEMENT
JEU VIDEORésumé : Introduction : chez les enfants, les effets bénéfiques d’une activité physique régulière sur la santé sont bien connus, tout comme les effets néfastes de l’inactivité et de la sédentarité. Par conséquent, depuis septembre 2022, les écoles primaires françaises sont dans l’obligation de proposer 30 minutes d’activité physique quotidienne à leurs élèves. Cependant, cette mesure se confronte à de nombreuses contraintes et peu d’écoles parviennent à respecter cette obligation. Pour faciliter l’implémentation de cette mesure, les exergames, ou jeux vidéo actifs, peuvent constituer un levier prometteur pour inscrire les activités physiques sur les temps scolaires.
But de l’étude : l’objectif de cette étude est d’évaluer les effets perçus par les enseignants d’une intervention basée sur de l’exergaming, conduite auprès d’élèves de classes allant du CP au CM2, à raison d’une session de 30 minutes par jour, pendant 4 semaines. Pour cela, des entretiens semi-dirigés ont été réalisés avec les enseignants de chaque classe après l’intervention.
Résultats : l’analyse de nos entretiens montre une augmentation perçue, en comparaison à avant l’intervention, de la motivation de leurs élèves pour les matières ciblées par l’intervention, d’un maintien d’un haut niveau de motivation pour l’activité physique, et d’une amélioration des relations entre les élèves.
Conclusions : notre étude amène à considérer l’exergaming comme pouvant être un moyen efficace pour faciliter l’implémentation des 30 minutes d’activité physique quotidienne dans les écoles, mais aussi pour promouvoir la motivation et un meilleur climat relationnel. Par conséquent, ces résultats incitent à généraliser l’utilisation de ce type de dispositif.Thème : Education Formation Pédagogie Permalink : https://pmb.pfps-churennes.bzh/pmb_ifsi/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id Exemplaires(1)
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